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  • A propos des caillassages

    La chronique quotidienne rapporte des caillassages de camions de pompiers ou de véhicules de police dans les cités si « sensibles », comme s’il s’agissait de subits accès de colère de « jeunes » qui craquent tout à coup. Et quand ces « jeunes » sont arrêtés, ils sont jugés comme si les faits s’étaient déroulés ainsi.

    En réalité, il s’agit de guet-apens prémédités et organisés. Pour la bonne raison qu’il n’y a pas de pierres dans les rues des cités. Lire l’excellent billet de François Desouche sur le sujet.

  • « Israël n'oubliera jamais »…

    Le Vatican présente une grande exposition sur la vie de Pie XII. Elle n’est donc pas centrée sur la période de la Seconde Guerre mondiale. Mais on y voit une intéressante lettre d’un rabbin français, André Zaoui.

    Elle fut adressée au pape le 22 juin 1944. Le rabbin, aumônier militaire, rappelle Le rabbin Zaoui rappelle qu'il a pu assister à une audience publique du pape « le 6 juin 1944 à 12h 20 », avec de « nombreux officiers et soldats alliés ». Il mentionne sa visite à l'Institut Pie XI « qui a protégé pendant plus de six mois une soixantaine d'enfants juifs dont quelques petits réfugiés de France ». Il dit avoir été frappé par la « sollicitude paternelle de tous les maîtres » et il cite cette phrase du préfet d'étude : « Nous n'avons fait que notre devoir ». Il rapporte qu’il a participé à la réouverture de la synagogue de Rome, le 8 juin, en compagnie d'un prêtre français, le P. Benoît « évadé de France » et qui s'est dévoué « au service des familles juives de Rome ». Et il dit sa reconnaissance au pape et à l’Eglise en disant : « Israël n'oubliera jamais »…

    On note aussi dans cette exposition une photo du concert donné en l’honneur de Pie XII par l'orchestre philharmonique d'Israël, le 25 mai 1955, en signe de « gratitude pour son œuvre en faveur des juifs persécutés pendant la guerre ».

    (source et présentation de l'exposition)

  • Un gros mensonge de M. Sarkozy

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Dans son discours au Conseil constitutionnel, Nicolas Sarkozy s'est félicité que cette institution ait rappelé ces dernières années « que la supériorité du droit communautaire et international sur le droit français ne pouvait s'étendre à la Constitution ».

    C’est un gros mensonge.

    Depuis l’arrêt Costa de 1964 qui établissait déjà la primauté de la législation européenne sur les législations nationales, la Cour de Justice européenne a édifié une jurisprudence qui consacre la prééminence du droit communautaire même sur les constitutions nationales. Cela a été reconnu par l’arrêt du Conseil d’Etat du 8 février 2007, que le journal Le Monde qualifia de Waterloo de la souveraineté française.

    Le Conseil constitutionnel n’a même pas le pouvoir de se prononcer sur la conformité à la Constitution d’une directive européenne. Seule la Cour de Justice européenne peut décider de la validité d’une directive. Comme le remarquent de nombreux juristes, cette Cour se comporte comme la Cour suprême des Etats-Unis, ce qui montre bien sa prééminence sur les constitutions des Etats membres.

    Dans ce même discours, M. Sarkozy a cru bon de s’en prendre aux « populismes ». Mais mieux vaut un populiste qui dit la vérité qu’un démagogue qui ment aux Français.

  • Folies britanniques

    Le conseil municipal d’Oxford a confirmé que les fêtes de Noël organisées par la municipalité seront appelées à partir de cette année « fêtes de la lumière d’hiver » afin de les rendre « moins exclusives » (comprendre : compatibles avec l’islam).

    L’idée de changer le nom des festivités est venue de l’agence de développement culturel du comté, l’organisation « caritative » “Oxford inspire”. Sic.

    Cela dit, le président du conseil musulman d’Oxford a déclaré : « Cela me fait vraiment de la peine. Les chrétiens, les musulmans et les fidèles des autres religions attendent tous Noël avec impatience. »

    « Discrimination religieuse »

    Un cuisinier musulman travaillant pour la police de Londres saisit les prud’hommes pour « discrimination religieuse ». Il refuse de toucher du porc. Les services de police lui ont assuré qu’il ne serait pas obligé de manipuler du bacon. Mais il exige que cela soit inscrit dans son contrat.

