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Culture de mort - Page 245

  • La vie des homos

    La dernière enquête (réalisée fin 2004) publiée par l'Institut de veille sanitaire (InVS) confirme en France l'augmentation des pratiques sexuelles « à risques » entre homosexuels : 19% des hommes ayant répondu au questionnaire affirmaient en avoir pratiqués en 1997, 26% en 2000 et 33% en 2004, rapports « pour 60% pratiqués avec des partenaires » dont le répondant ignore s'il est porteur ou non du virus du sida.

    D’autre part, « les indicateurs de mal être dépeignent des situations préoccupantes, particulièrement parmi les jeunes hommes où les taux de dépression et de tentative de suicide sont bien supérieurs à ceux de la population en général ». 26% des moins de 25 ans déclarent avoir connu une dépression dans l'année écoulée. « La prévalence de tentative de suicide est élevée (19%) et en augmentation de 2 points entre 2000 et 2004 », une proportion « presque 5 fois plus importante que pour les hommes en population générale ».

  • « TABM » écrit au Télégramme

    Un « groupuscule anti-ecclésiastique » (sic) a revendiqué les récentes profanations de monuments religieux dans le Finistère, notamment l’incendie de a chapelle de la Croix de Loqueffret, par une lettre envoyée au Télégramme. La lettre est signée TABM, ce qui veut dire « True Armorik Black Metal » : ainsi est souligné une fois de plus le lien entre la « musique » dite « Metal » et le passage à l’acte profanatoire.

    « Nous, groupuscule extrémiste anti-ecclésiastique, ayant seulement frappé dans le Finistère-Sud pour le moment, rendons justice et ferons tomber les icônes symbolisant la faiblesse d’esprit »...  Le Télégramme, reproduisant cette phrase, ajoute : Le contenu de courrier, dont nous ne publions ici qu’une petite partie, est une vraie déclaration de guerre à l’encontre des religions, christianisme en tête. Un vrai défi aussi pour la cellule de quinze enquêteurs mobilisés depuis un mois sur cette affaire. Les quatorze lignes sont précédées d’une fresque représentant un parchemin sur lequel sont gravées des initiales sanguinolentes : « TABM ». Initiales séparées, au milieu, par une croix inversée. C’est la signature laissée sur chacune des dégradations qui ont visé, depuis le 8 mai dernier, huit calvaires et chapelles du Sud-Finistère. »

    TABM dit aussi : « Nous allons frapper encore, encore et encore. »

  • Christine et Fadela bras dessus bras dessous

    Fadela Amara, la fondatrice de Ni putes ni soumises, est donc aujourd’hui secrétaire d’Etat chargée de la politique de la ville dans le ministère de Christine Boutin.

    Il était proprement ahurissant de voir hier les embrassades entre les deux femmes. Christine Boutin est connue pour ses positions en faveur de la famille, contre l’avortement, etc. Elle est consulteur du Conseil pontifical pour la Famille. Fadela Amara est une laïciste de choc, liée aux pires lobbies de l’avortement. Demain jeudi, la section belge de Ni putes ni soumises participe à une manifestation devant l’ambassade de Pologne à Bruxelles, avec le « Front antifasciste », le Centre communautaire laïque juif (sic), le Planning familial et divers lobbies de la culture de mort pour protester contre la politique du gouvernement polonais, et spécifiquement contre la Ligue des familles polonaises, qui participe à ce gouvernement.

    Telle est la nouvelle amie de Christine Boutin. Dans un gouvernement où le mot « famille » a disparu. Dans le premier gouvernement, il n’y avait pas de ministre de la famille. On se disait qu’un secrétaire d’Etat aurait la famille dans ses attributions, comme c’était encore le cas dans le dernier gouvernement Villepin, avec Philippe Bas, qui avait le titre de ministre délégué à la sécurité sociale, aux personnes âgées, aux handicapés... et à la famille. Mais non. La famille a purement et simplement disparu de l’organigramme gouvernemental. La cellule de base de la société, celle qui est tout simplement la condition sine qua non pour que la société continue d’exister, ne fait pas partie des sujets de préoccupation du gouvernement Sarkozy. Et Mme Boutin est tout sourire, bras dessus bras dessous avec une égérie de l’avortement.

