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Islam - Page 15

  • Prud’hommes sous influence

    Un chauffeur de bus de Clermont-Ferrand, Brahim M., avait été licencié pour avoir refusé de serrer la main de deux collègues femmes.

    Les prud’hommes ont fait semblant de croire que ce n’était arrivé qu’une fois (la date indiquée dans la lettre de licenciement), alors que c’était récurrent. Et ils ont fait semblant de croire que ce n’était pas pour motif religieux mais par animosité personnelle envers ces deux femmes.

    Ainsi, alors que dans la lettre de licenciement la direction dénonçait « un acte discriminant en état de récidive », les prud’hommes ont décidé qu’il n’y avait pas de récidive, et qu’il n’y avait pas de discrimination.

    Naturellement, Brahim triomphe : « Pour moi, c’est une victoire morale. Ils ont voulu me faire passer pour la bête horrible, mais la vérité est enfin rétablie. La vraie discrimination, c’est moi qui l’ai subie…»

  • Retour sur le mépris

    J’ai évoqué hier l’inauguration de la plus grande mosquée de France dans la capitale des sacres de nos rois par le successeur de saint Remi, et la réaction méprisante de ce dernier envers ceux qui osent contester ce geste de capitulation et de dhimmitude.

    Je crois qu’il faut prendre la mesure de ce mépris de la part d’un archevêque de l’Eglise catholique envers les fidèles.

    Voici le propos exact, qui est la conclusion de son sinistre couplet :

    J’aimerais que les hommes catholiques inquiets de la présence de l’islam dans notre pays soient aussi assidus à la messe ou à l’adoration eucharistique que les hommes que j’ai vus à la mosquée un jeudi soir à l’heure de la prière.

    L’archevêque accuse les catholiques de ne pas être assez pratiquants, et, en parallèle, il loue les musulmans pour leur pratique assidue.

    Il crache sur ses ouailles et il félicite les ennemis de la foi. Lesquels ne sont pas seulement adeptes d’une religion incompatible avec le christianisme, mais d’une idéologie totalitaire qui englobe tous les aspects de la vie sociale, impliquant la lutte à mort (le jihad, d’une façon ou d’une autre) contre tout ce qui s’oppose à l’extension de l’islam.

    Que l’archevêque de Reims se pâme devant cela, tout en accablant de son mépris les catholiques qui ne vont pas assez à la messe, cela montre à quel degré d’avilissement est tombé le clergé.

    Un évêque est censé être un pasteur qui va chercher ses brebis. Lui, il fait l’éloge des loups et il chasse ses brebis. Parce que, évidemment, ce n’est pas avec de tels propos répulsifs qu’il va faire venir des gens dans ses églises.

    En outre, il oublie que la désaffection des catholiques est due en partie à la « pastorale » post-conciliaire. Il va de soi que s’il n’y a plus de dogmes, plus de perspective spirituelle ni d’ascèse, et si la liturgie n’est plus qu’une niaiserie de vivre ensemble, cela n’incite pas les catholiques à aller dans les églises. (En revanche certains sont devenus jihadistes, ou sont entrés dans des sectes où il y a encore des exigences).

    Sans oublier que l'élite du clergé se félicitait il n'y a pas si longtemps de la chute de la pratique, car on était enfin débarrassé des catholiques sociologiques, et qu'on pouvait mettre en œuvre une pastorale de l'enfouissement, la seule qui vaille, ayant tourné le dos au triomphalisme d'antan. (Mais le triomphalisme islamique à Reims, c'est bien.)

    On ne monte pas au cocotier quand on a le cul breneux.

  • L’insulte à Reims

    Il me semblait que les évêques s’abstenaient désormais de parader aux inaugurations de mosquées, et du coup je ne suivais plus cela de près. Je découvre par Riposte catholique et par un article de Jeanne Smits dans LifeSiteNews que Mgr de Moulins-Beaufort a inauguré la grande mosquée de Reims le 14 mars dernier.

    En plein carême, l’archevêque de Reims fait la fête avec les islamistes.

    Pour l’inauguration de la plus grande mosquée de France. Ce qui est clairement une provocation. La plus grande mosquée de France dans la ville du baptême de Clovis, du sacre des rois de France.

