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  • La mission de Léonetti

    François Fillon a chargé le député Jean Léonetti d'une mission sur "la modernisation de la législation sur l'autorité parentale et le droit des tiers". Il devra "dégager les moyens juridiques de favoriser tout ce qui servira l'intérêt de l'enfant, de réaffirmer la place des parents en tant que titulaires de l'autorité parentale et de faciliter la vie quotidienne des familles reconstituées."

    Matignon "souhaite aboutir à un consensus sur ces sujets complexes", précise Léonetti.

    Une mission qui a pour but de montrer que le projet de légalisation de la parenté homosexuelle n'est pas un projet en fin de vie.

  • Sarkocircus

    François d'Aubert a été nommé jeudi dernier délégué général à la lutte contre les paradis fiscaux par les ministres de l'Economie Christine Lagarde et du Budget Eric Woerth.

    Sa mission doit "permettre de faire avancer les initiatives françaises adoptées par le G20 lors des prochaines réunions de haut niveau prévues sur ces sujets". Sic.

  • Echec à la « Libre Pensée »

    La Fédération girondine de la Libre Pensée a fait savoir le vendredi saint (sic) que le tribunal administratif de Bordeaux a rejeté sa requête concernant le retrait de salles d'audience de la cour d'appel de Bordeaux de peintures du Christ en croix.

    Le tribunal a souligné dans ses attendus que "les trois tableaux en litige ont été installés dans les salles d'audience de la cour d'appel avant la publication de la loi du 9 décembre 1905" sur la séparation des églises et de l'Etat. Cette loi stipule qu'"à l'avenir", les emblèmes ou signes religieux sont interdits sur les monuments publics ou emplacements publics, est-il souligné dans le jugement daté du 31 mars. "La présence de ces tableaux (...) ne peut être considérée comme l'apposition d'un quelconque signe ou symbole religieux postérieure à cette loi et ne contrevient pas au principe de laïcité."

  • Traçabilité halal…

    De l'acide ou de la soude pour "nettoyer" la viande, la débarrasser de son aspect vert-bleu et de son odeur : c'est le procédé qu'auraient utilisé une dizaine de bouchers spécialisés dans les produits halal dans la région de Marseille. Ils ont été interpellés mercredi dernier.

    A l'origine de cette vaste opération de contrôle menée dans plusieurs arrondissements de Marseille, mais aussi à Martigues et à Port-de-Bouc dans les Bouches-du-Rhône, se trouvent plusieurs plaintes pour des intoxications alimentaires avec de la viande hachée ou des merguez. L'enquête a également permis de remonter jusqu'à l'homme, un Marseillais, qui aurait orchestré ce trafic en fournissant en amont les bouchers en viande avariée.

  • L’islam saoudien à la pointe du progrès

    Une cour islamique de Jeddah a validé le divorce d'une jeune Saoudienne qui avait reçu un SMS de son mari, parti faire le jihad en Irak, par lequel celui-ci indiquait trois fois qu'il la répudiait. L'homme avait également téléphoné à ses deux témoins du mariage pour les avertir de la répudiation.

    (bivouac-id)

  • La mosquée de Nantes

    Extraits d'un article de Philippe Gambert, dans Ouest France de ce jour, qui gagne la palme de la dhimmitude béate.

    Elle viendra enrichir le patrimoine architectural nantais. La mosquée s'inscrit dans le cadre d'un centre culturel turc, qui comprendra dans un bâtiment attenant, café, épicerie et bibliothèque.

    Elle ouvrira ses portes, si tout va bien, fin juillet. Mais d'ores et déjà, un fait saute aux yeux : sur le plan purement architectural, le Centre culturel des Turcs, porté par l'Association culturelle turque et conçu par le cabinet d'architecture In Situ, vaudra le détour. Le centre comprend, outre la mosquée, un bâtiment attenant qui abritera un café turc, une petite épicerie et une bibliothèque...

    Sur la façade de la mosquée, des tailleurs de pierre, venus d'Anatolie, sont à pied d'oeuvre. Ils agrafent et scellent des pierres sculptées sur le mur de béton banché.

    On retrouve ces mêmes pierres calcaires de Bayburth, en Turquie, à l'intérieur, dans le choeur et le prêche où officiera l'imam. En levant la tête, on reste bouche bée devant la beauté des enluminures de la coupole. (...)

    Retour dehors, les murs, à l'entrée, qui ne seront pas recouverts des pierres sculptées seront peints d'une couleur jaune d'or. Un carré sur un des pignons donne une idée de la tonalité. Juste au-dessus de l'entrée, seront posées des céramiques de couleur bleue. Bref, l'ensemble mariant différents tons ne passera pas inaperçu.

