Le célèbre forain Marcel Campion, qui a eu plusieurs fois maille à partir avec la municipalité parisienne, est traîné en justice par l’ex-premier adjoint et par « SOS Homophobie » pour ses propos sans langue de bois.
Marcel Campion, qui a déjà appris qu’on n’a plus le droit de dire « pédé », va apprendre qu’on n’a pas le droit de critiquer l’autre lobby qui n’existe pas, et qui dans certains domaines est désormais plus influent que le premier lobby qui n’existe pas.
Au fait, contrairement à ce que colportent de menteuses gazettes qui se croient obligées à faire de la surenchère pour plaire au lobby, Marcel Campion n’a pas dit que « les homos sont des pervers ».
Un bon résumé de l’affaire (qui montre où on en est de la liberté d’expression) ici.