    Aucune allusion à cela dans le discours de l’archevêque, qu’on peine à reconnaître comme le successeur de saint Remi.

    « Avec moi, les catholiques de Reims se réjouissent », dit-il. Le déluge de réactions hostiles sur sa page Facebook semble montrer qu’ils ne se réjouissent pas tous. Monseigneur Dhimmi-d’honneur a balayé ces réactions par un texte plein de mépris pour les catholiques qui ne croient pas encore en la bonté et la beauté de l’islam.

  • Ils osent

    Instrumentalisation et amalgame. Enorme. Les musulmans osent tout. Et ils ont raison, puisqu’on ne peut rien leur rétorquer sauf à être qualifié d’islamophobe et être condamné par les tribunaux. Et même par la Cour européenne des droits de l’homme, comme on vient de le voir. Ce sera désormais la CEDHI. Droits de l’homme islamique.

    Donc la Communauté islamique d’Autriche (IGGÖ) porte plainte contre le vice-chancelier et président du FPÖ Heinz-Christian Strache pour « incitation à la haine ».

    Parce que

    « Après les attaques terroristes en Nouvelle-Zélande, nous, la communauté musulmane, avons déclaré : ça suffit. Et les déclarations du vice-chancelier sont un dérapage massif, que nous ne pouvons plus accepter ».

    Les innombrables attaques terroristes perpétrées par des musulmans, ça ne compte pas (et les associations musulmanes ne les condamnent quasiment jamais). Seule compte l’attaque en Nouvelle-Zélande. Elle efface toutes les autres…

    L’IGGÖ s’en prend à Heinz-Christian Strache pour ses propos au moment de la présentation du dernier livre de Thilo Sarrazin. Il aurait dit que dans les maternelles contrôlées par les islamistes « les enfants sont éduqués à travers des sermons haineux à devenir des martyrs », et qu’il y en aurait « 150 et plus » à Vienne. Et il aurait fait un lien entre « le pourcentage de citoyens musulmans » dans un pays et « les conditions d'une guerre civile ».

    L’IGGÖ, dont le président est un Turc, à Vienne... commente : « Personne n'est au-dessus des lois, aucune carrière politique n'est plus importante que la paix sociale dans notre pays. »

    Sic.

  • Au musée

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    La municipalité de Montréal a décidé de décrocher le crucifix de la salle du conseil municipal.

    « C’est vraiment pour nous une façon d’honorer, de reconnaître la laïcité de l’institution », dit le maire, Valérie Plante.

    Avant on honorait, on reconnaissait le Christ. Mais c’était avant. Aujourd’hui on honore l’athéisme et l’islam.

    « Le crucifix sera éventuellement installé dans un espace muséal au sein de la mairie de Montréal », dit-on à la mairie.

    Eventuellement.

    L’assemblée des évêques catholiques du Québec considère que placer le crucifix dans un espace muséal est un geste respectueux : « Cela va rappeler notre histoire, notre culture et les évêques s’en réjouissent. »

    Et en effet le christianisme au Québec, c’est du passé…

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    Le maire, Valérie Plante. Au centre. En attendant que ce soit l’une des deux autres…

    N.B. Plus de 70% de l'immigration au Québec s'installe à Montréal. A la déchristianisation et à l'offensive laïciste s'ajoute l'exigence du "vivre ensemble". Mais la municipalité de Québec n'a pas l'intention de décrocher son crucifix.

  • La blague du jour de Castaner

    Castaner a demandé en conseil des ministres « la dissolution de quatre associations qui « légitiment de façon régulière le djihad armé ».

    Y aura-t-il quelqu’un pour lui apprendre que c’est le Coran qui légitime le jihad armé ?

  • La CEDH décrète la soumission à l’islam

    "La Cour européenne des droits de l’homme a refusé de renvoyer l’affaire E.S. contre Autriche en appel en Grande Chambre. La condamnation pénale de Mme Sabaditsch-Wolff, pour avoir assimilé à de la pédophilie l’union de Mahomet (56 ans) à Aïcha (9 ans), est donc définitive. C’est là un grave recul de la liberté d’expression. De fait, Mme Sabaditsch-Wolff a été condamnée pour avoir dit une vérité dérangeante."

