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Antiracisme - Page 11

  • En Islande, c’est pas comme chez nous…

    Le 27 novembre, trois têtes de porcs et des pages du Coran maculées de sang ont été disposées sur le terrain où doit être construite une mosquée, à Reykjavik.

    Comme la chose ne suscitait aucune réaction, un professeur de la faculté de droit a suggéré, le surlendemain, qu’il devrait y avoir une enquête pour crime de haine. La police a répondu qu’il était peu probable qu’il y ait une enquête, car il n’y a pas de preuves : les services de nettoyage ont enlevé et détruit les ordures qui se trouvaient sur le site. L’officier de police qui s’était rendu sur les lieux a déclaré qu’il avait vu en effet des papiers mais qu’il ne savait pas s’ils avaient un rapport avec l’affaire…

  • La folie « antiraciste » combinée à l’analphabétisme judiciaire

    Je n’avais pas fait attention à l’annonce du jugement de Bobigny censurant des livres « antisémites » édités par Alain Soral, parce que je me disais que le personnage avait dû effectivement éditer, par provocation et pour sa publicité personnelle, des textes tombant évidemment sous le coup de la loi.

    Mais j’apprends que parmi ces livres il y a Le salut par les juifs de Léon Bloy.

    Il aura  fallu attendre l’an de disgrâce absolue 2013 pour qu’un juge français censure Léon Bloy.

    Pour qu’un juge analphabète censure un livre qui est… contre l’antisémitisme…

    Et qui est en outre un classique de la littérature française, où la justice ne devrait pas avoir le droit de mettre le nez. Ou alors il va falloir censurer bien des textes… à commencer par les textes ouvertement racistes de Voltaire, par exemple, et de quelques autres lumineux parangons des "valeurs de la République"...

  • Taubira superstar internationale ("Minute" aussi, par le fait)

    Le Haut-Commissariat des droits de l'homme de l'ONU condamne les « attaques racistes » contre Christiane Taubira.

    « Nous condamnons les attaques racistes dont fait l'objet depuis plusieurs semaines la ministre française de la Justice, Christiane Taubira, et notamment la couverture d'un hebdomadaire d'extrême droite Minute publié mercredi avec la photo de la ministre accompagnée de la légende : “Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane” », a déclaré un porte-parole du Haut-Commissariat à Genève.

    Et le Haut-Commissariat lui-même : ces « abus totalement inacceptables perpétrés à l'encontre d'une responsable politique connue, en raison de sa couleur de peau, sont une manifestation claire de la montée du racisme, de la xénophobie et de l'intolérance à l'encontre des minorités ethniques ou religieuses et des migrants dans de nombreux pays européens ».

    Le Haut-Commissariat aux droits de l’homme est évidemment trop partisan et idéologiquement pourri pour comprendre qu’il ne s’agit pas de couleur de peau mais de politique. Mme Taubira a défendu et fait passer une loi qui nie la nature humaine. Elle ne peut pas s’étonner des conséquences sur sa petite personne.

  • Une imposture (parmi d’autres) de l’antiracisme

    Najat Vallaud-Belkacem affirme avoir été victime de propos racistes lors du (non-)débat sur la destruction du mariage. C’est La Manif pour Tous qui a réveillé les « propos racistes », dit-elle, racontant que lors de ses déplacements il n'était pas rare qu’elle s'entende dire à sa descente de train : « Puisque tu l'aimes tant que ça, le mariage pour tous, t'as qu'à le faire dans ton pays ! »

    On ne voit pas en quoi il serait raciste de faire remarquer à Najat Vallaud-Belkacem que le soi-disant « mariage » homosexuel ne pourrait pas être institué au Maroc. C’est même plutôt le contraire, car c’est souligner que ce pays garde sur ce point le sens de la loi naturelle.

    Mais le sport gouvernemental et médiatique actuel est de débusquer à tout prix le racisme où il n'est pas...

  • La dictature antiraciste version dhimmitude

    Un site islamique a dénoncé la prétendue « islamophobie » d’une question sur un emballage d’Apéricube, et l’accusation s’est évidemment répandue à la vitesse d’internet.

