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  • La vente de livres au Centre Charlier

    A propos de la vente de livres qui se tient au Centre Charlier du mardi 16 décembre au samedi 20 décembre 2008.

    - Louis Chagnon sera présent mercredi 17 décembre de 15h à 18h30.

    - David Mascré sera présent également mercredi 17 décembre de 17h30 à 19h. Il dédicacera ses deux derniers ouvrages: le magnifique texte de Ferdinand Brunetière (maître à penser de Bergson et de Péguy) restituant sept de ses discours de combat et les très intéressantes conférences du grand physicien, physiologiste et géomètre Hermann von Helmholtz dont il assure la traduction et l'introduction.

    - Philippe Prevost sera présent samedi 20 décembre de 15h à 18h30.

  • Charlie-Hebdo : flagrante diffamation

    Communiqué de Bernard Antony, président de l’Agrif

    Mis en rage par la récente citation directe de l’Agrif faisant suite à leurs écrits et dessins abominables contre le Christ, les valeurs chrétiennes et les chrétiens, voici que Charlie Hebdo reprend contre moi une allégation diffamatoire jadis concoctée par un hebdomadaire montpelliérain d’extrême gauche qui m’avait prêté des propos entraînant des poursuites du MRAP.

    Charlie Hebdo procède ainsi à un double procédé diffamatoire :
    - reprise d’une imputation mensongère
    - occultation du fait que par l’arrêt 1313 du 04/11/1997 la cour d’Appel de Montpellier me rendit justice en me relaxant et en déboutant le MRAP.

    Je charge donc mon avocat de déposer la plainte qui s’impose.

  • Régularisés

    Les 19 clandestins maliens de l'entreprise Griallet (disparue en septembre) qui s'étaient mis en grève le 22 mai à Montreuil pour demander leur régularisation ont obtenu des autorisations provisoires de séjour, après une "lutte héroïque", selon la CGT.

    Cette décision est a priori conforme à la circulaire du 7 janvier 2008, qui permet la régularisation de clandestins munis d’un contrat de travail… ou d’une simple « promesse d’embauche ».

    Ici il s’agit de « promesses d’embauche ». Elles émanent « de petits artisans de Seine-Saint-Denis, notamment du secteur de la construction-bois et de l'économie sociale », précise la CGT.

    Les clandestins vont donc être régularisés avant que la promesse d’embauche soit concrétisée…
    On remarquera que la circulaire précisait que ces embauches, ou promesses, ne pouvaient se faire que dans 30 métiers manquant de main d’œuvre.

    Il est manifeste que cette condition n’est pas réalisée pour ceux qui ont une prétendue promesse d’embauche dans « l’économie sociale », qui ne correspond à aucun des 30 métiers (spécialisés…) donnés dans la circulaire.

    Comme on pouvait s’en douter, cette restriction n’était qu’un ornement pour faire croire qu’on voulait éviter les régularisations massives.

  • ASP

    L’Association sociale et populaire grand-est, qui est la déclinaison de l’ASP du pasteur Blanchard « de Valence à Charleville, de Dijon à Strasbourg, de St Etienne à Besançon », a ouvert un blog.

  • Hommage à sainte Geneviève, patronne de Paris

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    Le dimanche 4 janvier 2009, à 18h, de Notre-Dame de Paris à Saint Etienne du Mont.

    Chaque année depuis 2005, l'association Paris Fierté commémore Sainte Geneviève, patronne de la capitale, par une marche aux flambeaux se déroulant de Notre-Dame de Paris à l'église Saint Etienne du Mont, où se trouvent ses reliques.
    En 451, alors que les Huns assiègent Paris, cette religieuse fut la seule à oser se lever pour défendre la ville et ses habitants contre la menace barbare. Ses armes ? Le courage et la prière. Elle réussit à convaincre les habitants de l'ancienne cité de ne pas ouvrir les portes de la ville et les Huns rebroussèrent chemin. Geneviève, après cette victoire continua de servir la ville et fit ériger une basilique dédiée à Saint Denis.

