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Antiracisme - Page 14

  • Quand Guéant renoue avec le nazisme

    « Contrairement à ce que dit l'idéologie relativiste de gauche, pour nous, toutes les civilisations ne se valent pas… Celles qui défendent l'humanité nous paraissent plus avancées que celles qui la nient… Celles qui défendent la liberté, l'égalité et la fraternité, nous paraissent supérieures à celles qui acceptent la tyrannie, la minorité des femmes, la haine sociale ou ethnique. »

    Hier soir, sur BFMTV, les lecteurs de prompteurs donneurs de leçons se demandaient si le propos de Claude Guéant était « une maladresse ou un dérapage ». Il n’y avait pas d’autre hypothèse. Celle que ce fût une évidence, par exemple.

    Dans les réactions hystériques, la Ligue des droits de l’homme se distingue : Guéant « renoue avec les idées les plus sombres du siècle dernier », c’est une « étape supplémentaire vers l’ignoble », « dans la plupart des pays d'Europe de tels propos seraient immédiatement suivis de la démission de leur auteur »…

    On dédiera à la Ligue des droits de l’homme le propos d’André Comte-Sponville, “philosophe” politiquement correct, athée et humaniste, membre du Comité consultatif national d'éthique, cité par Benoît et moi :

    « Ne croyez pas que dire que “toutes les civilisations se valent”, ce soit défendre les droits de l’homme. C’est exactement l’inverse. Pour une raison simple et forte : si toutes les cultures se valaient, on ne pourrait plus dire qu’une culture qui respecte les droits de l’homme est supérieure à une culture qui ne les respecte pas. »

  • Houria Bouteldja : le parquet fait appel !

    L’AGRIF nous apprend cette bonne nouvelle :

    Le parquet de Toulouse n’accepte pas non plus la relaxe d’Houria Bouteldja et fait appel .

    Suite à l’appel interjeté par l’Agrif à l’encontre du jugement vraiment surprenant rendu le 25 janvier 2012 par le Tribunal correctionnel de Toulouse, le procureur de la République a décidé de reconnaître et d’accompagner notre démarche très légitime en exerçant son droit de recours devant la Cour d’Appel.

    Il considère en effet que le jugement du tribunal présidé par monsieur Guillaume Roussel est d’abord entaché de graves irrégularités de forme notamment en ce qu’il s’appuie sur les déclarations de témoins recueillies en dépit des règles les plus impératives du code de procédure pénale.

    Il observe ensuite que le jugement n’a pas du tout pris en compte les termes de la plainte de l’Agrif selon laquelle la communauté évidemment identifiée, désignée et injuriée est bien celle des « blancs » ; « ces blancs », qu’ « il faut rééduquer », qu’ « il faut bien nommer », et qu’Houria nomme en effet : « moi, je les appelle des sous-chiens ».

    Est-il vraiment croyable que l’on n’ait pas saisi le réciproque renforcement injurieux de ces propos additionnant :

    -         le dédain menaçant : « ces blancs »  qu’ « il faut rééduquer ».

    -         le mépris pour ces moins que rien : « ces blancs, il faut bien les nommer ».

    -         le racisme dégoulinant : « moi, je les appelle des sous-chiens ».

    Qui, sérieusement, pourrait prétendre ne pas voir là l’expression d’une venimeuse haine raciste ?

    L’Agrif attend désormais avec confiance de la Cour d’Appel de Toulouse la juste condamnation d’Houria Bouteldja. 

    AGRIF 70, boulevard saint Germain 75005 Paris – 01 40 46 96 31 – agrif@wanadoo.fr

  • Inadmissible relaxe d’Houria Bouteldja

    Communiqué de Bernard Antony, président de l'AGRIF

    Ce 25 janvier, le Tribunal de Toulouse a considéré, contre le sens commun, que le fait de traiter les français désignés comme « blancs » de « sous-chiens », pour qualifier avec un mépris évident ceux que l’expression commune désigne comme Français de souche, ne relevait pas d’une injure raciste.

    Et ce, de surcroît, au mépris du fait qu’Houria Bouteldja appelait, avec suffisance, à « rééduquer ces sous-chiens », selon une expression de sinistre mémoire. Si bien que « sous-chiens » ou « souchiens », comme elle prétendait benoîtement avoir employé ce néologisme, le mépris injurieux et raciste était le même !

    Même le ministre de l’Intérieur de l’époque, Mr Hortefeux, avait constaté l’évidente injure et annoncé des poursuites qui ne vinrent jamais.

