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médias - Page 13

  • La présentation des faits

    Chacun sait que la présentation des faits, dans les médias, peut faire croire le contraire du fait lui-même. On en a un exemple particulièrement clair avec l’annonce de David Cameron concernant les femmes musulmanes immigrées.

    Le Monde titre :

    Cameron veut imposer des tests d'anglais aux femmes musulmanes immigrées

    Il veut « imposer », de façon autoritaire, des « tests », de façon vexatoire, pour embêter 1 des femmes 2 musulmanes 3 immigrées. Ce qui est triplement scandaleux.

    Mais il y a plus fort que Le Monde. Le Point titre :

    David Cameron veut contraindre les musulmanes à apprendre l'anglais

    Sous prétexte qu’elles sont musulmanes, ces femmes devront apprendre l’anglais sous la contrainte, comme des détenues.

    Le bouquet est le titre du Parisien :

    David Cameron menace d'expulser les musulmanes qui ne parlent pas l'anglais

    Or de quoi s’agit-il ?

    De l’annonce par David Cameron qu’il va débloquer 20 millions de livres pour aider à l’intégration des femmes musulmanes, la mesure phare étant une aide à l’apprentissage de l’anglais, car 22% des femmes musulmanes vivant au Royaume-Uni, parfois depuis longtemps, ne parlent pas couramment l’anglais, et il est important que ces femmes parlent l’anglais pour ne pas être confinées dans un ghetto. « A cause d’une tolérance passive, des gens adhèrent à l’idée critiquable d’un développement séparé », dit le Premier ministre, faisant allusion à l’apartheid.

    On en pense ce qu’on veut (pour ma part je trouve que c’est plutôt habile), mais quand une aide à l’intégration est présentée comme une contrainte ou une menace, c’est qu’il y a quelque chose de vraiment pourri dans nos médias (à moins qu’ils soient soumis à l’islam au point de soutenir l’enfermement des femmes).

  • Les Polonais ne se laissent pas faire

    Le ministre polonais des Affaires étrangères Witold Waszczykowski a convoqué ce matin l’ambassadeur d’Allemagne à Varsovie, à cause des « déclarations anti-polonaises d’hommes politiques allemands ». La dernière en date étant celle de Martin Schulz, le président du Parlement européen, qui a qualifié la Pologne de « démocratie à la Poutine ».

    Samedi, le ministre de la Justice Zbigniew Ziobro a quant à lui écrit au commissaire européen Günther Oettinger : « Vous demandez que la Pologne soit placée sous surveillance. De tels mots, dans la bouche d’un homme politique allemand, ont les pires connotations possibles pour des Polonais… Je suis le petit-fils d’un officier polonais qui a servi dans la résistance pour combattre la surveillance allemande. »

    Plusieurs députés ont également déclaré que vu son passé, notamment vis à vis de la Pologne, l'Allemagne n'avait pas de leçon de démocratie à donner, et en ce qui concerne la politique du gouvernement vis à vis des médias publics, on ne se prive pas de dire que l'Allemagne dont la police et les médias taisent les terribles agressions du Nouvel An ferait mieux de protéger ses femmes contre les migrants plutôt que de se mêler des affaires de la Pologne.

  • Leur apprendre la politesse

    Le ministre polonais des Affaires étrangères Witold Waszczykowski a convoqué à Varsovie le commissaire européen Günther Oettinger pour un « entretien de courtoisie », suite aux déclarations de celui-ci à un journal allemand.

    « Beaucoup de choses plaident pour que nous activions le Mécanisme d'État de droit et que nous placions Varsovie sous surveillance », a-t-il dit dans l'édition de dimanche du Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ), notamment à cause de la réforme de la nomination des directeurs de l’audiovisuel public.

    Aucune autorité européenne n’était encore allée aussi loin dans les menaces contre le gouvernement polonais.

    Witold Waszczykowski s’étonne de « déclarations étranges et obscures de certains commissaires européens qui, sur la foi d’articles de journaux, se mettent à juger la Pologne ». Il ajoute : « Nous voulons clarifier pourquoi les commissaires n’utilisent pas les canaux normaux de communication avec le gouvernement polonais mais préfèrent donner des interviews dans la presse allemande. »

    (Le fond de l’affaire est la loi sur l’audiovisuel public qui confie la nomination des dirigeants au gouvernement. Il paraît que c’est très mal et que ça ne se fait pas, que le gouvernement contrôle l’audiovisuel public… - on ne rit pas : ils sont très en colère…)

  • Les salauds

    Le coupable, c’était le Dieu des chrétiens…

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    Ce numéro doit être tiré à 1 million d'exemplaires et sa parution a été annoncée par le ministère de la Culture.

