Gouvernement - Page 40
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Le maire d’Arcangues, clair et digne
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Le préfet, en présence de deux ministres : "Si vous n'étiez pas curé, je vous aurais mis deux tartes !"
Deux ministres en déplacement à Saint-Cyr au Mont d’Or. Le village est bouclé. Les gens qui sont à la Poste doivent y rester. Ceux qui sortent de l’église doivent présenter leurs papiers. Le curé se plaint auprès du préfet, qui réplique : "Si vous n'étiez pas curé, je vous aurais mis deux tartes !"
Un épisode parmi d’autres de la dictature homosexualiste hollandienne et vallseuse.
L’article de la presse locale.
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Une deuxième municipalité refuse de célébrer des parodies de mariage
Après le maire d’Arcangues, voici celui de Mésanger, près de Nantes. Jean-Yves Clouet et ses huit adjoints refusent de célébrer une mascarade homosexuelle dans leur mairie. Bien que les deux hommes soient « excessivement gentils », dit le maire qui remarque tout de même qu’ils viennent tout juste de s’installer dans la commune, et se demande s’il n’y a pas « un peu de provocation »…
Jean-Yves Clouet ajoute que l’Association des maires de France lui a dit qu’il n’est pas possible de déléguer à un conseiller municipal.
Manuel Valls dit le contraire dans sa circulaire. Il rappelle que si les conseillers municipaux ne sont pas officiers d’état-civil, ils peuvent néanmoins en assumer les fonctions sur délégation du maire, si lui-même et les adjoints sont absents ou empêchés. Ce qui ne peut « présenter qu’un caractère résiduel », commentait le ministère de la Fonction publique en 1996 en réponse aux doutes d’un sénateur.
Il est en effet rarissime qu’un maire et ses nombreux adjoints soient tous empêchés en même temps…
En fait, ce que Valls demande aux maires, c’est de mentir pour appliquer à toute force une loi qui est elle-même un mensonge. Et peut-être qu’il y a des maires qui ne veulent pas mentir.
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La circulaire de la dictature
Valeurs actuelles publie la (longue) circulaire comminatoire de Manuel Valls aux préfets sur l’obligation qu’ont les maires de célébrer ou faire célébrer les parodies de mariage entre personnes de même sexe.
En dehors du ton brutal que relève le magazine, on remarquera aussi l’hypocrisie du ministre qui souligne que, « en cas d’absence ou d’empêchement du maire et des adjoints », le maire peut déléguer à un simple conseiller municipal. Le ministre fait semblant de ne pas voir qu’il s’agit non d’une absence ou d’un empêchement mais d’un refus motivé. Il n’a pas le cran du vrai dictateur qui obligerait le maire et les adjoints à prouver qu’ils sont légitimement absents ou empêchés…
On relève surtout la parfaite inversion des valeurs, qui pourra servir d’exemple universel :
« Le refus de célébrer un mariage par le maire peut constituer une atteinte grave portée à une liberté fondamentale. »
Sic. C'est une fois de plus, et de façon très claire, Créon qui condamne Antigone. Et c'est Antigone qui témoigne des libertés fondamentales.
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Les menaces de la dictature
Le préfet des Pyrénées Atlantiques a publié vendredi soir un communiqué vengeur soulignant que le « droit au mariage dans la commune du domicile ou de la résidence de l'un des époux, inchangé depuis 1804, ne connaît aucune dérogation ». Et que, au cas où « aucune possibilité de célébrer un mariage n'apparaîtrait, comme cela semble être le cas à Arcangues », le maire peut être condamné pour discrimination, ce qui peut aller « jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende ». Il peut aussi être suspendu en Conseil des ministres, voire faire l'objet d'une révocation.
Manuel Valls en personne a déclaré samedi :
« Les lois s'appliquent partout et il ne peut pas y avoir la moindre rupture d'égalité. Évidemment, s'il y avait rupture d'égalité, le procureur serait saisi. Et les élus qui ne respecteraient pas cette égalité, les lois de la République, risquent des sanctions importantes. Donc j'espère que la raison va l'emporter là-bas comme ailleurs. »
La raison commande de constater qu’il n’y a pas d’égalité entre un couple et une paire.
La raison sait qu’une loi illégitime n’oblige pas et que son seul destin légitime est d’être abrogée.
La raison dit qu’on doit obéir aux lois universelles non écrites et non aux diktats humains qui contreviennent aux lois non écrites.
On sait cela au moins depuis Antigone. Et que Créon s’appelle Valls, Hollande ou Taubira ne change rien au fait que le législateur qui impose l’anarchie est un dictateur illégitime.
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Grégor Puppinck dénonce la répression valssienne à l’ONU
On connaît bien, désormais, les interventions de Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour la loi et la justice, devant la Cour européenne des droits de l’homme. Mais son organisation est également agréée par les Nations Unies. C’est ainsi que, ce 6 juin, il a dénoncé devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève, les « événements graves qui se produisent actuellement en France en matière de contrôles d'identités, d'arrestations et de détentions arbitraires ainsi que de violences policières ».
