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Politique française - Page 58

  • Martine Aubry, les juifs et les Arabes

    Martine Aubry s’est engagée lundi devant le CRIF à relancer le jumelage et le partenariat économique de Lille avec la ville israélienne de Safed. Laquelle est qualifiée par le quotidien Haaretz de ville « la plus raciste dans le pays » à l’encontre des Arabes.

    François Desouche rappelle le propos de Martine Aubry lors de l’Université de La Rochelle du PS en août 2006 : « 35 % de Maghrébins, c’est génial. Moi je m’emmerde dans une ville où on est tous pareils. »

  • Famille et bien commun

    Lu ici :

    La question du PACS ou du mariage homosexuel entraîne, selon les réponses qu’on y apporte, des conceptions très divergentes du bien commun, deux structures de pensée, deux rapports à la société absolument incompatibles. Car d’une part, oui ou non la famille se fonde-t-elle sur l’altérité sexuelle et l’accueil de la vie pour devenir la cellule de base de la société, le socle sur lequel repose l’édifice social qu’elle inscrit ainsi dans la pérennité ? D’autre part, oui ou non la loi doit-elle être ordonnée exclusivement au bien commun ? Ou bien peut-elle être confisquée par les lobbies au profit d’intérêts catégoriels ? Si nous répondons positivement à ces deux interrogations, il est inutile de suggérer une législation, à quelque degré que ce soit (pacs ou mariage), en vue de reconnaître publiquement l’union homosexuelle. Car la loi doit être tournée vers l’intérêt de la société – et donc reconnaître, protéger et stabiliser la cellule familiale, nécessaire à sa survie – et non détournée en vue de satisfaire des intérêts individuels ou communautaires. Il y a là une position de principe.

  • Selon le procureur, dire "non à l’islamisme" est un délit

    Le procureur Claire Donnizaux a réclamé deux mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité à l’encontre de Jean-Marie Le Pen, ainsi qu’une amende de 20.000 euros, pour incitation à la haine envers la population musulmane et les personnes d’origine algérienne.

    Ce qui était poursuivi par les lobbies était l’affiche "Non à l'islamisme" montrant la carte de France aux couleurs du drapeau algérien, comme les t-shirts que portent nombre de « jeunes », hérissée de minarets, comme l’affiche de l’UDC en Suisse. Les t-shirts ne sont pas interdits en France, l’affiche de l’UDC n’a pas été interdite en Suisse…

    L’affiche avait déjà été interdite par un tribunal de Marseille, mais il n’y avait pas eu de condamnations.

    Claire Donnizaux, 32 ans, a fait toute sa scolarité dans une école catholique : école Sainte-Marie, collège Notre-Dame de France, lycée Siant-Pierre (c’est un seul et même établissement, à Abbeville)…

  • Négationnisme historico-judiciaire

    La Licra avait dénoncé au préfet du Calvados le fait que dans la salle du conseil municipal de Gonneville-sur-Mer il y avait un portrait du maréchal Pétain. Non pas seul, mais parmi tous les chefs d’Etat français depuis 1871.

    Le préfet avait demandé au maire de l’enlever. Celui-ci avait répondu que cet affichage était une décision du conseil municipal.

    Le préfet a saisi la justice. Le tribunal administratif de Caen vient d’annuler la décision du conseil municipal, ordonnant donc de retirer le portrait de Pétain. Au motif suivant : "Le principe de neutralité des services publics s'oppose à ce que soient apposés sur les édifices publics des signes exprimant des opinions politiques, religieuses ou philosophiques." Sic.

  • La droite n’est pas représentée au Parlement

    Titre d’un article de EUObserver :

    « French centre-right MPs want to cut EU funds to Turkey ».

    C’est-à-dire : « Des députés français de centre-droit veulent couper les fonds de UE à la Turquie. » (Cf. ma note d'hier.)

    Ces députés de « centre-droit » sont essentiellement des députés UMP (avec quelques Nouveau Centre qui ne sont que des supplétifs de l’UMP).

    Il n’y a donc aucun député de droite à l’Assemblée nationale. On le savait déjà, mais on remercie EUObserver pour cette précision, qu’on chercherait en vain dans la grosse presse française.

  • Mgr Cattenoz, la mosquée, et le FN

    Émile Cavasino, secrétaire départemental FN du Vaucluse, a été reçu par Mgr Cattenoz. Il écrit :

    Suite à certains articles parus sur internet relatant la participation de Monseigneur Cattenoz, archevêque d’Avignon, à l’inauguration de la mosquée de cette ville, j’ai sollicité une entrevue auprès de ce dernier. J’ai été reçu le mercredi  29 septembre 2010, accompagné de Monsieur Gérard Marcaggi, militant du Thor. Très vite, nous avons constaté que Monseigneur a  été victime d’une cabale et qu’en aucun cas il n’a participé à cette inauguration. Au contraire pour avoir vécu 15 ans en Afrique dans des pays à religion musulmane, il est un farouche défenseur de l’Église catholique, contrairement à certains évêques qui prônent le rapprochement entre le Christianisme et l’Islam, au nom de l’œcuménisme. Il est apparu en parfaite osmose avec nous.