    Le 1er janvier, les auteurs de ce torchon tués il y a un an ont été promus à l’ordre de la Légion d’Honneur…

    Et toute cette semaine il y aura des « hommages », avec François Hollande, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Fleur Pellerin… Dimanche prochain une plaque sera dévoilée au pied d’un « arbre du souvenir », place de la République, il y aura un dépôt de gerbe devant la statue de la République, et le Chœur de l'armée française entonnera la Marseillaise…

  • Charia

    Eric Zemmour a été condamné à 3.000 euros d'amende pour provocation à la haine envers les musulmans, pour des propos au Corriere Della Sera en octobre 2014. Il y déclarait notamment que les musulmans « ont leur code civil, c'est le Coran», qu'ils «vivent entre eux, dans les banlieues. Les Français ont été obligés de s'en aller ». Ce sont les fameux propos qui l’avaient fait virer d’i-télé.

    Si l’on en croit Le Monde, le réquisitoire du procureur Annabelle Philippe avait été politique, accusant Eric Zemmour de « mettre en place tout ce qu’il faut » pour arriver à la guerre civile qu’il prophétise… Selon l’inversion habituelle : c’est celui qui dénonce un mal qui devient le responsable du mal.

    Annabelle Philippe demandait 10.000€ d’amende.

    C’est elle qui, l’an dernier, avait demandé de la prison à l’encontre d’Alain Soral pour avoir traité de « con » un journaliste. Elle n’avait pas été suivie.

    On voit l’extension de la justice politique, désormais au service de l’islam.

  • Ça c’est de l’info!

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    « M. Machin-Chose », c’est François Sauvadet, président du conseil départemental de la Côte-d’Or, député-maire, ancien ministre.

  • Padamalgam ?

    Aux Etats-Unis, il y en a qui ne sont pas drogués au Padamalgam…

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    (Via Fdesouche)

    Addendum

    Le couple auteur de la tuerie avait des liens avec des groupes islamistes, et la femme avait publié son serment d'allégeance au calife de l'Etat islamique sur Facebook.

    Hier, un responsable du FBI déclarait encore qu'il serait "irresponsable" de parler d'acte terroriste...

    Il va falloir augmenter les doses de Padamalgam...

  • Dictature

    La cour d’appel de Paris a confirmé la condamnation de Valeurs actuelles à 2000 € d’amende, un euro de dommages et intérêts à l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ainsi qu’à SOS Racisme, 500 euros de dommages et intérêts à la Maison des potes ainsi qu’à la Licra.

    Pourquoi ? Pour avoir mis une Marianne voilée en couverture et avoir mis en titre : «Naturalisés l'invasion qu'on nous cache», et avoir écrit : «Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls», «Islam, immigration: comment la gauche veut changer le peuple», «Le poids des musulmans n'a cessé d'augmenter». 

    Sic. Il est aujourd’hui interdit d’écrire cela en France. Il est interdit d’écrire des évidences quand ces évidences évoquent l’une des deux religions d’Etat (l’autre étant le laïcisme, protégé par la même dictature).

  • France Inter c’est le ministère de l’Intérieur

    France Inter reconnaît ouvertement que ses « informations » sont la propagande du ministère de l’Intérieur.

    On avait vu sur plusieurs sites qu’un article du 14 septembre intitulé « Des terroristes parmi les migrants ? » était devenu « Réfugiés : le fantasme de l’infiltration terroriste ». Le début de l’article première version disait que selon Christian Estrosi des terroristes se cacheraient parmi les migrants mais qu’au ministère de l’Intérieur « on semble ne pas y croire ». Le début de l’article deuxième version après avoir cité Christian Estrosi disait : « Mais est-il crédible ? Autant le dire tout de suite : non, et on vous explique pourquoi. »

    Le directeur de la rédaction de France Inter a fini par répondre :

    Ce n’est pas notre journaliste qui a mal fait son boulot. Elle s’est appuyée sur le ministère de l’Intérieur : dans un échange en off avec d’autres collègues, il se disait alors très peu préoccupé par ce risque.

    Et l’on voit aujourd’hui à quel point le ministère de l’Intérieur était perspicace… et que France Inter avait bien raison de lui obéir…

  • Dictature climatique

    Le « monsieur météo » de France 2, Philippe Verdier, été convoqué par la direction des ressources humaines de la chaîne pour un entretien préalable en vue de son licenciement.

    Son crime ? Avoir publié un livre climatosceptique.

    Il est strictement interdit d’avoir une opinion déviante, même en privé, sur la religion climatique, quand on travaille dans le service public…