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  • La Russie accueille

    Vladimir Poutine a signé un décret permettant aux Occidentaux qui veulent fuir la dictature woke LGBT, la culture de mort et le grand remplacement de demander un droit de résidence temporaire en Russie « en dehors du quota approuvé par le gouvernement russe et sans fournir de documents confirmant leur connaissance de la langue russe, de l'histoire russe et des lois fondamentales ».

    Les demandes peuvent être fondées sur le rejet des politiques de leurs pays « visant à imposer aux gens des idéaux néolibéraux destructeurs, qui vont à l'encontre des valeurs spirituelles et morales traditionnelles de la Russie »

    La mise en œuvre du décret est prévue pour le 1er septembre prochain. Ce seront des visas de trois mois qui auront vocation à être prolongés jusqu’à l’obtention éventuelle de la nationalité russe.

    Il s’agit de la réalisation d’une demande d’une étudiante italienne à l’Institut des relations internationales de Moscou, Irene Cecchini, qui avait dit à Poutine que la Russie devrait assouplir les règles d'entrée pour ceux qui partagent les valeurs culturelles et familiales traditionnelles. Un exemple concret de la suite que donne Poutine aux conversations qu’il a lors de ses nombreuses tables rondes : il ne fait pas semblant d’écouter, de s’intéresser, et de prendre des notes.

  • Ils s’y croient

    La propagande ukrainienne a diffusé une vidéo où l’on voit des soldats ukrainiens dans la région de Koursk insulter copieusement et ignoblement un Russe âgé et paniqué. Ils le font en prenant un accent allemand, et en utilisant des mots allemands. Et surtout ils ont des casques de SS. De vrais casques de SS.

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    La séquence est passée sur LCI et a quelque peu décontenancé les « experts » ukrainolâtres. L’un s’est doctement demandé si ce ne serait pas le symbole d’Azov modifié (ce qui est merveilleux, quand on sait que le symbole d’Azov est le sigle SS modifié), un autre a suggéré que le soldat aurait peut-être dû enlever son casque pour la prise de vue…

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    Un journaliste italien de la RAI, déjà connu pour avoir fait notamment un reportage complaisant sur les néo-nazis de Secteur Droit, est allé voir les soldats ukrainiens qui ont pénétré en Russie, et parmi ceux qu’il a interrogés il y a celui-ci : sur sa casquette, on voit l’insigne de la division SS « Leibstandarte Adolf Hitler ». Division qui a notamment participé à la bataille de Koursk en 1943.

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    Le site "Defense of Ukraine" vante les opérations de la 3e Brigade d’assaut, avec à gauche l’insigne de la 36e division de grenadiers de la Waffen SS.

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    Et il y a carrément des Allemands qui participent à la nouvelle bataille de Koursk. Et y trouvent le même destin.

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    D’autre part, cet épisode donne lieu à un délire de propagande encore jamais vu : les soldats ukrainiens se font photographier devant des panneaux routiers indiquant des villages comme s’ils les avaient pris. Jusqu’ici ils le faisaient, dans le Donbass, avec de vrais panneaux. En général trois soldats montaient une opération commando éclair pour se faire photographier devant le panneau et se carapataient juste après. Désormais ils utilisent de faux panneaux, tellement mal faits qu’on a l’impression que ce sont des gags. On en a eu un écrit en minuscules alors qu’ils sont toujours en majuscules, on en a eu un de sortie d’agglomération avec le trait rouge d’un angle à l’autre ce qui n’est jamais le cas… Le dernier en date est ce faux panneau de Koursk, écrit avec des caractères latins, comme le montre clairement le Y (et le fait que le fond est jaune, etc.).

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  • Saint Jean Eudes

    Être chrétien, c'est être enfant de Dieu et avoir un même Père avec Jésus- Christ, son Fils unique : à ceux qui l'ont reçu il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu (Jn 1, 12). Je m'en vais à mon Père, et à votre Père, dit notre Sauveur (Jn 20, 17). Voyez quel amour de notre Père vers nous, qui veut que nous soyons appelés, et que nous soyons en effet enfants de Dieu, dit saint Jean (I Jn 3, I). Par la création, Dieu est notre créateur, notre principe, notre cause efficiente, notre roi, notre souverain; et nous sommes sa créature, son ouvrage, ses  sujets et ses serviteurs. Mais par notre régénération et nouvelle naissance qui se fait au Baptême, et en laquelle nous recevons un nouvel être et une nouvelle vie toute divine, Dieu est notre Père, et nous sommes ses enfants, et nous pouvons lui dire : Notre Père qui es aux cieux.

    En suite de quoi :

    1. Comme nous sommes sortis, par cette nouvelle naissance, du sein de Dieu notre Père, aussi nous y demeurons toujours, et il est nécessaire qu'il nous porte continuellement dans son sein. Autrement, s'il était un moment sans nous y porter, nous perdrions au même temps le nouvel être et la nouvelle vie que nous avons reçue de lui au Baptême.