    D'ici fin juillet, ce que verront en premier les nombreux automobilistes passant boulevard du Bâtonnier Cholet, ce sera le minaret culminant à 20 mètres. Sa construction démarre tout juste. Pour l'heure, n'apparaît que sa base, devant la façade principale de la mosquée. (...)

    Dernier détail signifiant, le portail en fer forgé, qui sera installé à l'entrée, sera orné de motifs traditionnels mêlant des tulipes (symboles de l'empire Ottoman) et des roses (symboles de l'islam).

  • Une première copte

    L'Eglise copte d'Egypte a pour la première fois émis un "certificat de conversion" à la demande d'un chrétien né musulman, a indiqué samedi à l'AFP l'avocat de ce converti.

    Un tribunal avait demandé à Maher el-Gohari, qui tente de faire reconnaître officiellement sa conversion et d'inscrire la mention chrétien à la place de musulman sur sa carte d'identité, de fournir ce certificat. "Il l'a remis (au tribunal) aujourd'hui" samedi, a affirmé son avocat, Nabil Guebraïl. "C'est la première fois que l'Eglise émet ce genre de certificat", a-t-il ajouté.

    L'Eglise copte n'a pas souhaité réagir.

    C'est la seconde fois seulement qu'une telle requête est présentée en Egypte, où la conversion de l'islam au christianisme, sans être interdite, est quasi impossible alors que l'inverse se fait sans encombres.

    L'an dernier, un tribunal avait débouté un musulman converti au christianisme, Mohammed Higazi, qui voulait faire figurer sa nouvelle religion sur sa carte d'identité.

  • Resurrectio Domini, spes nostra

    Message de Pâques de Benoît XVI

    Chers Frères et Sœurs de Rome et du monde entier !
    De tout cœur, je forme pour vous tous des vœux de Pâques avec les mots de saint Augustin : « Resurrectio Domini, spes nostra - la résurrection du Seigneur est notre espérance » (Sermon 261, 1). Par cette affirmation, le grand Évêque expliquait à ses fidèles que Jésus est ressuscité afin que nous-mêmes, pourtant destinés à mourir, nous ne désespérions pas en pensant qu'avec la mort la vie est totalement finie ; le Christ est ressuscité pour nous donner l'espérance (cf. ibid.).

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  • Le centurion

    Début de l'allocution de Benoît XVI à l'issue du chemin de croix.

    Au terme du récit dramatique de la Passion, l'évangéliste saint Marc relève : « Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, s'écria : 'Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu !' » (Mc 15, 39). La profession de foi de ce soldat romain, qui avait assisté au déroulement des différentes étapes de la crucifixion, ne peut pas ne pas nous surprendre. Quand les ténèbres de la nuit s'apprêtaient à descendre sur ce Vendredi unique dans l'Histoire, quand désormais le sacrifice de la Croix était consommé et que les personnes présentes se hâtaient pour pouvoir célébrer régulièrement la Pâque juive, les quelques paroles, tombées des lèvres d'un commandant anonyme de la troupe romaine, résonnèrent dans le silence face à cette mort très singulière. Cet officier de la troupe romaine, qui avait assisté à l'exécution de l'un des nombreux condamnés à la peine capitale, sut reconnaître en cet homme crucifié le Fils de Dieu, ayant expiré dans l'abandon le plus humiliant. Sa fin ignominieuse aurait dû marquer le triomphe définitif de la haine et de la mort sur l'amour et sur la vie. Mais il n'en fut pas ainsi ! Sur le Golgotha, se dressait la Croix sur laquelle était suspendu un homme désormais mort, mais cet homme était « le Fils de Dieu », comme devait le confesser le centurion - « en le voyant mourir ainsi », précise l'évangéliste.

  • Le second jour

    O Christ, notre Dieu, qui, au second jour, créant le firmament, indiquez par avance la fermeté et solidité des saintes Ecritures, sur lesquelles repose l'Eglise ; et qui, séparant les eaux des eaux, indiquez la distance qui sépare le peuple céleste des Anges de la faible et inférieure race des hommes; vous qui, auteur des deux Testaments, avez accompli la figure de l'antique sacrifice, en scellant la nouvelle alliance par l'immolation de votre corps ; donnez-nous d'être associés par l'intelligence et la sagesse aux puissances angéliques, comme aux eaux supérieures, et de tendre toujours vers ce qui est élevé ; afin que la solidité des deux lois étant établie dans notre cœur, la vertu de votre résurrection nous attire jusqu'aux joies infinies.

    (capitula de la liturgie mozarabe)