    L’AGRIF a été aussi victime, d’une manière provocatrice, de la malhonnête assimilation par les médias locaux avec le groupe appelé Bloc Identitaire, qui n’était en rien concerné par ce procès. Il avait osé clamer à propos de Mme Bouteldja : « Nous la ferons condamner ! », tout en injuriant le tribunal lors d’un renvoi du procès.

    Le tribunal a pu être abusé par cet amalgame médiatique, notamment par La Dépêche du Midi, au mépris de nos protestations jamais publiées. L’AGRIF considère donc que le groupe Bloc Identitaire porte une grave responsabilité de cet échec provisoire.

    L’AGRIF attend de lire les attendus du jugement et se prépare à faire appel.

  • La discrimination positive franchit un nouveau seuil

    La Cour de cassation a confirmé la condamnation d’Airbus pour discrimination raciale à l’embauche, dont avait été victime un homme d’origine algérienne.

    Car, nous explique-t-on, l’enquête menée par la Halde a montré qu’Airbus avait choisi, pour un poste d’affûteur d’outils, un candidat français plus diplômé, alors que la procédure de recrutement ne spécifiait pas la mention d’un diplôme spécifique.

    Jusqu’ici, devant deux candidats de même niveau, il fallait choisir celui de la « diversité ». Maintenant, il faut choisir celui de la diversité même s’il est de niveau inférieur. En bref, un Français de souche ne peut plus être embauché nulle part s’il est en concurrence avec un candidat d’origine étrangère : c’est la préférence étrangère, obligatoire.

  • SOS Homophobie

    Le lobby SOS Homophobie a décerné le prix européen contre l’homophobie, le « Tolerantia preis 2011 », aux députés Olivier Dussopt (PS) et Franck Riester (UMP) – celui-ci venant d’autre part de faire son « coming out » - pour leur engagement à « mettre fin à la discrimination qui empêche les couples de même sexe de se marier », « à ce traitement discriminatoire fondé sur une conception archaïque de l'ordre social ».

    Ceux qui sont opposés à ce « mariage » sont donc coupables de discrimination, ce qui est puni par la loi, et d’homophobie, ce qui est également un délit.

    Ou bien SOS Homophobie dit n’importe quoi, ou bien il faut déférer des centaines d’élus et des millions de citoyens devant la justice.

  • Les femmes ne sont plus discriminées : elles vont le payer

    Comme prévu, la fin des « discriminations » dans les assurances, en l’occurrence des « discriminations de genre », imposée par l’UE, va augmenter les assurances automobile des jeunes conductrices. Une étude publiée par la fédération européenne des assureurs montre que l’augmentation sera de 7% en France (mais de 10% en Allemagne et 18% en Espagne).

    La bonne nouvelle est pour les jeunes hommes, qui verront leurs cotisations baisser de 7% en France (de 9% en Allemagne, de 13% en Espagne).

  • Les mésaventures d’un pieux musulman en Suède

    Un pieux musulman priait dans le train qui le ramenait de Stockholm chez lui à Flen, dans la banlieue. Et voici qu’une contrôleuse osa lui demander son billet. Ne pouvant interrompre sa prière, le pieux musulman n’en fit rien. Comme il refusait aussi de sortir à la station suivante, les contrôleurs firent appel à la police, qui conduisit le pieux musulman à Stockholm, pour consigner la chose, avant de le relâcher. Et le pieux musulman dut trouver asile dans une mosquée de Stockholm pour la nuit.

    Bien entendu, le pieux musulman s’est plaint auprès des chemins de fer. Et on lui a donné en dédommagement un bon de transport de 1.000 couronnes (100 €). Mais pour le pieux musulman la réparation n’est pas suffisante, et il a porté plainte auprès du médiateur des discriminations.

    On signale que les musulmans de Flen ont transformé en mosquée une église qui leur a été donnée par les pentecôtistes, qui voulaient ainsi « montrer leur amour chrétien vis-à-vis des musulmans »…

    (Novopress)

  • Contre le Christ tout est permis

    Une représentation de la « pièce de théâtre » "Sur le concept du visage du fils de Dieu" a été perturbée par des manifestants protestant contre la christianophobie. En fait cette pièce, proprement immonde, est ignoblement blasphématoire.

    Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand condamne des « méthodes violentes contraires à la démocratie », qui « portent atteinte à un principe fondamental de liberté d'expression protégé par le droit français ». Et il souligne que l’AGRIF, qui demandait l’interdiction de la pièce, a été déboutée.

    Aurait-il la même réaction s’il s’agissait d’une pièce aussi ignoble contre Mahomet ?

    Oh, que je suis bête. Une telle pièce ne peut pas exister, bien sûr. Les artistes savent ce qu’ils doivent respecter.

