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Les salauds

Le coupable, c’était le Dieu des chrétiens…

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Ce numéro doit être tiré à 1 million d'exemplaires et sa parution a été annoncée par le ministère de la Culture.

Le 1er janvier, les auteurs de ce torchon tués il y a un an ont été promus à l’ordre de la Légion d’Honneur…

Et toute cette semaine il y aura des « hommages », avec François Hollande, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Fleur Pellerin… Dimanche prochain une plaque sera dévoilée au pied d’un « arbre du souvenir », place de la République, il y aura un dépôt de gerbe devant la statue de la République, et le Chœur de l'armée française entonnera la Marseillaise…

Commentaires

  • C'est la franc-maçonnerie dans tous ses états. Elle suit sa logique. Écrasons l'infâme, comme dirait Voltaire.

  • C'est la franc-maçonnerie dans tous ses états. Elle suit sa logique. Écrasons l'infâme, comme dirait Voltaire.

  • L'infâme à écraser, c'est le méphitique Voltaire lui-même.

    Le soi-disant '"infâme", le Christ Dieu, qu'il prétendait écraser, l'a définitivement écrasé, lui Voltaire, en enfer, à l'instant même où, mort dans l'impénitence finale, il a rendu son âme infecte, après avoir mangé ses propres excréments.

    Et l'écrasement de l'infâme Voltaire en enfer est une grande Joie prospective.

    En effet, saint Augustin enseigne, dans "La Cité de Dieu", que les élus , après le Jugement, contempleront les damnés s'acheminant définitivement en enfer, dans la chair désormais indestructible, et que cette vision des damnés comblera de joie et d'exultation les élus avant leur entrée au paradis éternel.

  • La franche maçonnerie ?

    Mais voyons ce vieillard avec son œil et son triangle ... C'est le grand architecte de l'univers cher aux loges !

    En plus il court vers la droite donc vers l'Orient !

  • dans ce genre de secte, il n'y a pas de logique mais juste un troupeau d'"initiés".
    un délire d'initiés, quoi !

  • Si l'assassin c'est la franc-maçonnerie, identifiable avec sa quincaillerie habituelle (triangle et œil "qui voit tout"), alors, oui, elle court toujours jusqu'à l'apocalypse ou révélation qui permettra de dévoiler l'intégralité de ses crimes. Qui sait par exemple que les auteurs du génocide arménien sont tous des franc-maçons ? Une fois de plus Charlie se désigne.

  • Sur ce blog on envoie trop facilement les âmes en enfer. Nul ne sait ce qui se passe au moment de la mort entre Dieu et l'âme.
    Lors de l'attentat du 13 novembre, un prêtre a écrit que les gens attiraient le démon par leurs invocations sataniqes, tandis qu'un autre prêtre décrivait NSJC et sa sainte mère, laissant faire les assassins au nom de la liberté de l'homme mais recueillaient les âmes avant qu'elles ne soient perdues.

  • il y a quand même un fait positif dans toutes ces nouvelles : la ministre de la culture va enfin lire quelque chose

  • Parce que vous croyez qu'elle sait lire?

  • Le Grand Maïtre des Illuminati qui se prend pour dieu serait le coupable des attentats à Charlie hebdo !

    Cela semble vraisemblable !

  • voici le beau monde qui a participé à ce numéro double : " de nombreuses personnalités du monde des arts et de la CULTURE ????? : Isabelle Adjani, Élisabeth Badinter, Russell Banks, Abdennour Bidar, Juliette Binoche, Liu Bolin, François Cluzet, Caroline Fourest, Charlotte Gainsbourg, Ralf König, Ibrahim Maalouf, Richard Malka, Taslima Nasreen, Fleur Pellerin, Oxmo Puccino, Nina Sankari, Karin Viard, Z et Soufiane Zitouni. Pas d'obligation de "réserve" pour un ministre ???

  • ne pleurons pas trop sur le triste sort de la Légion d'Honneur, cette décoration où une étoile a remplacé la croix traditionnelle, elle en a vu d'autres
    je ne pense pas que Napoléon ait été franc-maçon : ce n'était pas dans sa nature de s'imposer des obligations inutiles, mais son père l'avait été, ses frères l'étaient, ses maréchaux l'étaient, le personnage numéro deux du régime, tante Turlurette, l'était, etc . . .

