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Le racisme en France

Le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme sur le racisme en France a été remis aujourd’hui au Premier ministre.

Il doit constater une baisse de 23,5% des faits racistes, xénophobes et antisémites (707 en tout, y compris les « menaces », c’est-à-dire les insultes de comptoir...).

Je vous laisse imaginer les tableaux publiés (violences racistes, menaces racistes, actes d’antisémitisme, par régions, par départements...) avec plein de petites cases où est inscrit le chiffre zéro, malgré l’acharnement des autorités à débusquer partout un racisme inexistant.

Ces dernières années, on se rattrapait sur le « sondage » : celui-ci était très inquiétant car il montrait qu’une proportion trop importante de Français avoue être « raciste ». Ou « un peu racistes »... Or voilà que 48% des Français se disent « pas du tout racistes », soit 4 points de mieux que l’an dernier.

Cela n’empêche pas la commission de clamer que la tendance à une augmentation de la violence est « confirmée »... parce que les chiffres « restent plus élevés que ceux de la période 1990-2000 ».

N.B. Le rapport est disponible sur internet. On constate que la CNCDH a abandonné ses tableaux avec toutes les petites cases pleines de zéros...

On constate aussi que la CNCDH ne peut pas traiter du racisme anti-blanc ou anti-français puisqu'elle traite des actes ou des menaces "racistes et xénophobes", les deux mots étant judicieusement indissociables...

Commentaires

  • Supposez que ce genre d'organisme dise : il n'y a pas de problème raciste en France. Ses membres peuvent aller pointer au chomage du jour au lendemain. Ils sont donc des profiteurs de l'antiracisme.

    Il se peut que durant les années 1990-2000 la comptabilisation ait été plus laxiste, la "commission" en profite.

    En revanche les faits de spoliations par les tribunaux français, de diffamations par les juges français, de prévarications par les tribunaux français sont très fréquents et totalement passés sous silence. Ils ne sont pas payés pour cela nos petits comitards.

    Ils ont une notion des droits de l'homme qui dépend de leur idéologie, ils n'en ont donc aucune.

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