    Le groupe Bel s’est mis à plat vendre pour s’excuser et demander humblement le pardon des maîtres de l’opinion :

    « Nous sommes bien conscients que cette question a pu choquer. Elle est totalement inappropriée et ne reflète en aucun cas la position de Bel, dont les valeurs font du respect des croyances, de la culture et des convictions de chacun un principe fondamental. Nous présentons nos plus sincères excuses. »

    Quelle était cette ignoble question islamophobe ?

    Celle-ci :

    « Où le problème du foulard islamique est-il apparu en 1989 ? »

  • Harlem, souviens-toi…

    Harlem Désir, premier secrétaire du parti socialiste, s’élève avec virulence contre Bruno Gollnisch parce que celui-ci a qualifié Eduardo Rihan-Cypel, porte-parole du PS, de « Français de relativement fraîche date ».

    « Ces propos ad hominem, qui visent l'origine d'un responsable politique et d'un parlementaire français, sont insupportables et s'inscrivent dans la plus ignoble tradition de l'extrême droite française », écrit Harlem Désir.

    Décidément, la vérité, et un nombre de plus en plus important de vérités, devient « insupportable » à une partie de plus en plus importante du personnel politique.

    On n’a pas entendu Harlem Désir ni un autre responsable socialiste (tiens, Manuel Valls, au hasard…) tenir les mêmes propos contre la démocratie américaine, qui stipule que les candidats à la présidence des Etats-Unis doivent être nés américains…

  • L’accusation de “racisme” commence vraiment à relever de la psychiatrie

    Des universitaires britanniques publient un livre dénonçant la série télévisée Docteur Who comme « scandaleusement raciste ».

    L’accusation principale est que c’est toujours un blanc qui incarne le docteur, alors qu’on pourrait (qu’on devrait impérativement) varier sa couleur de peau puisqu’il change de visage.

    On ajoute que les personnages non blancs sont toujours de « second rang ». Ce qui est évidemment faux, puisque la « diversité » idéologique s’impose à cette série comme aux autres : en 2007 la compagne du docteur était une noire, et une autre noire a joué un rôle important cinq saisons de suite.

    L’un des auteurs du livre va jusqu’à dénoncer le goût du docteur, dans l’une des saisons, pour le cricket, sport qui rappelle « la nostalgie raciale et de classes » de l’Empire britannique…

    (Ozap, via FDesouche)

     

  • La fausse suppression des races…

    L’Assemblée nationale a adopté hier la proposition de loi du Front de gauche qui supprime le mot « race » de la législation française : à savoir du Code pénal, du Code de procédure pénale, et des lois… antiracistes. Pour que la proposition de loi ne supprime pas ipso facto la législation dite antiraciste, un amendement a été adopté qui faire dire à la loi : « La République combat le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie. Elle ne reconnaît l'existence d'aucune prétendue race. » Sic.

    Pour l’heure, la race reste dans la Constitution. Et surtout, cette loi est d’autant plus stupide que le mot race se trouve dans les lois et conventions européennes, qui, comme chacun le sait, priment la législation nationale…

  • Le CSA raisonne toujours selon des critères raciaux

     Le CSA publie son quatrième baromètre de la diversité dans les médias et considère que « les résultats ne sont pas satisfaisants du tout », parce qu’il n’y a que 12% de personnes « non blanches » sur les écrans de télévision. « Il y a quelque chose à changer dans notre système mental », a déclaré Memona Hinterman, depuis peu conseillère du CSA, lequel va auditionner les dirigeants des chaînes « pour obtenir enfin des engagements fermes ».

    Dans mon village il y a 1% de « non-blancs ». C’est grave, docteur ?

  • La définition du racisme

    Selon Ouest France, deux militants du FN ont été condamnés à Laval pour « provocation à la haine raciale » parce qu’ils avaient collé des affiches « racistes ».

    Selon Ouest France, ces affiches étaient racistes parce qu’elles disaient « Non à l’islam » et « Pas de minaret dans nos quartiers ».

    N’ayant pas trouvé d’autre source, je ne sais pas s’il y avait quelque chose de plus ou moins « raciste » sur les affiches, ou si c’est vraiment la justice qui décide désormais qu’il est « raciste » de dire non à l’islam et de ne pas vouloir de minarets...

    (Via F.Desouche)