  • Napoléon a surtout perdu la Rhénanie,la Sarre,la Belgique,15 départements français, conquête de la République, en trahissant le serment de son sacre au terme d'une folle épopée;c'est un désastre qui n'a jamais été réparé et qui nous a valu trois guerres avec l'Allemagne qui aurait été bien incapable d'affronter la France de 1810 sans le bassin de la Ruhr.
    Quant à sa religion,il a couvert de louanges le catholicisme parfois mais sa pensée profonde semble le rapprocher de l'islam qu'il admirait,encore à Sainte-Hélène.

  • Personnellement je ne vois pas Notre Dieu Trinitaire sur cette affiche de merde.
    Mais plutôt le maçonnique, (pour preuve : le petit oeil dans le triangle), donc le maçonnique celui de cette idéologie de perdition, qui lui courre toujours, et EST le responsable de tout ce chaos, et celui à venir avec l'apogée de l'iman de Bordeaux en juppe, qui monte chez bildberg chercher ses ordres dans peu de temps !!!!!!

  • Une fois pour toutes : l'oeil dans un triangle est un symbole catholique;
    Contemporain il est vrai du déisme philosophique du 18ème, mais totalement catholique. On le voit abondamment dans toutes les églises construites ou redécorées à cette époque.
    La franc-maçonnerie l'a emprunté, car ce côté non-figuratif satisfaisait bien justement leur théisme abstrait.

  • Je crois qu'on en trouve à partir du XVIe siècle, et il était très répandu quand les francs-maçons l'ont repris.

  • on envoie aussi trop souvent les gens au paradis partout ailleurs.
    nul ne sait ce qui se passe entre Dieu et une âme, au moment de la mort ?
    ce n'est pas vraiment exact. Si vous mourrez en état de péché mortel, vous êtes damné. Il y a la révélation, et elle est claire sur l'objectivité du bien autant que sur l'horreur qu'est le mal choisi et voulu comme tel.

    il est de coutume de nos jours dans certaines églises, de réduire la bonté divine à la miséricorde, miséricorde que l'on prend soin semble-t-il, de ne jamais définir sinon pour la distinguer absolument de la justice, cette marâtre impitoyable.

    or en Dieu tout est simple, il n'y a pas la justice, et la miséricorde, la justice marche de pair avec la miséricorde.
    non, nous n'irons pas tous au paradis. Paul Nareff n'est pas un père de l'Eglise, et l'enfer existe et il n'est pas vide. car Dieu n'a pas crée des pantins. l'enfer est réel et les flammes qui y brûlent le sont tout autant: c'est de foi catholique.

    parler autrement serait désespérer les pauvres ? et ceux qui sont victimes des malfaisances et violences dues invariablement au mal que d'autres boivent comme de l'eau, doivent-ils aussi désespérer en se passant de la justice divine ?

    Ceux qui évoquent le diable, sont bien près de lui donner puissance sur eux même, et cela aboutie, comme l'enseigne la légende dorée ( écrite par un saint), à la mort violente et subite.

    que se passe-t-il entre une âme et son créateur et juge sur le lieu même de son décès? Elle est jugée, les jeux sont faits (car comme le dit Claudel, il n'y a plus de temps), à moins que les suffrages de la pénitence et du sacrifice ne lui mérite.

    au lieu se demander si Dieu n'efface pas l'ardoise, une fois que les jeux sont faits, il vaut mieux prier et faire pénitences pour ceux qui étaient dans une occasion prochaine de péché ou pire qui l'était par eux-même pour les autres ou pour eux-même.

    il n'y a pas de bisounours au paradis. Il y a des saints, que des saints.
    au purgatoire, il n'y a que des saintes âmes.
    les pécheurs, même s'il paraît que nous ne sommes que des pécheurs selon certains prédicateurs douteux, les pécheurs sont en enfer.

    parce que la bonté, le bien, la droiture, la vertu (la force), ne sont pas des "options".

