Titres :
Hervé Gourdel: les musulmans rassemblés à Paris pour dire "halte à la barbarie"
Les musulmans de France manifestent pour dire "halte à la barbarie"
Les musulmans de France disent "Non à la barbarie"
LES musulmans ? Non. « Plusieurs centaines », nous disent les médias qui avaient martelé l’annonce de cette « grande manifestation » « des » musulmans à Paris. Si LES musulmans étaient si désireux de montrer qu’ils n’ont « rien à voir » avec les jihadistes, ils auraient été des dizaines de milliers (car il y a des centaines de milliers de musulmans pratiquants dans la région parisienne, et des millions « en France »).
Le matraquage islamophile est devenu islamomaniaque. Comment peut-on continuer de prétendre, sans rire, que le jihad n’a rien à voir avec l’islam, alors que le Coran fait du jihad une obligation, que tout traité d’islam a un chapitre sur le jihad, et que le seul recueil de hadiths de Boukhari (qui fait partie de la Sunna) a 308 hadiths spécifiquement sur le jihad, dans le livre 56 qui commence par les hadiths sur la supériorité du jihad par rapport aux autres « bonnes actions »…
Quant à la « barbarie » de la décapitation (par égorgement), elle a son modèle dans Mahomet, qui est pour tout musulman « le beau modèle » à imiter, et qui fit égorger (en y participant activement lui-même) plusieurs centaines de juifs en une seule journée :
« Puis l'Envoyé d'Allâh alla au marché d'al-Madînah qui est encore aujourd'hui son marché, et a fait creuser des fossés. Il les fit venir, et les fit décapiter dans ces fossés, on les fit venir à lui par groupes. Parmi eux se trouvèrent l'ennemi de Dieu Huyayy Ibn 'Akhtab, et Ka'b b. 'Asad leur chef. Ils étaient au nombre de six cents, ou de sept cents ; celui qui multiplie leur nombre dit qu'ils étaient entre huit cents et neuf cents. Pendant qu'on les amenait à l'Envoyé d'Allâh par groupes, ils dirent à Ka'b b. Asad : « Ô Ka'b! Qu'est-ce qu'on fera de nous? » Il répondit : « Est-ce que vous êtes incapables de réfléchir?! Ne voyez-vous pas que le crieur ne cesse pas de crier8, et que celui d'entre nous qu'on envoie ne retourne pas?! C'est bien sûr le massacre. »
Cela continua jusqu'à ce que l'Envoyé de Dieu en finît avec eux. » (Sira d’Ibn Ishaq)
« Sa'd avait été blessé à la main par une flèche, et son sang ne cessait de couler. Les juifs allèrent le chercher, le firent monter sur un cheval et l'amenèrent. Étant en présence du Prophète, Sa'd dit : Il faut les égorger tous, partager leurs biens et réduire en esclavage leurs femmes et leurs enfants. Le Prophète, satisfait de cette sentence, dit à Sa'd : Tu as prononcé selon la volonté de Dieu. En entendant ces paroles, ceux d'entre les juifs qui pouvaient s'enfuir gagnèrent le désert ; les autres restèrent ; ils étaient huit cents hommes. Le Prophète leur fit lier les mains et fit saisir leurs biens. On rentra à Médine à la fin du mois de dsou'l-qa'da. Les juifs restèrent dans les liens pendant trois jours, jusqu'à ce que tous leurs biens fussent transportés à Médine. Ensuite, le Prophète fit creuser une fosse sur la place du marché, s'assit au bord, fit appeler 'Ali fils d'Abou-Tâlib, et Zobaïr fils d'Al-'Awwâm, et leur ordonna de prendre leurs sabres et d'égorger successivement tous les juifs, et de les jeter dans la fosse. Il fit grâce aux femmes et aux enfants ; mais il fit tuer également les jeunes garçons qui portaient les signes de la puberté. » (Chronique de Tabari)