  • Le procès d’Houria Bouteldja : le 12 octobre à Toulouse

    En réponse à la mobilisation des soutiens d’Houria Bouteldja, l’Agrif a publié le communiqué suivant :

    Cette pétulante agitatrice raciste, son idéologue et maître à penser Saïd Bouamama (auteur de « Nique la France ») et toute une cohorte d’ « intellectuels » diversement islamistes, gauchistes ou islamo-gauchistes, tentent sans vergogne, nous nous y attendions, de brandir le flambeau de l’antiracisme en cette occasion, employant donc toute leur science dialectique d’inversion de la réalité. Ainsi croient-ils par leurs manifestations pouvoir faire pression sur le Tribunal.

    Or, la réalité c’est que l’Agrif est la seule association qui combat véritablement tous les racismes et voilà pourquoi elle a poursuivi Houria Bouteldja.

    - L’Agrif défend tous les français injuriés ou frappés parce qu’ils sont français, quelle que soit leur race ou leur religion.

    - L’Agrif défend les chrétiens injuriés ou frappés pour leur foi dans le christ et elle combat les actes, hélas de plus en plus nombreux, de christianophobie.

    - L’Agrif défend la dignité humaine devant les manifestations de perversion, d’avilissement et de sadisme et tous les esclavages contemporains.

    Houria Bouteldja et ses amis traitent les blancs de « sous-chiens » et veulent les « rééduquer » selon le maître-mot de tous les régimes totalitaires. Ce qu’ils écrivent est hallucinant de haine.

    Ils prétendent représenter tous les arabes au mépris du fait que nombre de ces derniers ne sont pas islamistes et que beaucoup ne sont pas musulmans.

    Ils prétendent représenter les « noirs » alors que le plus grand et le plus durable système d’esclavage des noirs fut celui du monde islamique. Au racisme antiblanc ils ajoutent ainsi un évident mépris raciste des noirs.

    L’Agrif convie ses adhérents et amis de la région de Toulouse à venir assister au procès, sans se joindre à quelque manifestation que ce soit, et sans céder à d’éventuelles provocations. Nul doute que le tribunal et la police toulousaine feront respecter le libre accès au tribunal et la sérénité de l’exercice de la justice.

    Il faut arriver assez tôt pour prendre place.

    Mercredi 12 octobre, 13h30 donc, 3ème chambre, salle 5 du Tribunal de Toulouse.

  • Inadmissible procédé de récupération par l’association Bloc Identitaire

    Tel est le titre d’un communiqué de Bernard Antony, président de l’Agrif, dont voici le texte.

    J’ai pris connaissance avec stupéfaction du communiqué du samedi 1er octobre où l’association Bloc Identitaire ose affirmer au sujet du procès intenté par l’Agrif à Madame Houria Bouteldja : « Nous la ferons condamner ». Cela relève d’une malhonnête tentative de récupération.

    Le Bloc Identitaire n’est pour rien dans ce procès. L’Agrif n’a strictement aucun lien structurel ou idéologique avec le Bloc Identitaire dont il n’y a aucun membre dans son conseil d’administration ou dans son organisation.

    J’ai pu hélas vérifier, en tant qu’invité extérieur à une réunion locale de ce « Bloc » que je ne connaissais guère jusqu’ici, que son discours et ses orientations ne sont pas, sur des valeurs essentielles, compatibles avec celles de l’Agrif.

    L’Agrif réagit contre les propos d’incitation à la haine anti-française de Mme Bouteldja qui manifeste plus spécifiquement sa violence contre les blancs qu’elle traite de « sous-chiens » dont elle propose la rééducation s’ils ne se soumettent pas à son dictat islamiste de domination du peuple  français.

    L’Agrif réunit des milliers de français de toutes races ; parmi eux des noirs qui savent à quoi s’en tenir sur les réalités de l’esclavage musulman jusqu’à nos jours ; des berbères et des arabes chrétiens qui savent ce qu’il en est de l’application de la charia islamique et du principe de dhimmitude.

    L’identité française ne se définit pas par une appartenance raciale mais par la langue, l’histoire et la religion chrétienne universelle qui l’ont façonnée. L’Agrif n’oppose pas un quelconque racisme blanc  au racisme anti-blanc, anti-français, anti-chrétien d’Houria Bouteldja .

    Tout cela est développé dans mon livre : « Vérités sur les esclavagismes et les colonialismes. Réplique à  Houria Bouteldja ». Il n’a pas été édité par le Bloc Identitaire mais par un des dirigeants de l’Agrif Richard Haddad.