    Lire la suite de l’analyse de Gregor Puppinck ici. On retiendra que Mme Sabaditsch-Wolff est condamnée pour préserver la paix religieuse en Autriche. La paix religieuse implique donc qu’en ces temps où la lutte contre la « pédophilie » est une obsession, il est interdit de critiquer un homme qui couche avec une fillette quand cet homme s’appelle Mahomet.

  • Censure islamique épiscopale

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    Le 11 février dernier, RCF (Radio chrétienne francophone) Côtes d’Armor diffusait un entretien avec Jean-Frédéric Poisson à propos de son livre « L’islam à la conquête de l’Occident ».

    Selon Riposte catholique, l’émission n’a pas été rediffusée, contrairement à l’habitude, et elle a été supprimée du site. Sur ordre de Mgr Moutel, évêque de Saint-Brieuc.

    Car on ne doit pas critiquer l’islam sur une radio chrétienne.

    Le 5 mars, le président du conseil d’administration de la radio et quatre administrateurs ont démissionné.

    Trois jours plus tard, dans son entretien hebdomadaire à la radio, Mgr Moutel montrait qu’il ne connaît absolument rien à l’islam… (Il n’y pas de problème avec l’islam, il y a un problème avec des perversions de l’islam, puis, plus loin : il faut combattre l’islam politique…)

  • Au Pakistan

    Le 19 février, trois jeunes femmes se rendaient dans un appartement pour le nettoyer. L’appartement, situé dans une banlieue de Karachi à forte présence chrétienne, appartient à la grand-mère de deux d’entre elles, et belle-mère de la troisième. La propriétaire avait demandé à ses locataires de partir. Mais ils sont toujours là. Les jeunes femmes demandent aux locataires de sortir leurs affaires afin qu’elles puissent nettoyer l’appartement. Alors la locataire va dans la rue et crie qu’il y a chez elles des infidèles qui viennent de jeter le Coran à la poubelle. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Des maisons de chrétiens sont aussitôt attaquées. Pas moins de 200 familles chrétiennes du voisinage prennent la fuite. Naturellement les trois jeunes femmes sont arrêtées – et la police les a sauvées du lynchage. Puis elles ont été relâchées. Non seulement il a été prouvé qu’elles n’avaient rien fait, mais la locataire a avoué qu’elle voulait seulement se venger.

    Ce jour, les familles qui avaient fui ne sont pas encore rentrées… et les trois jeunes femmes se cachent.

  • Aurélien Taché

    « Vous me posez la question pour une jeune fille de douze ans qui porterait le voile et serait élevée dans une famille musulmane. Est-ce que vous me poseriez la question sur une famille catholique, une jeune fille à qui on mettrait un serre-tête ? Bien sûr que non. »

    Ce propos du député Aurélien Taché, samedi, a fait polémique, au point que le bureau exécutif de La République en marche a été convoqué pour en débattre « de manière informelle ».

    Y aurait-il donc un début de prise de conscience ? Car l’immonde clip de Julie Gayet contre les mariages forcés, montrant une famille de bourgeois versaillais, n’avait suscité aucune polémique. Seule l’Agrif avait sauvé l’honneur en portant plainte contre cette ignominie.

    Mais peut-être aussi est-ce la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Car Aurélien Taché est un extrémiste de la pensée unique immigrationniste islamofolle (c’est la faute de la société si des musulmans de banlieue deviennent jihadistes), obsédé la discrimination positive racialiste au point de dénoncer le fait qu’« il n'y a pas un Noir ou un Arabe parmi les maires des cinquante plus grosses villes » et qu’il est urgent de changer cela. Sans compter qu’il est fanatiquement europhile au point d’annoncer carrément que le transfert complet de la souveraineté française à Bruxelles est « au cœur » du projet européen de LaRem (ce que tout le monde sait mais ne se dit pas comme ça…). Voilà qui commençait à faire beaucoup.

    Face à l’imprévu tollé (si on ne peut plus démolir les cathos, où va-t-on..), Aurélien Taché a fait machine arrière et présenté ses « excuses à ceux que ses propos auraient pu blesser », non sans en réitérer le fond…