"La Cour européenne des droits de l’homme a refusé de renvoyer l’affaire E.S. contre Autriche en appel en Grande Chambre. La condamnation pénale de Mme Sabaditsch-Wolff, pour avoir assimilé à de la pédophilie l’union de Mahomet (56 ans) à Aïcha (9 ans), est donc définitive. C’est là un grave recul de la liberté d’expression. De fait, Mme Sabaditsch-Wolff a été condamnée pour avoir dit une vérité dérangeante."
Lire la suite de l’analyse de Gregor Puppinck ici. On retiendra que Mme Sabaditsch-Wolff est condamnée pour préserver la paix religieuse en Autriche. La paix religieuse implique donc qu’en ces temps où la lutte contre la « pédophilie » est une obsession, il est interdit de critiquer un homme qui couche avec une fillette quand cet homme s’appelle Mahomet.
Commentaires
Mais cassons du sucre sur le dos de l'Église qui s'obstine à promouvoir le célibat sacerdotal et la chasteté...