    Le latin banni

    Un certain nombre de municipalités britanniques se sont lancées dans la chasse aux mots latins et expressions latines, qu’elles ne veulent plus voir dans les documents officiels.

    Le conseil municipal de Bournemouth a ainsi dressé une liste de 19 mots ou expressions à éviter, comme ad hoc, nota bene, vice-versa, pro rata, etc. (etc.), qui sont élitistes et discriminatoires…

    Le conseil municipal de Salisbury s'en prend même au français, et suggère à ses fonctionnaires d'oublier "in lieu of" ou "fait accompli".

  • Saint Charles Borromée

    J’ai déjà cité le propos suivant il y a deux ans, mais je le trouve tellement… actuel que je ne peux m’empêcher de le reproduire à nouveau. L’archevêque de Milan s’exprimait devant ses pairs lors d’un concile provincial :

    « Craignons que le Juge irrité ne nous dise : Si vous étiez les éclaireurs de mon Eglise, pourquoi donc fermiez-vous les yeux ? Si vous vous prétendiez les pasteurs du troupeau, pourquoi l’avez-vous laissé s'égarer ? Sel de la terre, vous vous êtes affadis. Lumière du monde, ceux qui étaient assis dans les ténèbres et dans l'ombre de la mort n'ont point vu vos rayons. Vous étiez Apôtres ; mais qui donc éprouva votre vigueur apostolique, vous qui jamais n'avez rien fait que pour complaire aux hommes ? Vous étiez la bouche du Seigneur, et l'avez rendue muette. Si votre excuse doit être que le fardeau dépassait vos forces, pourquoi fut-il l'objet de vos brigues ambitieuses ? »

  • Vers un terrorisme à grande vitesse

    Communiqué de Bernard Antony, président de l'Institut du Pays libre

    Le sabotage d’une caténaire, ce samedi 1° novembre, bloquant pendant des heures une grande partie du trafic TGV, ne donne qu’un petit aperçu de ce que serait la France après une offensive terroriste décidée, coordonnée et n’exigeant, somme toute, que peu de moyens humains et matériels.

    Lire la suite

  • Trois sièges pour les chrétiens…

    Le Parlement irakien, dans sa grande bonté et en toute tolérance islamique, a adopté une résolution qui réserve… trois sièges aux chrétiens dans les conseils provinciaux : un à Bagdad, un à Ninive, un à Bassorah (aucun dans les 15 autres provinces). 3 sur 440 : c’est moins de 0,7%…

    Le projet de loi électorale prévoyait la représentation des minorités. Lors du vote, le 24 septembre, les députés avaient rejeté cette partie du texte.

    La présidence de la République avait alors demandé de compléter la loi par un article assurant la représentation des minorités. Sur pression de l’ONU qui suggérait que l’on réserve 7 sièges aux chrétiens (3 à Bagdad, 3 à Ninive, 1 à Bassorah). Cela faisait 1,6%. C’était beaucoup trop…

  • Le PDG de Skyrock : un an ferme

    Le PDG de Skyrock, Pierre Bellanger, a été condamné à quatre ans d'emprisonnement dont trois ans avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris.

    Une peine d'un an avec sursis avait été requise. Le tribunal a jugé que cette affaire du harem du président de la radio des jeunes, avec sévices et pratiques sectaires à la clef, était donc nettement plus grave que ce que l’on en disait.

    Les avocats de Pierre Bellanger ont immédiatement annoncé à l'AFP leur intention de faire appel, jugeant la condamnation « ahurissante ».

  • Le titre le plus fou

    En une de Ouest France :

    « La planète croise les doigts pour Obama »

  • Si, on peut. Mais…

    Dans son dernier livre, France chrétienne, France laïque, Emile Poulat écrit :

    « Dieu a cessé d‘être un personnage de l’histoire comme il pouvait l‘être pour Bossuet et encore pour Dom Guéranger.... D’ailleurs on ne peut plus essayer de présenter en Sorbonne une thèse où il apparaîtrait comme tel. »

    Il y a pourtant au moins une exception : Nicolas Mulot, avec sa thèse, en Sorbonne, précisément, qui a obtenu une mention très honorable avec félicitations du jury, à l’unanimité.

    Pas d’exception en revanche en ce qui concerne l’édition. L’essai que Nicolas Mulot a tiré de sa thèse a été refusé par le Cerf, et par Desclée, l’éditeur de Poulat…