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Famille et bien commun

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La question du PACS ou du mariage homosexuel entraîne, selon les réponses qu’on y apporte, des conceptions très divergentes du bien commun, deux structures de pensée, deux rapports à la société absolument incompatibles. Car d’une part, oui ou non la famille se fonde-t-elle sur l’altérité sexuelle et l’accueil de la vie pour devenir la cellule de base de la société, le socle sur lequel repose l’édifice social qu’elle inscrit ainsi dans la pérennité ? D’autre part, oui ou non la loi doit-elle être ordonnée exclusivement au bien commun ? Ou bien peut-elle être confisquée par les lobbies au profit d’intérêts catégoriels ? Si nous répondons positivement à ces deux interrogations, il est inutile de suggérer une législation, à quelque degré que ce soit (pacs ou mariage), en vue de reconnaître publiquement l’union homosexuelle. Car la loi doit être tournée vers l’intérêt de la société – et donc reconnaître, protéger et stabiliser la cellule familiale, nécessaire à sa survie – et non détournée en vue de satisfaire des intérêts individuels ou communautaires. Il y a là une position de principe.

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