Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

homosexuels

  • Homos

    Un jeune homme de 25 ans, soupçonné d’avoir volontairement contaminé d’autres homosexuels par le virus du sida, a été mis en examen à Draguignan pour « administration de substances nuisibles ayant entraîné une infirmité permanente ». (On parle sans arrêt de réforme de la justice : on ne pourrait pas déjà commencer par rédiger un article du code pénal correspondant un peu mieux aux faits ?)

    L’affaire a été mise au jour à la suite de la plainte d’un de ses « partenaires », puis d’un deuxième, tous deux domiciliés dans le Var. Selon les premiers résultats de l’enquête, une dizaine de jeunes homosexuels auraient été contaminés dans la région depuis 2002, date à laquelle l’auteur présumé a pris connaissance de sa maladie.

    Celui-ci n’hésite pas à se défendre en mettant en avant son incapacité à admettre et à affronter la maladie, et explique son attitude par une « fuite en avant »...

  • Vienne racole

    La ville de Vienne diffuse un guide touristique de 48 pages en quatre langues (également téléchargeable sur son site internet) exclusivement destiné aux touristes homosexuels (comme le soulignent les nombreuses photographies de couples mâles et de couples femelles, à faire fuir les gens qu’on qualifiait autrefois de normaux). On y trouve tous les établissements « gay friendly » de la capitale autrichienne, et des itinéraires de « promenades gays » passant par... la maison où est mort Schubert, enrôlé de force dans la communauté (on lui connaît deux amours malheureux, mais féminins), ou... l’église Saint-Charles Borromée, parce qu’elle fut commandée par l’empereur Charles VI, dont on invente qu’il aurait eu une amitié « équivoque » avec un de ses courtisans.

    Jusqu’ici, Vienne figurait loin derrière Paris, Berlin ou Barcelone au classement des destinations favorites des homosexuels, mais « la ville est en train de combler son retard », se félicite la directrice du « Guide Queer ».

    Bien entendu, il s’agit d’abord de faire de l’argent : « Les homosexuels sont une cible très intéressante. Ils sont en général intéressés par la culture, n’ont pas d’enfants et peuvent donc voyager facilement, et surtout ils dépensent en moyenne beaucoup plus que les hétérosexuels. »

  • Delanoë subventionne la discrimination

    Le site parisien Le Perroquet libéré dénonce la subvention annuelle (10.000 €) accordée par la Mairie de Paris à l’association Cineffable qui organise un festival de cinéma lesbien interdit aux hommes. Cette subvention devrait tomber automatiquement sous le coup de la loi, car elle encourage une discrimination à raison du sexe. Les organisatrices du festival vont jusqu’à proclamer : « La non-mixité est un privilège. » Sic.

    Le Perroquet libéré a saisi la Halde , en octobre 2006. Il n’a eu aucune réponse. C’est une preuve parmi d’autres de la partialité de cette institution, qui ne surprendra que les niais. La Halde a été créée pour renforcer la subversion morale et sociale, pas pour la combattre.

    Dans son argumentaire à destination des conseillers de Paris, Bertrand Delanoë prétend que Cineffable est une association qui a pour objet de « lutter contre tout sexisme » (sic), et que si elle organise un festival « réservé aux femmes » en automne, elle organise aussi une session mixte au printemps. Ces deux festivals sont indissociables, souligne Delanoë, qui croit ainsi échapper aux critiques.

    La parade est habile. Le problème, c’est que Cineffable vient précisément de supprimer sa session « mixte », pour cause de désaffection du public et de déficit croissant. L’alibi de Delanoë ne tient donc plus.

    Cette année, Cineffable a demandé une subvention, non seulement à la Mairie de Paris, mais aussi à la région Ile-de-France et au département de Seine-Saint-Denis, qui s’apprêtent donc sans doute à financer également une manifestation discriminatoire organisée par des extrémistes du lobby lesbien...

  • La vie des homos

    La dernière enquête (réalisée fin 2004) publiée par l'Institut de veille sanitaire (InVS) confirme en France l'augmentation des pratiques sexuelles « à risques » entre homosexuels : 19% des hommes ayant répondu au questionnaire affirmaient en avoir pratiqués en 1997, 26% en 2000 et 33% en 2004, rapports « pour 60% pratiqués avec des partenaires » dont le répondant ignore s'il est porteur ou non du virus du sida.

