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Antiracisme - Page 27

  • La hausse des « faits antisémites »

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Au dîner du Crif on s'est inquiété de la subite recrudescence des « faits antisémites » en janvier.

    Chacun reconnaît que ces « faits » sont dus à ce qu'on a appelé l'importation du conflit entre Israël et les Palestiniens de Gaza.

    Il n'y aurait pas eu d'importation du conflit s'il n'y avait eu, et s'il n'y a toujours, une importation massive d'immigrés qui, par leur religion et leur culture d'origine, peuvent être enclins à prendre violemment position.

    Le président de la République a déclaré que ces antisémites « n'ont rien à faire sur le territoire de la République française ».

    Alors, que fait-on ?

  • « C’est d’une pâleur »…

    Le CRAN, pour montrer qu’il est aussi « représentatif » que le CRIF, organise un dîner annuel, auquel il invite de nombreuses personnalités. Ce n’est pas encore au point de celui du CRIF, qui ressemble à la fois au conseil des ministres et une réunion des états-majors des partis politiques. Mais hier soir il y avait des représentants de haut niveau de l’UMP (Dominique Paillé et Axel Poniatowski) et du PS (Sandrine Mazetier et Jean-Marie Le Guen), deux ministres (Roger Karoutchi et Eric Besson), et naturellement le commissaire à la diversité et à l'égalité des chances, Yazid Sabeg, qui a déclaré que "parmi les défis importants" qui se posent au pays, figure "la façon dont on va réaliser l'égalité réelle" :

    "La situation se dégrade plutôt pour nos enfants (...) Si on n'agit pas vite et fort, on va construire un apartheid social et territorial. A quoi sert d'avoir des autoroutes, des industries florissantes, si notre cohésion sociale est minée. Il suffit de regarder la couleur de nos assemblées et de nos entreprises pour voir l'ampleur du problème: c'est d'une pâleur, d'une blancheur et c'est pas très frais d'ailleurs!"

    M’est avis que M. Sabeg est lui-même assez pâlichon. Je ne me permettrai pas d’ironiser sur sa fraîcheur, mais je constate que son propos est ouvertement raciste, comme l’est l’intitulé même du CRAN. En toute impunité, car il s’agit du racisme officiel qui échappe donc par le fait à la Halde et à la justice.

  • Echec aux lesbiennes

    Deux jeunes filles, exclues d’un lycée luthérien de Californie pour avoir exhibé leur relation homosexuelle, avaient porté plainte contre l’établissement pour discrimination. En première instance, leur plainte a été rejetée. Elles ont fait appel. La cour d’appel vient de confirmer le jugement de première instance, au motif que le lycée n’est pas tenu de se conformer à la loi prohibant la discrimination selon l’orientation sexuelle sur le lieu de travail, car "l'école n'est pas un établissement commercial".

    L'avocat des deux plaignantes a promis de porter l'affaire devant la Cour suprême de Californie…

  • La justice espagnole contre les évêques et les familles

    Le Tribunal Suprême espagnol décide que les parents n’ont pas le droit d’arguer d’un "droit de conscience" pour justifier que leurs enfants ne suivent pas les cours d’"Education pour la citoyenneté" instaurés par le gouvernement, estimant que cette matière ne va "pas à l'encontre du droit fondamental des parents d'inculquer à leurs enfants une formation religieuse et morale en accord avec leurs propres convictions".

    C’est une réponse frontale aux évêques, qui avaient dénoncé "une atteinte grave au droit inaliénable des parents et de l'école à opter pour l'éducation morale qu'ils souhaitent pour leurs enfants".

    L’objection de conscience s’était organisée, et des juristes avaient élaboré un guide pour les familles.

  • Les cours « d’éthique et de culture religieuse » au Québec

    Depuis la mise en place dans les écoles québécoises, à la rentrée, d'un cours d'Etat obligatoire d'« éthique et de culture religieuse » dans les écoles privées comme dans les écoles publiques, certains parents ont décidé de boycotter le cours. Soutenus par le cardinal Ouellet, ils dénoncent la dictature du relativisme et réclament le droit de choisir pour leurs enfants scolarisés « un enseignement moral ou religieux en accord avec leurs croyances et leurs convictions ».