    Près de 1500 ans plus tard, les Parisiens semblent oublier l'héritage qu'ils ont reçu. Le peuple de la capitale, entre Paris Plage et Nuit Blanche, n'a guère l'occasion de se souvenir de son histoire, de son patrimoine et du courage de ses aïeux, sans qui la cité n'aurait pas survécu. Comme chaque année, l'association Paris Fierté souhaite donc rendre hommage à l'héroïne de Lutèce et perpétuer sa mémoire afin de donner un exemple de combativité et de souci du bien commun.
    Parce que sans passé, il n'y a pas d'avenir. Parce qu'un peuple vit aussi de la mémoire de ses ancêtres. Parce qu'une jeune génération, consciente de son identité et de ses racines, se lève, voulant servir les siens et la cité avec abnégation.

  • Saint Eusèbe

    Ses éminentes vertus le distinguèrent au sein du clergé de la ville de Verceil et lorsque le siège épiscopal vint à vaquer en l'an 340, le pape Jules Ier l'élut pour remplir la charge d'évêque.

    Saint Eusèbe s'appliqua tout d'abord à former de dignes ministres de Jésus-Christ et un clergé instruit. Il organisa dans son palais épiscopal une école où les jeunes ecclésiastiques unissaient la vie monastique à la vie cléricale. Saint Ambroise en parle avec admiration: «C'est, disait-il, une milice toute céleste et toute évangélique, occupée jour et nuit à chanter les louanges de Dieu, à apaiser Sa colère et à implorer Sa miséricorde. Ils ont toujours l'esprit appliqué à la lecture ou au travail.» Le succès couronna ses efforts apostoliques, car de son clergé sortit un grand nombre de saints prélats aussi vertueux qu'éclairés. Plusieurs Églises sollicitèrent la faveur d'être gouvernées par les disciples de saint Eusèbe.

    L'hérésie d'Arius favorisée par l'empereur Constance commençait à se répandre en Occident. Le saint évêque de Verceil résista ouvertement à l'empereur et lui reprocha hautement son impiété. En l'an 355, dans un concile tenu à Milan par le pape Libère, saint Eusèbe demanda qu'on souscrivit avant tout au symbole de Nicée et refusa de signer la sentence prononcée par les hérétiques contre saint Athanase d'Alexandrie.

    Les évêques ariens s'opposèrent au Saint et le firent exiler en Palestine, à Scythopolis, où on lui fit subir d'indignes traitements. L'empereur Constance le transféra plus tard en Cappadoce et ensuite, dans la Haute-Thébaïde. Les ariens le traînaient par terre à demi-nu ou lui faisaient descendre un escalier très élevé la tête en bas et l'accablaient de coups. Saint Eusèbe souffrait tout sans se plaindre. Dans son exil, il écrivit aux Églises d'Italie pour les exhorter à demeurer fermes au milieu des persécutions.

    Remis en liberté (par Julien l’Apostat !) après la mort de Constance survenue en 361, saint Eusèbe alla rallumer le flambeau de la foi dans les Églises d'Orient infestées par l'hérésie, et eut le bonheur de rencontrer le grand Athanase à Alexandrie.

    Ce vaillant et fidèle défenseur de la foi termina sa vie laborieuse et pénitente à Verceil, à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. Les souffrances qu'il avaient endurées pour défendre la divinité du Christ furent si grandes que l'Église lui décerna les honneurs du martyre, quoiqu'il n'ait pas perdu la vie dans les supplices. Ses précieuses reliques enchâssées reposent dans la cathédrale de Verceil.

  • Et hop ! Encore un problème de réglé

    Nicolas Sarkozy tenait aujourd’hui une réunion sur la crise du secteur automobile.

    Il a chargé le secrétaire d'Etat à l'Industrie Luc Chatel d'une mission de réflexion sur le sujet.

  • Cours obligatoires de relativisme

    A lire chez François Desouche, un texte sur les cours de destruction des valeurs religieuses et morales dans les écoles du Québec, dont voici la présentation et le premier paragraphe :

    Sale temps pour les Québécois pure laine : les réfractaires au nouveau cours obligatoire de multiculturalisme forcené et de relativisme moral. Les enfants dont les parents s’opposent au nouveau cours d’éthique et de culture religieuse commencent à être renvoyés de leurs écoles.