    D’autre part, « les indicateurs de mal être dépeignent des situations préoccupantes, particulièrement parmi les jeunes hommes où les taux de dépression et de tentative de suicide sont bien supérieurs à ceux de la population en général ». 26% des moins de 25 ans déclarent avoir connu une dépression dans l'année écoulée. « La prévalence de tentative de suicide est élevée (19%) et en augmentation de 2 points entre 2000 et 2004 », une proportion « presque 5 fois plus importante que pour les hommes en population générale ».

  • Un élu socialiste contre l’abomination homo

    « Dans la Bible, Dieu dit que c'est une abomination. Je préférerais démissionner du poste de maire plutôt que de célébrer un mariage homosexuel. (…) J'ai le droit de dire que je suis un chrétien et j'obéis aux valeurs auxquelles je crois et que je défends. »

    Ce propos, rapporté hier par e-deo, est de Raymond Occolier. Qui est-ce ? C’est le délégué national du PS à l'éducation et à la mémoire. Il est conseiller régional de Martinique et maire du Vauclin. Il est aussi candidat du PS aux prochaines élections législatives dans la quatrième circonscription de la Martinique, selon ce qu’a annoncé le 14 mars Marlène Lanoix, première secrétaire fédérale du Parti socialiste en Martinique. Marlène Lanoix qui avait qualifié le Pacs de « dérive de société décadente », ce qui lui avait valu de comparaître devant la commission nationale des conflits...

    Raymond Occolier a également promis qu’il organiserait un référendum local si le mariage homosexuel était légalisé (ce qui est une promesse de sa candidate Marie-Ségolène…).

    Des groupuscules homos se plaignent auprès de François Hollande des propos homophobes et de l’atteinte à la laïcité dont s’est rendu coupable l’élu socialiste. L’affaire n’en restera sans doute pas là.

  • Un « pas en avant » vers l’homoparentalité

    La cour d'appel d'Amiens a prononcé mercredi l'adoption simple d'un garçonnet de deux ans et demi par la compagne de sa mère biologique (laquelle a pour cela abandonné son autorité parentale…), confirmant ainsi un jugement de première instance.

    Le 30 novembre 2006, le tribunal de grande instance de Belfort a également prononcé l'adoption d'un garçon de 5 ans par un couple de lesbiennes. La première décision de ce type remonte à 2001, quand fut prononcée l'adoption de trois petites filles par la compagne de leur mère biologique. En revanche, en juin 2006, la cour d’appel de Riom a refusé l’adoption d’un enfant de deux ans vivant avec deux femmes pacsées. Par ailleurs, en février 2006, la Cour de cassation a accordé à deux lesbiennes une « délégation de partage de l’autorité parentale ».

    Avec l’arrêt d’Amiens, « l'adoption par les couples homosexuels a fait un pas en avant », souligne l’AFP,  « l'homoparentalité a fait un petit pas supplémentaire », alors que le « droit à la parentalité » pour les homosexuels n’existe pas dans la loi.

    Les lobbies homosexuels s’engouffrent aussitôt dans la brèche, saluant cette « avancée » mais stigmatisant le « bricolage » et réclamant la légalisation « urgente » de l’homoparentalité.

    Pour la présidente du Conseil supérieur de l'adoption, Michèle Tabarot (qui est aussi déléguée de l’UMP à la famille), la cour d'appel d'Amiens « détourne l'esprit de la loi, l'adoption ne devant pas être utilisée » pour faire reconnaître le droit des homosexuels à la parentalité.

    Pour la « Défenseure des enfants » Dominique Versini, « la famille homosexuelle est une réalité », et elle propose, en attendant une décision du législateur, de simplifier et rendre plus performante la délégation d'autorité parentale.

    Voilà comment on défend les enfants et la famille en France…

  • Œuvre de Satan

    Le maire de Moscou Iouri Loujkov tient bon et affirme qu’il interdira de nouveau cette année la Gay Pride à Moscou : « L’année dernière, une pression sans précédent a été exercée sur Moscou pour qu’y soit organisée une parade gay que l’on ne peut appeler autrement qu’une œuvre de Satan. Nous n’avons pas permis cette manifestation et nous ne l’autoriserons pas à l’avenir. » Et le maire de Moscou d’ajouter à notre adresse : « La pensée religieuse mondiale constate une crise de la foi en Occident. Dans certains pays d’Europe on bénit les mariages homosexuels, dès les premières années d’école on introduit des manuels sur le sexe. De telles choses agissent comme un poison moralement mortel sur la conscience pure des enfants. »