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Politique française - Page 57

  • Selon Eric Raoult, il y a des catholiques en France depuis le XVIe siècle

    Eric Raoult sur RMC (à 0 : 55) :

    « Les catholiques sont là depuis 500 ans. »

    (via Le Salon Beige)

  • Un communiste rejoint un ancien communiste au gouvernement

    Le communiste Dominique Touraine, secrétaire général du groupe GDR à l’Assemblée nationale, va rejoindre le cabinet du ministre de la Ville, Maurice Leroy (secrétaire général du groupe PCF au Sénat entre 1984 et 1990).

    "Dominique Touraine a un vrai savoir faire. C'est un homme de terrain et je veux être entouré d'hommes de terrain. Bien sûr, il reste communiste", dit Maurice Leroy.

    (AFP)

  • Le procès qui tourne court

    Dans l’affaire de l’affiche du FNJ « non à l’islamisme », le tribunal correctionnel de Paris a débouté la Licra et SOS Racisme, et relaxé Jean-Marie Le Pen, au motif que celui-ci n’était "ni l'auteur de l'affiche en cause, ni le responsable des sites sur lesquels elle avait été diffusée".

    Le procureur avait requis un an d'inéligibilité, deux mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende.

    Le parquet a dix jours pour faire appel. SOS Racisme attend de connaître la décision du parquet avant d'interjeter ou non appel.

  • Petits arrangements entre amis

    Le CRAN (soi-disant Conseil représentatif des associations noires) s'est désisté de l'action judiciaire qu'il avait engagée contre le directeur de cabinet de Brice Hortefeux pour incitation à la haine raciale en raison de la circulaire sur les évacuations des campements de Roms.

    L’avocat du CRAN, Me Terquem, explique à l'AFP : « Le ministre de l'Intérieur a fait savoir au Cran qu'il s'engageait à ce qu'un Observatoire contre le racisme soit créé. Il est donc apparu utile au Cran d'apaiser ses relations avec le ministère. »

    Et voilà un machin « antiraciste » de plus…

  • Christian Jacob

    Surprise. On disait que Jean Leonetti, premier vice-président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, allait devenir naturellement le président, après le départ de Jean-François Copé qui devient président du parti. Or c’est Christian Jacob qui a été élu, confortablement (182 voix contre 109), et qui a même frôlé l’élection au premier tour.

    Voilà encore un super-RPR qui obtient une haute responsabilité, ce qui rend furieux les anciens UDF ralliés à l’UMP.

    Christian Jacob est un chiraquien pur jus, depuis le temps qu’il était président du CNJA. Entre temps il a été trois fois ministre, dont ministre de la famille, et il est maire de Provins, la ville dont Alain Peyrefite fut le maire pendant plus de 30 ans. Il n’a rien fait de plus pour la famille que pour les jeunes paysans (et même plutôt moins), mais une carrière politique ne se mène pas d’après ce que l’on fait.

  • La provocation de Sarkozy envers les arabo-musulmans de France…

    Azouz Begag, « chercheur au CNRS, labo prefics, université Rennes-II, ancien ministre de l'égalité des chances », dans Le Monde :

    Le remaniement ministériel auquel nous venons d'assister marque un tournant dans la conception sarkozyste de la diversité. Rama Yade et Fadela Amara sont remerciées. Elles étaient sans doute devenues des minorités trop visibles aux yeux de ceux-là mêmes qui les ont promues. (…)

    Nora Berra reste membre du gouvernement Fillon 2. Sans doute pour sa discrétion et son humilité médiatique... et elle incarnera avec Jeannette Bougrab cette troublante diversité qui accompagnera l'équipe gouvernementale au combat jusqu'à la présidentielle. Des femmes remplacent des femmes. Il faut s'interroger sur cette façon de féminiser l'intégration des minorités en politique. Ce n'est pas fortuit si ce ne sont que des femmes issues de l'immigration que Nicolas Sarkozy a promues au gouvernement. (…)

    Au sein de la population arabo-musulmane de France, cette féminisation exclusive de l'intégration des minorités passe mal. Elle a un goût amer de provocation. Elle symbolise aux yeux de beaucoup une émasculation, une volonté de créer une image de vous qui vous paralyse, qui vous fait honte de ce que vous êtes, tellement elle est mauvaise... Cette image négative crée de la colère et de la violence. (...)

  • S’il faut leur mettre les points sur les i…

    Sarkozy déjeune pendant deux heures avec Borloo, Marc-Philippe Daubresse, nouveau secrétaire général adjoint de l’UMP, déclare : « Borloo est le fédérateur des centres », Jean-François Copé répond au Figaro qui lui demande si Jean-Louis Borloo a accepté de rester vice-président du conseil national de l’UMP : « Nous nous parlons quotidiennement, et je ne l'ai jamais entendu dire qu'il voulait quitter l'UMP. Outre le secrétariat général, il y a un quatuor extrêmement important pour moi, composé de Jean-Pierre Raffarin, Michèle Alliot-Marie, Jean-Louis Borloo et Brice Hortefeux. Je n'imagine pas que les décisions importantes de notre mouvement puissent être prises autrement qu'avec eux. »

    C’est du lourd, lourdingue, même. Mais il semble que les « politologues » n’aient toujours pas compris

  • Crevure nazie : 1.000 euros

    Fabrice David, ancien élu écologiste de Franconville, avait traité Alexandre Simonnot, secrétaire départemental du FN, de « crevure nazie ». Le tribunal de Pontoise vient de le condamner, pour injures publiques, à 500 euros d’amende avec sursis, et à verser 1.000 euros de dommages-intérêts à Alexandre Simonnot.

  • Juppé droit dans ses bottes de sept lieues

    Alain Juppé, ministre d’Etat, ministre de la Défense, confirme qu’il restera maire de Bordeaux. Sud Ouest rappelle son propos du 22 avril 2009 sur l’incompatibilité entre la fonction de maire et un poste ministériel. Le Post a fait un montage de ses diverses déclarations sur le sujet, toutes aussi catégoriques.

    Et alors ? Eh bien alors il a changé d’avis, tout simplement : "Je ne nie pas l'avoir dit", mais "le contexte a changé et chacun a le droit d'évoluer et de s'adapter".

    Et il souligne que Bordeaux n’est qu’à 50 minutes de Paris par avion. Comme si c’était le problème…

  • Juppé revient…

    Alain Juppé a déclaré sur France Info : « Ce n'est pas la première fois qu'un ministre est maire d'une grande ville (…) j'espère démontrer (aux Bordelais) que je peux faire les deux choses."