  • Messe de réparation

    Le cardinal Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, donne un bel exemple. Il va célébrer en fin d’après-midi une « messe de réparation des outrages dont a été victime la Vierge Marie  ». « Il est normal d’avoir une messe de réparation après un blasphème », a déclaré le porte-parole de l’évêché à l’AFP qui s’étonnait de cette initiative d’un autre temps...

    Le blasphème en question est la programmation d’un spectacle intitulé «  La Vierge pleure du sperme », dans le cadre d’un festival, à la fin du mois, consacré aux femmes homosexuelles...

    Assaillie de protestations, la mairie a fait annuler le spectacle.

  • Profanations : les gendarmes enquêtent

    Une cellule de 15 gendarmes a été spécialement mise en place dans le Finistère pour enquêter sur les actes de « vandalisme » qui se multiplient contre le patrimoine religieux, et tenter de les enrayer. Ils « travaillent à temps complet avec des spécialistes de l’analyse criminelle », précise le colonel Henry.

    Bonne nouvelle : la piste sataniste (il est vrai évidente) est prise au sérieux. « C’est un domaine qu’il nous faut comprendre, explique le colonel Henry. Dans beaucoup de dossiers de ce type nous n’hésitons pas à avoir recours à des gens qui ont la connaissance des phénomènes et qui nous éclairent sur les rites et nous donnent des élements de réflexion sur les pistes probables ». » « Nous avons déjà beaucoup progressé », a-t-il ajouté.

  • Profanations en Bretagne : une chapelle incendiée

    La chapelle de la Croix , à Loqueffret (Finistère), qui date du XVIe siècle et est classée aux monuments historiques, a été entièrement incendiée samedi. On a retrouvé sur les murs des tags d’une croix renversée et du sigle TABM, ce qui ne laisse aucun doute sur l’origine sataniste du vandalisme. Ces inscriptions ont déjà été trouvées sur divers calvaires profanés au mois de mai dans la région (voir le site Indignations). Le sigle était d’abord ABM. Il demeure mystérieux. La seule signification connue des deux sigles est missile antibalistique et missile tactique antibalistique...

  • La commission paritaire et la « décence »

    Les syndicats de la presse font connaître à leurs adhérents le contenu d’un décret paru le 9 mai dernier, réformant les critères d’admission des journaux à la commission paritaire (ce qui permet de bénéficier de tarifs postaux préférentiels et d’une TVA très réduite).

    « Cette parution a surpris les organisations professionnelles de presse car nous pensions être en phase de négociation quand il a été publié », dit le syndicat de la presse magazine et d’opinion, qui attendait une réponse à son courrier demandant une modification de  la version préparatoire...

    On retiendra dans ce décret ce qui concerne la « décence ». Aucune publication ne doit être « susceptible de choquer le lecteur par une représentation dégradante de la personne humaine portant atteinte à la dignité et à la décence ou représentant sous un jour favorable la violence ».

    Reste à savoir évidemment quelle interprétation de ce texte donnera la commission paritaire, car chacun des mots utilisés est susceptible d’être défini de façon très diverse. Et une interprétation stricte (ou plutôt le seul fait d’utiliser le mot « décence » dans son sens obvie) ferait exclure de la commission paritaire un grand nombre de magazines grand public...

    Il va de soi que toute apologie de l’avortement, de l’euthanasie ou de l’homosexualité devrait être un motif d’exclusion de la commission paritaire, comme aussi le fait de publier un dessin représentant le Christ en croix affublé d’un préservatif, etc.

    Ce n’est hélas pas ce que veut dire le décret. Néanmoins il y a là une arme disponible contre un certain nombre d’ignominies qui peuvent échapper à la vigilance très « laïque » des observateurs de la commission paritaire et seraient susceptible de faire l’objet d’une pression par ce biais.

    Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse
    35, rue Saint Dominique
    75007 PARIS

  • Le business de l’avortement

    Selon son dernier rapport, le Planning familial américain a récolté 902,8 millions de dollars en 2005-2006. Soit un nouveau record de gains, en augmentation de 2,4% sur l’année fiscale précédente. Le bénéfice net est de 55,8 millions de dollars. 32,5% des revenus proviennent de la réalisation de 264.943 avortements. Le reste provient des dons et des subventions.

    C’est la 34e année d’affilée que le Planning réalise un bénéfice. Mais pour la première fois le revenu provenant des avortements a baissé, de 1,5 million. Les donations ont également baissé, de 3,6 millions. Mais les fonds publics ont augmenté de 32,6 millions. 34% des revenus du Planning sont ainsi venus des contribuables américains.

    « Le Planning perd des donations, ses revenus des cliniques baissent, et vous et moi sommes forcés de payer plus, afin que cette organisation puisse tuer nos enfants par l’avortement et répandre son idéologie perverse dans le pays », s’exclame le chef d’un groupe de surveillance, Jim Sedlak, qui souligne également le fait que l’argent venant des contribuables est aussitôt placé : il a rapporté 55 millions de dollars lors de la dernière année fiscale.

    En Californie, le Planning réclame une augmentation des remboursements (des avortements), alors qu’il a reçu 270 millions de dollars de subventions depuis 1998 et réalisé un profit de 83 millions de dollars sur cette période.

    « Il est temps que cela cesse, dit Jim Sedlak. Il est clair que les politiciens, d’eux-mêmes, ne vont pas fermer le robinet. Ce sont les Américains moyens, vous et moi, qui en ont assez de  financer cette scandaleuse organisation, qui doivent passer à l’action. »

    (source : lifenews)

  • Les profanations quasiment impunies

    Les deux satanistes avérés, et qui se revendiquent comme tels, qui avaient profané de nombreuses tombes dans trois cimetières de la Marne et s’étaient livrés à divers actes blasphématoires ont été condamnés à 12 mois de prison dont 9 avec sursis. Autrement dit ils sont libres, car on ne va pas en prison quand on est condamné à trois mois (la plupart des peines inférieures à un an ne sont pas appliquées).

    Le parquet avait requis un peu plus : 18 mois dont 12 avec sursis. Mais les experts ont relevé « une certaine immaturité » chez les deux hommes...

  • « Faculté de théologie catholique »

    Le P. Michel Deneken, doyen de la faculté de théologie catholique de Strasbourg, représentant l’archevêque de Strasbourg, Mgr Jean-Pierre Grallet, a déclaré que « l’homophobie est un péché », et il a dit aussi : « J’ai des amis prêtres homosexuels. Je ne sais pas s’ils sont de moins bons prêtres ou de meilleurs prêtres que moi, mais je sais qu’en Alsace l’homosexualité des prêtres ne fait pas problème. »

    C’était à la 25e conférence du Forum européen des groupes lesbiens, gays, bi et trans, organisée du 16 au 20 mai par le prétendu groupe chrétien homo David et Jonathan.

    Au lieu de rappeler l’enseignement de l’Eglise sur l’homosexualité, et de dénoncer l’ignominie de l’appellation « David et Jonathan » (comme si le roi David avait pu être homosexuel…), le doyen de la faculté catholique a donc affirmé que l’homosexualité des prêtres ne pose pas de problème, et que l’homophobie est un péché.

    Il n’a pas précisé s’il fallait expurger les épîtres de saint Paul, et la Bible dans son ensemble, de leurs passages ouvertement « homophobes », ni comment il fallait qualifier le péché de Dieu qui a poussé l’homophobie jusqu’à détruire Sodome.

    Il n’a pas non plus précisé si l’agoraphobie, la claustrophobie et l’arachnophobie sont aussi des péchés.

    Et l’incertitude demeure quant à l’islamophobie, encore que l’on puisse se douter de la position du doyen sur le sujet.

    (via Chrétiens dans la cité)