  • l'opinion de Oh! n'est pas tout à fait celle du saint curé d'Ars :"entre le pont et l'eau, il y a la miséricorde de Dieu"; cela me semble clair et net sans occuper des pages, et je pense que saint Jean-Marie Vianney était parfaitement orthodoxe

  • Le saint Cure d'Ars a toujours eu une simplicite exquise pour definir notre Createur. Le fameux "Il est la" en est un exemple parfait. Nonobstant, Oh! a parfaitement raison sur la doctrine. Aucune faute a dire qu'une ame souillee d'un ou plusieurs peches mortels a sa mort ira en enfer car elle le veux. (la fameuse admonestation de Blanche de Castille)

    La difficulte reside justement a definir l'etat de peche mortel d'une personne. Il faut matiere grave et volonte deliberee, doublee d'une pleine connaissance. (cathechisme de l'Eglise catholique) Or seul Dieu sonde les reins et les coeurs. On peut donc conclure que seul Dieu peut se faire juge et nous de nous refugier ainsi dans une prudente (qui est une vertu) ignorance de l'etat de peche mortel d'une personne.

  • @Théofrède
    Vous oubliez de dire que le St Curé d'Ars parlait à la veuve d'un suicidé et qu'il lui avait révélé que son mari avait fait un acte de repentir avant de se noyer, ce qui avait sauvé son âme. Il y a donc toujours l'obligation du repentir. La miséricorde de Dieu ne peut pas s'appliquer s'il n'y a pas repentir. C'est une règle absolue. Et Oh! a raison dans son commentaire.
    Le Curé d'Ars voulait aussi faire remarquer que l'on ne sait pas se qui se passe entre l'âme d'un mourant et Dieu, dans les derniers instants de la vie.

  • oui, où est le problème ? vous avez parfaitement défini la question : on ne sait pas ce qui se passe entre l'âme d'un mourant et Dieu; je pense que les gens qui prononcent la damnation de leur prochain pèchent eux-mêmes gravement à la fois contre ce prochain lui-même et contre Dieu dont ils prennent la place

  • À "Oh!"

    Merci de votre pénétrante mise au point.

    Et Jean Theis, ci-dessus, devrait mieux y réfléchir.


    Je voudrais l'approfondir en y ajoutant ceci :

    La foi chrétienne __ il n'est même pas besoin de préciser catholique __ affirme l'existence de l'enfer. L'enfer n'est pas vide, mais empli de damnés, hélas. Car il est écrit que peu sont ceux qui trouvent la porte étroite du salut, et que beaucoup suivent la voie large et facile de la perdition.

    Sainte Thérèse de Lisieux, Docteur de l'Église, a dit que "les âmes se perdent, nombreuses comme des flocons de neige. Saint Grégoire de Nazianze, Docteur de l'Église, décrit ceux qui se damnent comme une "poussière infinie".

    Voilà pouquoi l'enfer est synonyme de promiscuité. Indicible et atroce. Cette promiscuité même qu'a évoquée une fois le Pape Jean XXIII pour exhorter les hommes à se supporter patiemment les uns les autres en cette vie, car qu'en sera-t-il dans la promiscuité propre à l'enfer si, par malheur, on devait y tomber, et où les damnés ne se supportent pas entre eux ?

    En effet, autant le paradis est synonyme de communion et d'union, autant l'enfer est synomyme de haine et d'insupportation des damnés entre eux. Autant le paradis est synonyme de liberté et de non-confinement, autant l'enfer est synonyme de contrainte et d'enfermement. Toutes choses dans l'Au-delà sont encore plus rationnelles, encore plus raisonnables, et encore plus logiques qu'elles le sont ici-bas.

    Enfin, quant au Christ qui ne serait que miséricorde exclusive, il est temps que l'on sorte de cette aberration. Oui, sa miséricorde est infinie, mais à la condition que le repentir ait lieu et intervienne à temps. Il n'a pas dit à la femme adultère "Je ne te condamne pas", mais "Je ne te condamne pas. Va, et ne pèche plus". Et même quand le repentir interviendrait à temps, il restera encore la peine temporelle liée aux péchés pardonnés, à accomplir en ce monde ou au Purgatoire. Car c'est là l'honneur de Dieu, et l'honneur de la justice de Dieu. Dieu est Amour et miséricorde, mais Dieu est aussi justice. Il est irrationnel, irraisonnable et illogique que Dieu pardonne le péché du pécheur qui refuse, jusqu'à la fin, de confesser objectivement ce péché. Et ce qui passe alors dans l'ultime instant de vie, entre l'âme expirante et Dieu, c'est la connaissance du définitif Jugement sur cet état d'impénitence.

    Le Christ qui reviendra dans la gloire, reviendra pour opérer la résurrection de la chair et pour le jugement, d'une part, de tous les morts depuis Adam, déjà jugés en jugement particulier à l'instant de leur mort, et d'autre art de tous les vivants des derniers temps et la transformation de la chair de ces derniers en une chair incorruptible, "car tous ne mourront pas, mais tous seront transformés". Le Jugement dernier révélera aussi le jugement particulier de chaque homme, "car tout ce qui est caché doit être dévoilé".