    De nombreux parents québécois s’opposent à l’imposition dès l’âge de 6 ans dans toutes les écoles du Québec (même les écoles privées non subventionnées) d’un cours qui enseigne à respecter sept religions comme d’égale valeur et à discuter des sujets « de justice sociale » comme le féminisme, l’avortement, l’euthanasie et le clonage dans un cadre relativiste où l’enseignant (même croyant catholique) voit son rôle relégué à celui d’animateur impartial.

  • Dar-al-islam arctique

    Un homme d’affaires saoudien a fait don de 20 millions de couronnes (2,78 millions d’euros) pour construire une mosquée à Tromso, tout au nord de la Norvège.

    Au Canada, en avril dernier, l’Association des Musulmans de l’Arctique avait collecté 40.000 $ destinés à l’achat d’un terrain pour une mosquée qui sera située deux degrés au-dessus du cercle polaire.

    Car l’islam a vocation à s’étendre sur toute la surface de la terre. Même l’Arctique doit être dar al islam.

    Il y a un problème, toutefois. Car pendant le ramadan il est strictement interdit de boire et de manger entre le lever et le coucher du soleil…

    Or, « en raison de la réfraction de la lumière du Soleil dans l’atmosphère, celui-ci est visible durant les 24 heures de la journée, au moment du solstice d’été, jusqu’à quelques dizaines de kilomètres en deçà du cercle polaire. Les villes de Tromso (69°40' N) ou encore Hammerfest en Norvège (70°40' N) présentent un site privilégié pour admirer le soleil de minuit dans de bonnes conditions. » (wikipedia)

    Le ramadan en été dans l’Arctique, combien de morts ?

  • Védrine et l’Europe

    Extraits d’une interview d’Hubert Védrine à Marianne.

    J’ai toujours été activement européen, mais je n’ai jamais cru en l’idée fédéraliste stricto sensu. Il s’agit d’une belle idée, mais l’expérience m’a convaincu qu’elle ne s’appliquait pas à l’ensemble européen. Mon sentiment, aujourd’hui plus fort que jamais, est qu’il n’y a pas une « nation » européenne ; il y a des nations européennes qui sont toujours là.

    Je ne crois pas non plus en l’idée d’une « dynamique », sur le mode : « c’est une étape », « on ira plus loin », « l’opinion n’est pas encore mûre », etc. Il me semble que les opinions n’évoluent guère à ce sujet, qu’elles régressent même plutôt… Je ne conçois donc pas l’avenir de l’Europe comme s’inscrivant dans un processus de fabrication d’une nation européenne venant en punition, en substitution ou en sublimation des anciennes nations. Je crois en plus de coopération, plus de convergence, d’actions communes, etc., entre elles.

    L’Europe n’a paradoxalement jamais été aussi forte que lorsqu’elle était divisée : c’est la désunion – ou plutôt la compétition et la rivalité entre les nations – qui ont fait sa force du XVIe au XIXe siècle. Bien sûr, il n’est pas question de transposer ces leçons au temps présent, mais parler d’une nation européenne tient manifestement de l’oxymore. Je ne pense donc pas que ce puisse être le but ultime.

    Non seulement cela n’arrivera pas, mais, si l’on considère les opinions européennes, la curiosité des unes envers les autres est même plutôt moins aiguisée qu’auparavant. (…) Le temps ne me semble donc pas travailler en faveur de la formation d’une nation européenne. C’est, à mon avis, une illusion, et donc aussi une machine à créer de la désillusion.
    L’objectif reste donc bien pour moi plus d’Europe, mais pas au sens d’une dépossession des nations au profit d’un système mou, au rôle mal défini et à la responsabilité incertaine : c’est plus d’Europe au sens de plus de coopération entre les nations, plus de politiques communes. Bref, il s’agit de prendre acte de la diversité de l’Europe, sans en faire un drame, et de transformer cette diversité en force. Qu’on arrête donc de sermonner les peuples européens en leur faisant honte de ce qu’ils sont ! Se libérer de la représentation d’une Europe transnationale permettrait de consacrer plus d’énergie à trouver entre nous des objectifs communs.

    (via e-deo)