Extrait de la dernière lettre de l’archevêque de Glasgow, Mgr Mario Conti, à ses prêtres :
« Le Saint-Père et ceux qui le conseillent ont décidé de faire que l’ancienne Messe, prétendument Tridentine, ou pré-Vatican II, soit davantage à la disposition des fidèles pour des raisons pastorales ; c’est quelque chose que nous devons respecter. Cependant, même avec la plus récente instruction d’Ecclesia Dei, il n’y a aucune exigence ou même encouragement pour quiconque à promouvoir la prétendue forme extraordinaire. Je me permets de suggérer qu’il n’y a aucune demande pour elle, ou de raison pastorale de changer ce qui est devenu la pratique constante de l’archidiocèse, ce que j’interprète comme une satisfaction et une véritable appréciation des avantages pastoraux de la Messe en vernaculaire (…). »
Lors de la publication du motu proprio Summorum Pontificum, Mgr Conti avait déclaré qu’il déciderait qui aurait le droit de célébrer l’ancienne messe à Glasgow. C’est-à-dire personne. Le leitmotiv de l’archevêque est qu’il n’y a aucune demande pour la « prétendue » forme extraordinaire.