    Enfin, le Christ qui viendra pour le Jugement dernier sera le Christ de la Guerre : la Guerre finale contre le mal et pour la sanction de tout mal.

    Que nul ne s'y trompe : "Je vis le ciel ouvert (...) Ses yeux étaient comme une flamme ardente ; il était revêtu d'un vêtement teint de sang : son nom est le Verbe de Dieu. Les armées du ciel le suivaient. De sa bouche sortait un glaive affilé [à deux tranchants], pour en frapper les nations ; c'est lui qui les gouvernera avec un sceptre de fer, et c'est lui qui foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant. Sur son vêtement et sur sa cuisse, il portait écrit ce Nom : Roi des rois et Seigneur des seigneurs. (Apocalypse, 19, 11-16).

    Oui, le Jugement dernier sera la sainte et ultime Inquisition : celle qui anéantira à jamais tout ce qui n'est pas conforme à Dieu et à son Règne, car "c'est pour détruire les oeuvres du diable que le Fils de Dieu a paru" (1 Jn 3, 8).

    Le temps de la Grâce, de la Pédagogie et de la Miséricorde est celui qui, inauguré par l'Incarnation du Fils de Dieu, dure jusqu'au Jugement dernier. Alors viendra le temps de la Justice définitive. Ce temps de Grâce dure aussi, pour chaque homme, jusqu'à l'heure de sa mort, "car il est fixé que les hommes meurent une seule fois, après quoi vient le jugement" (He 9, 27).

    Pour être sauvé, l'homme ne doit pas mourir dans l'impénitence finale : il doit mourir dans l'amour de Dieu et dans un état exempt de péchés mortels. Car, ainsi que vous le dites très justement, la purification après la mort (Purgatoire) ne peut intervenir, que si l'homme s'est d'abord réconcilié avec Dieu. En effet, le Purgatoire, comme le Paradis, est dans la communion des saints.

  • je pense que le saint curé d'Ars aurait dit tout ça beaucoup plus sobrement

  • Le Curé d'Ars avait la foi catholique, luttait des nuits durant contre des attaques diaboliques matérielles, et tenait de foi à l'existence de l'enfer et de damnés. Il confessait à longueur de journée pour éviter aux fidèles une telle finalité.

    L'on peut dire des choses en peu de mots, comme aussi en volumineux traités de théologie, tout aussi légitimement. Cf. Saint Augustin ou saint Thomas d'Aquin. Mais il est important que les longs traités de théologie et le peu de mots soient bien catholiques.

    Le Christ a parlé sobrement des "ténèbres extérieures où il y a les pleurs et les grincements de dents". Ainsi l'enfer et son habitation sont des articles de foi, des dogmes.

  • Et nous avons échappé au jour de deuil national obligatoire. En réalité Hollande prépare sa réélection en faisant son cinéma habituel (le coup de la larme à l'oeil, même Obama s'y met !) et ça donne un nouvel exemple de l'état de dégradation intellectuelle du pays. Ca marche très bien, malheureusement.

  • Le dogme dit plus précisément que l'âme sans la grâce (donc soit en etat de péché mortel soit non baptisée) est précipitée en enfer "immédiatement après la mort".

    Et le dogme n'à pas tranché à ce jour entre deux interprétations du mot "mort" :
    - un instant (sans durée), celui de la séparation de l'âme et du corps, qui se confondait avec la mort médicale (arrêt du coeur ou des fonctions cerebrales)
    - un passage (un temps), qui permet une rencontre de l'âme avec le Christ et s'acheve avec le jugement particulier.

    La première interprétation pose un problème théologique que résoud la deuxième, et aussi un problème philosophique (incompatibilite avec les faits observés lors des NDE lorsqu'une âme revient apres un temps de mort cérébrale avérée).

    La deuxième interprétation : l'homme peut encore se convertir et être sauvé face au Christ alors qu'extérieurement son corps est inanimé et tout semble perdu. Ainsi le musulman ou tout autre non baptisé peut trouver le salut si ayant fait et aimé le bien sur terre il se convertit au Christ en le découvrant enfin, selon le texte sacré ("c'est à moi que tu l'as fait").

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