    Pour en savoir plus, lire l’article de Marine Soreau sur Zenit.

  • Diversité (1)

    Une employée de banque de 32 ans, Djamila A., a été poignardée mercredi en pleine rue dans le XXe arrondissement de Paris.

    Amel, commerçante et riveraine, a raconté à l'AFP la scène à laquelle elle dit avoir assisté: "Ca s'est passé à 11h20. La demoiselle fumait tranquillement sa cigarette à l'extérieur. Le jeune homme est venu, il avait 24/25 ans, c'était un grand black baraqué qui avait fait un stage dans un magasin de sport juste à côté".

  • « Antisémites » ?

    Toutes les inscriptions relevées sur les murs des synagogues ces jours-ci sont qualifiées d’antisémites.

    Sans doute le sont-elles par le fait qu’elles visent des synagogues.

    Mais celles que l’on a vues sur la synagogue de Mulhouse, hier, ne sont pas seulement, ni même d’abord, antisémites :

    «A mort Israël», «Vive la Palestine» et… «Nique la France».

  • Un négationniste de choc

    La société de production chargée des spectacles de Dieudonné prévus en février et mars à Besançon, Belfort et en Haute-Saône a décidé de les déprogrammer, après que ce dernier eut invité Robert Faurisson sur la scène du Zénith de Paris.

    « En voyant Faurisson se faire remettre un prix par une personne déguisée en déporté juif, je me suis dit: ou tu cautionnes, ou tu as une conscience et tu annules les spectacles, - ce que j’ai fait », a indiqué à l’AFP Hamid Asseila, responsable de la société Nouvelle Génération Production, en charge de l’organisation des spectacles.

    « J’ai eu mal au cœur pour le peuple juif qui a beaucoup souffert. On ne peut pas s’asseoir sur 2 millions de morts », a-t-il ajouté.

    Même pour Faurisson il y a eu plus de « 2 millions de morts ». Une telle déclaration tombe à l’évidence sous le coup de la loi Gayssot...

  • L’obsession de la « diversité »

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy a avancé d’un mois son annonce de nouvelles mesures en faveur de la « diversité », c’est-à-dire de discrimination positive, afin de court-circuiter l’effet du rapport de Simone Veil qui lui a été remis ce même jour.

    Car Simone Veil contredit frontalement le chef de l’Etat en constatant que vouloir modifier la Constitution pour y introduire la discrimination positive est contraire au principe d’égalité.

    En procédant ainsi, le président de la République ne fait que souligner que ses projets violent les principes républicains, et tout simplement ceux de la nation.

    Et ce n’est pas la nomination de Yazid Sabeg, comme « commissaire à la diversité et à l'égalité des chances » qui pourra masquer ce fait. M. Sabeg, extrémiste de la « discrimination positive », qu’il maquille en « égalité réelle », est au contraire le représentant emblématique de l’idéologie que rejette le rapport de Simone Veil.

  • Gianfranco Fini, de pire en pire

    Gianfranco Fini, actuellement président de la Chambre des députés italiens, a déclaré à propos des lois raciales fascistes de 1938, lors d'une cérémonie commémorant les 70 ans de leur promulgation :

    « L'idéologie fasciste n'explique pas à elle seule l'infamie des lois raciales. Il faut se demander pourquoi la société italienne s'est conformée dans son ensemble aux lois contre les Juifs, et pourquoi, à part de rares exceptions, il n'y a eu aucune manifestation particulière de résistance. Même pas, et cela me fait mal de le dire, de la part de l'Eglise catholique. »

    Cette attaque contre l’Eglise, de la part de quelqu’un qui se dita catholique (et qui est un ancien responsable néo-fasciste…) est répugnante.

    On trouvera les principaux éléments de réponse ici.