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Prud’hommes sous influence

Un chauffeur de bus de Clermont-Ferrand, Brahim M., avait été licencié pour avoir refusé de serrer la main de deux collègues femmes.

Les prud’hommes ont fait semblant de croire que ce n’était arrivé qu’une fois (la date indiquée dans la lettre de licenciement), alors que c’était récurrent. Et ils ont fait semblant de croire que ce n’était pas pour motif religieux mais par animosité personnelle envers ces deux femmes.

Ainsi, alors que dans la lettre de licenciement la direction dénonçait « un acte discriminant en état de récidive », les prud’hommes ont décidé qu’il n’y avait pas de récidive, et qu’il n’y avait pas de discrimination.

Naturellement, Brahim triomphe : « Pour moi, c’est une victoire morale. Ils ont voulu me faire passer pour la bête horrible, mais la vérité est enfin rétablie. La vraie discrimination, c’est moi qui l’ai subie…»

Commentaires

  • D'un autre côté, si refuser de serrer la main d'une collègue est un motif de licenciement, je suis peut-être en danger, moi qui ne suis guère aimable avec les mémères misandres qui complotent pour me tirer dans les pattes.

  • On ne peut pas vous reprocher votre attitude.

    Vous êtes pète-sec avec ces pétroleuses. Mais pas parce que ce sont des femmes. Parce que ce sont, selon votre jugement, d’insupportables emmerdeuses. C’est bien différent.

    Voir ce cas :

    https://www.la-croix.com/France/Immigration/refuse-serrer-main-refuse-naturalisation-2018-04-20-1200933365

  • @Curmudgeon
    Très intéressant le lien vers l'article de la "Croix". Il faut illico refuser ou déchoir de la nationalité française toutes celles qui portent tchador et burka , ce qui est un refus d'intégration plus grave que de refuser de serrer la main à un fonctionnaire de préfecture.

  • Il y a aussi l'attitude du commissaire de police Rabah Souchi à Nice qui fut scandaleuse :
    https://www.youtube.com/watch?v=OkStd7GcYsE
    Sans oublier les mensonges d'Estrosi !

  • fallait leur faire la bise... comme Judas. C'est ce qui se fait non?h

  • J'avoue que cette façon de serrer la main est déjà contestable dans bien des cas (observé l'an dernier à l'hôpital : le médecin sort d'examiner à main nue un patient ; il serre la main aux 4 personnes qui attendent, dont l'une porte un masque anti-contagieux).
    Dans les années 60 où j'ai fait mes études, les garçons ne serraient pas la main aux filles (On savait encore, apparemment, qu'il y avait deux sexes distincts dans le genre humain). Et les partisans des bonnes manières disaient : seule une dame peut tendre la main, et dans ces cas-là l'homme doit la lui baiser.
    Donc, musulman ou pas, je pense qu'un léger salut de la tête peut suffire ; et qu'en tout cas ce n'est pas à une femme de tendre la main (ce qui dans beaucoup de civilisations était un signe de prostitution ; de même d'ailleurs si elle prend une main tendue)
    Le libéralisme a imposé un laisser-aller, dont il fait maintenant une loi absolue ! Selon le réflexe de toutes les idéologies au pouvoir.

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