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médias - Page 14

  • Un aveu

    Kai Gniffke, responsable de l’information sur la chaîne publique allemande ARD, a reconnu, lors d’une réunion d’experts à Hambourg, que les médias donnent volontairement une fausse image des « réfugiés » pour susciter la compassion... et soutenir l'invasion :

    Quand des cameramen filment des réfugiés, ils choisissent des familles avec de petits enfants aux yeux écarquillés. Alors que 80 % des réfugiés sont de jeunes hommes, solidement bâtis et célibataires.

    Mais ce n’est pas de sa faute ni celle de ses pairs : ce sont les correspondants sur place qui sont responsables du choix des images...

  • « Maître Eolas »

    Blogueur vedette puis twitteur vedette, « Maître Eolas », l’avocat parisien qui donne des leçons de pensée unique à la terre entière du haut de son maître pseudo, a été condamné à 2.000€ d’amende avec sursis et 5.000€ de dommages et intérêts pour avoir diffamé et injurié l’Institut pour la Justice.

    Il est remarquable que tant lors de l’audience de ce procès que dans l’annonce du jugement personne ne donne le nom de cet avocat, alors qu’il a bien été obligé de le donner au tribunal et que tous les journalistes qui ont suivi l’affaire le connaissent.

    Mais chacun fait la révérence devant le « maître », et « respecte son anonymat »…

    Imaginez seulement que cet avocat soit quelqu’un « de chez nous » : avec quelle gourmandise les médias auraient mis son nom en gros caractères pour qu’il soit montré du doigt par tout le monde…

    (En outre c’est ridicule, puisqu’on trouve facilement son nom, et donc son adresse professionnelle, sur internet…)

    N’empêche que « Maïtre Eolas » est très vexé : il a aussitôt supprimé son compte Twitter, sans donner d’explications… Comment a-t-on pu oser condamner un prince de la pensée juridique ?

  • Au Sri Lanka

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    La plus ancienne publication cinghalaise est le Gnanartha Pradeepaya (Lumière de la Sagesse), un hebdomadaire… catholique, qui vient de fêter ses 150 ans.

    A l’origine il avait 4 pages et donnait des nouvelles de l’Eglise aux quelques catholiques de Ceylan. Il a aujourd’hui 24 pages et est distribué à plus de 30.000 exemplaires, essentiellement dans les paroisses.

    Les catholiques représentent aujourd’hui 7% des 20 millions de Sri-Lankais (mais l'influence de l'Eglise déborde largement: on se souvient du retour triomphal de l'archevêque de Colombo, Mgr Ranjith, qui venait d'être créé cardinal).

  • La révolution Bolloré à Canal Plus ?

    Hier jeudi, Vincent Bolloré a officiellement pris la présidence du conseil de surveillance du Groupe Canal Plus. Il a immédiatement annoncé (notamment) la nomination à la tête de l’information de Canal (et donc d'itélé qui va devenir Cnews), de Guillaume Zeller, ancien directeur de la rédaction de Direct 8 (la chaîne fondée par Bolloré) où il avait créé l'excellente émission "Dieu merci" (et petit-fils du général).

    Une nomination qui est donc dans la ligne Bolloré, mais pas du tout de celle de Canal Plus. Et qui donne de gros boutons de fièvre aux défenseurs de « l’esprit » (?) de la chaîne.

  • Significatif

    Le jeudi de Pâques, une animatrice d’Europe 1, Marion Ruggieri, a tranquillement affirmé que la lapidation avait été « inventée par les chrétiens », que c’était « une vieille tradition chrétienne ».

    On mesure là ce que donne le mélange de l’inculture (frisant l’analphabétisme), du mépris de la religion, de la haine antichrétienne et de la dhimmitude instinctive.

    Les réactions ont été telles que l’animatrice a reconnu qu’elle s’était trompée et a présenté ses excuses. Ajoutant finalement : « Merci pour votre bienveillance. Fermez le ban. » Sic.

  • Décadence de l’information

    Pendant une demi-heure, tous les moyens d’information qui suivent l’actualité minute par minute ont diffusé comme grande nouvelle du moment la mort de Martin Bouygues.