Vidéo et texte ici (via le Salon Beige).
Gégor Puppinck a lui-même participé aux manifestations, notamment celle du 24 mars, où il devait prononcer un discours, mais il fut évincé au dernier moment. Interview et texte de son discours ici.
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Le nouvel attentat contre la famille
Le gouvernement qui vient de détruire le mariage n’a pas osé, pour le moment, détruire les allocations familiales. Il se venge en abaissant le quotient familial.
Analyse trouvée sur le site du Parisien, et qui dit tout :
« Compte tenu de la complexité du calcul du quotient familial, pratiquement aucun ménage n'est en mesure de connaître l'impact de la mesure sur sa feuille d'impôt. En moyenne, cela revient à augmenter l'impôt sur le revenu de 68 euros par mois pour les familles concernées, soit environ un million de ménages. »
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Taubira convoque les 200 parquetiers pour un stage obligatoire de propagande LGBT
Les magistrats des parquets étaient tous convoqués ce lundi au ministère de la Justice pour une réunion, suivie d’un stage de deux jours sur « les violences et discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre ». C’est véritablement une obsession.
L’USM, qui trouve cette réunion « parfaitement légitime dans son principe » (parce que les parquets n’ont sans doute rien de plus important à faire que de traquer les fantasmes d’homophobie), se rebiffe quand même face à l’autoritarisme de la Taubira.
Le syndicat souligne que, comme le rappelle un projet de loi actuellement devant le Parlement, « les interlocuteurs naturels de la chancellerie sont les procureurs généraux » et non les autres magistrats des parquets, « qui n'ont pas vocation à sacrifier une partie de leur week-end pour se déplacer et être présents à Paris, un lundi matin à 9 heures ».
En outre : « Le ton comminatoire employé par la directrice des affaires criminelles et des grâces (…) pour ordonner leur présence et imposer (de quel droit ?) leur participation à un stage de deux jours organisés dans le prolongement de cette réunion est à cet égard totalement inadmissible. Le lien hiérarchique n'implique ni autoritarisme d'un côté, ni soumission de l'autre. Le ton employé est ressenti comme une marque de mépris pour ces magistrats qui, au quotidien, tentent de faire fonctionner des parquets exsangues, surchargés de commandes et dotés de moins en moins de moyens, tant humains que matériels pour assurer leurs missions. »
Enfin : « Nous suggérons par ailleurs que si des précisions techniques ou procédurales devaient être directement apportées aux magistrats des juridictions, elles le soient par voie dématérialisée, par le biais de visioconférences ou à l'occasion de déplacements de membres de vos services dans ces mêmes juridictions », ce qui éviterait « les dépenses somptuaires liées au déplacement de nombreux parquetiers, deux cents dans le cas d'espèce, en total décalage avec les restrictions budgétaires drastiques imposées aux juridictions ».
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SOS Homophobie a de nouveau le label Education nationale…
Le ministère de Vincent Peillon a de nouveau donné l’agrément national au lobby homosexualiste SOS Homophobie pour qu’il puisse librement faire sa propagande homosexuelle dans les écoles.
Le ministre de Sarkozy Luc Chatel avait déjà donné l’agrément national à SOS Homophobie en 2009, mais il avait été annulé par le tribunal administratif de Paris en novembre dernier sur plainte de la Confédération nationale des associations familiales catholiques.
On nous rappelle que le tribunal avait rejeté le « module de sensibilisation », au motif que la « formulation de certaines des réflexions de ce document est susceptible de porter atteinte aux convictions religieuses et philosophiques tant des élèves que de leurs parents ou des enseignants ».
On suppose donc que la formulation a été revue de façon cosmétique…
Mais il ne faut pas oublier que le jugement du tribunal était un jugement de fond : les interventions de SOS Homophobie dans les écoles, affirmait-il, « méconnaissent les principes de neutralité politique et philosophique, de liberté de conscience, de laïcité et du droit des parents sur l’éducation de leurs enfants ».
Ce sera toujours le cas. Mais le climat a tellement changé ces derniers mois que le même tribunal n’affirmerait sans doute plus cela. Et la dictature homosexualiste a atteint un tel degré que la CNAFC ne se hasardera sans doute pas à réitérer son action : elle pourrait bien être condamnée pour homophobie…
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« La France appelle à agir contre les islamistes du Sud libyen »
Non, ce n’est pas une blague. C’est ce que dit Laurent Fabius. Aux Africains. Nous avons mis le chaos en Libye et fait du sud du pays un repaire pour islamistes en tout genre. Maintenant c’est à vous de vous débrouiller pour nettoyer tout ça, parce que ça commence à sentir vraiment mauvais…