La chronique quotidienne rapporte des caillassages de camions de pompiers ou de véhicules de police dans les cités si « sensibles », comme s’il s’agissait de subits accès de colère de « jeunes » qui craquent tout à coup. Et quand ces « jeunes » sont arrêtés, ils sont jugés comme si les faits s’étaient déroulés ainsi.
En réalité, il s’agit de guet-apens prémédités et organisés. Pour la bonne raison qu’il n’y a pas de pierres dans les rues des cités. Lire l’excellent billet de François Desouche sur le sujet.