    Mais Martin Bouygues n’est pas mort.

    Ce qui s’est passé est que les pompiers ont fait savoir qu’ils étaient intervenus pour un décès à La Roche Mabile, près d’Alençon. Or Martin Bouygues habite ce village. Et le maire de la commune voisine (sic) a indiqué à l’AFP que le mort était Martin Bouygues.

    L’AFP a donc annoncé la mort de Marin Bouygues, sans chercher à vérifier l’information. Or il n’y a évidemment pas d’information plus facile à vérifier que celle-là. Et le « poids » notamment économique de Martin Bouygues rend évidemment absolument nécessaire une si facile vérification.

    L’AFP « s’excuse platement ».

    Mais continuera à pontifier sur la déontologie journalistique et à faire la leçon aux quatre coins du monde.

  • Le délire continue

    A partir du 1er mars, les chaînes de télévision et de radio auront obligation de compter séparément les hommes et les femmes qui interviennent à l’antenne, et de transmettre le décompte au CSA.

  • Minables obsédés

    Sur la une du nouveau Charlie Hebdo, il y a un dessin très laid où l’on voit des personnages bestialisés (seul Charlie a le droit), l’air très méchant, qui poursuivent un petit chien ayant Charlie dans la gueule. On est censé reconnaître au premier plan Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy (mais comment peut-on être aussi nul en caricature et faire la une d’un magazine ?), et juste derrière, au milieu de la horde, il y a un évêque, dont Libération nous assure que c’est le pape… On peut voir aussi le logo de la Manif pour tous, sur la poitrine d’un chien éructant, juste derrière le rat capitaliste…

    Pendant ce temps-là le palais de justice de Paris ne s’honore pas d’afficher du Charlie Hebdo dans sa salle des pas perdus, avec une attaque de l'Agrif. Lire la réaction de Bernard Antony.

  • Liberté d’expression…

    L5896.jpgOn a le droit de se moquer de tout et de tout le monde, sauf de… Charlie Hebdo.

    L’éditeur des journaux parodiques Le Connard et Le Monte avait l’intention de publier un Charpie Hebdo, et il avait prévenu le distributeur, les MLP. Puis il s’était ravisé et avait reporté le projet. Mais Charlie Hebdo en avait été informé, et leur avocat a enjoint l’éditeur du Connard, par lettre recommandée, de renoncer à cette publication, au motif qu’un Charpie Hebdo, après les événements,  « ne saurait revêtir un quelconque caractère humoristique, dépassant largement “les lois du genre” de l'humour satirique acceptable ».

    Car c’est Charlie Hebdo qui désormais définit l’humour satirique acceptable.

    On aura vraiment tout vu.

  • Il n’y a plus de “chrétiens”

    On constate que le mot « chrétiens » a disparu du vocabulaire de la République.

    Dans son communiqué sur le martyre des 21 coptes, François Hollande condamne « l’assassinat sauvage de 21 ressortissants égyptiens », alors que les islamistes soulignent qu’ils les ont tués en tant que chrétiens.

    Dans sa déclaration sur la profanation du cimetière juif de Sarre-Union, il remarque la montée des « actes antisémites » et ajoute : « il y a eu aussi des actes antimusulmans, des actes antireligieux ».

    95% des profanations frappent les chrétiens, mais le mot est désormais tabou.

    Cela va de pair avec le fait que les médias évoquent à peine, en passant, l’assassinat des 21 coptes. A comparer avec le traitement de l’actualité quand c’est un journaliste qui est assassiné, ou un ressortissant américain, ou quand on s’en prend à un dessinateur ou à une synagogue. Et l’on n’a pas oublié le silence quasi total sur les centaines de morts du Nigeria quand Boko Haram a pris la ville de Baga. Tout le monde était Charlie, personne n’était un nègre chrétien… Il serait intéressant de faire une étude sur ces différences de traitement médiatique et de montrer la hiérarchie des valeurs… Pour tout dire : la hiérarchie raciste des médias.