  • Le CFCM fait appliquer sa loi

    « La Droite libre » (un machin de l’UMP qui parle comme le Front national, fondé par d’anciens amis de Pasqua), devait organiser un débat dans les locaux de l’UMP sur le sujet : « Immigration, islamisme : la France menacée ? ». Avec Xavier Lemoine, Christian Vanneste, Bruno Beschizza, Alexandre Del Valle, Pierre Cassen, Jean-Paul Gourevitch, Hassen Chalghoumi, Christine Tasin. Le Monde ayant dit tout le mal qu’il fallait penser d’un tel débat, l’UMP fit savoir, deux heures après la parution du quotidien, que La Droite libre n’était « pas un mouvement associé à l’UMP » (sic) et qu’elle ne pouvait « donc pas organiser un événement au siège ».

    La Droite libre a donc décidé d’organiser son débat dans une salle de l’Assemblée nationale. Mais, cette fois, c’est le CFCM qui est monté au créneau, par un communiqué en forme de fatwa, signé de son président, Mohammed Moussaoui. Le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a aussitôt interdit la tenue du débat…

    On notera que Mohammed Moussaoui écrivait notamment : « Le CFCM dénonce avec force l’amalgame inacceptable qui découle de cette association malheureuse et scandaleuse entre la religion musulmane et le débat sur l’immigration. » L’amalgame, c’est Mohammed Mooussaoui en personne : le président du Conseil français du culte musulman est de nationalité marocaine…

    Mais on notera surtout que le CFCM est une instance qui peut dicter ses ordres au président de l’Assemblée nationale. Et que le président de l’Assemblée nationale obéit au CFCM.

    A part ça, la dhimmitude est une vue de l’esprit…

  • Philippe de Villiers s’efface

    Philippe de Villiers quitte la présidence du conseil général de Vendée, et le conseil général lui-même. Dans le texte qu’il publie sur le site internet du conseil général, il souligne que ce n’est pas pour raison de santé (« je suis guéri »), mais ne donne pas d’explication crédible : il évoque « la réforme territoriale, la fin de l'autonomie fiscale, l'esprit de l'époque, les impatiences », il dit que va être substitué « à l'esprit du temps visionnaire l'esprit du temps mécanicien »… mais pour un homme politique ce sont plutôt des raisons de se battre que de baisser les bras.

    « Je m’efface », dit-il, ajoutant qu’il ne fera « ni conférence de presse ni autre déclaration ».

    Et il ne dit pas un mot du MPF.

    Mystère…

  • François Bayrou toujours plus génial

    Dans son discours de clôture de l’université de rentrée du MoDem, François Bayrou a déclaré que ce n’était plus le temps des mises en garde et des questions, mais des « réponses à apporter à nos concitoyens ».

    Il se met donc en « mode propositions », et promet « trois révolutions » : celles de la vérité, de la simplicité, et de la démocratie…

  • "Devant cette basilique Saint-Denis"…

    Bruno Gollnisch a fait sa déclaration de candidature à la présidence du Front national devant la basilique de Saint-Denis. La mairie communiste a crié à la « provocation ». L’entrée de la basilique lui a été interdite par un sbire du diocèse.

    Voici sa déclaration.

    Mesdames, Messieurs ;

    Je m’exprime aujourd’hui devant cette basilique Saint-Denis, tombeau d’abord de l’héroïque Denis, premier évêque de Paris,  martyrisé en 275, puis joyau de l’art gothique, admirable nécropole royale autrefois profanée par le vandalisme révolutionnaire. Ici reposent tant de ceux qui ont fait la France ou l’ont défendue, de Charles Martel jusqu’au siècle dernier. Nous sommes au cœur d’une région capitale sinistrée par des années de calamiteuse gestion marxiste, minée par une immigration incontrôlée, en proie à une violence à laquelle certains ne voient que des causes matérielles et des excuses sociales, alors qu’elle est 87 fois supérieure à celle de la Creuse, ou cependant la pauvreté est plus sévère.

    La Seine-Saint-Denis ne doit pas devenir pour la France ce que fut le Kossovo pour la Serbie : berceau de l’Histoire nationale progressivement submergé, puis amputé par les forces d’une coalition étrangère !

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