    2. Nous sommes frères de Jésus-Christ, de son sang et de sa race royale et divine, et nous entrons dans sa généalogie. De là vient que le chrétien, le nouvel homme et la nouvelle créature qui n'est née que de Dieu, ne connaît point d'autre généalogie que celle de Jésus-Christ, ni d'autre Père que Dieu : N'appelez personne votre «Père» sur la terre (Mt 23, 9). Nous ne connaissons plus personne selon la chair, dit saint Paul (2 Co 5, 16). Et Notre Seigneur : Ce qui est né de l'Esprit est esprit (Jn 3, 6).

    3. Nous sommes cohéritiers du Fils de Dieu, et héritiers de Dieu. Ô merveilles ! Ô dignité ! Ô noblesse ! Ô grandeur du chrétien ! Renonçons à Satan, donnons-nous à Dieu avec un grand désir de vivre désormais comme vrais enfants de Dieu, de ne pas dégénérer de la noblesse de notre naissance, de ne pas faire tort à notre race, et de ne pas déshonorer notre Père.

    Un chrétien, c'est un membre de Jésus-Christ. À raison de quoi nous avons une alliance et union avec Jésus-Christ beaucoup plus noble, plus étroite et plus parfaite que les membres d'un corps humain et naturel n'ont avec leur chef. D'où il s'ensuit : 1. que nous appartenons à Jésus-Christ, comme les membres à leur chef ;- 2. que nous sommes en sa dépendance et en sa conduite, comme les membres sont en la dépendance et en la conduite de leur chef ; -3. que nous ne sommes qu'un avec lui, comme les membres ne sont qu'un avec leur chef. Donnons-nous à Jésus-Christ comme ses membres, et faisons profession désormais de vivre de sa vie. Car ce serait une chose bien monstrueuse de voir un membre vivre d'une autre vie que de la vie de son chef. À raison de quoi saint Grégoire de Nysse dit que le christianisme, c'est faire profession de vivre de la vie de Jésus-Christ.

    Entretiens intérieurs, 9.

    (Dans un autre texte, saint Jean Eudes donne même la citation de saint Grégoire de Nysse en latin : Christianismus est professio vitae Christi. Mais on ne trouve rien de tel chez saint Grégoire de Nysse, même si l’idée évidemment se trouve chez lui comme chez les autres pères. La vraie citation, dans la lettre sur « la profession chrétienne », est : « Le christianisme est l’imitation – mimèsis – de la nature divine » χριστιανισμός ἐστι τῆς θείας φύσεως μίμησις. « Mimèsis » est à prendre au sens platonicien le plus fort, qui contient une idée de participation et de relation vivante.)

  • A Iekaterinbourg

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    Soyouz retransmettait ce matin la divine liturgie depuis l’église de l’Annonciation de Iekaterinbourg. Elle a été construite entre 2010 et 2015 d’après le modèle des églises de la région de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle (baroque ouralien ou sibérien). « L'iconostase en porcelaine, d'une beauté unique et décorée de près de 8 kilogrammes d'or, a été réalisée par les maîtres ouraliens d'Ouralmachzavod. » Il reste à réaliser les peintures murales, et à aménager le parc de la Transfiguration qui lui permettra de « revendiquer le titre d’église la plus spectaculaire de Iekaterinbourg ». L'église possède une icône de la Mère de Dieu de Tikhvine du XVIIe siècle (don de Viktor Maslakov, maître d'œuvre au niveau politique de l'aménagement du quartier, « l'un des plus grands projets intégrés d'aménagement du territoire en Russie ») et une icône de la Mère de Dieu de Kazan du XVIIIe. (On voit Viktor Maslakov à partir de 2h19, c'est le laïc à gauche ; il est vice-président de l'Assemblée législative régionale. L'autre est Alexis Vorobyev, le promoteur du quartier, qui a donné l'idée de la construction de l'église ; il est aussi secrétaire régional de "Russie Unie".)

    Une minute de paradis liturgique : le chant pendant l’épiclèse, entre 1h26’40 et 1h28’19. (Nous te chantons, nous te bénissons, nous te rendons grâce, Seigneur, et nous te prions, ô notre Dieu.)

  • 13e dimanche après la Pentecôte

    La présentation de l’épître et de l’évangile par le bienheureux cardinal Schuster :

    Dans l’épître aux Galates (3, 16-22), l’Apôtre fait observer que la loi donnée à Moïse quatre cent trente ans après la divine promesse faite à Abraham et à sa postérité, ne put en abolir les effets, celle-ci étant antérieure, gratuite et absolue, tandis que celle-là eut le caractère d’un contrat temporaire, bilatéral et sujet à annulation du fait de l’une et de l’autre parties. Israël a, le premier, annulé le contrat en reniant le Messie ; il est donc juste que Dieu, lui aussi, abroge la Loi, la remplaçant par l’Évangile. En conséquence, tout monopole religieux cesse dès lors pour les Hébreux, et tous les croyants sont appelés à avoir part à l’héritage de foi promis à Abraham.

    La lecture de saint Luc (17, 11-19) avec le récit de la guérison des dix lépreux, dont un seul, le Samaritain, se montra reconnaissant envers Jésus, prélude à l’orientation future des apôtres qui, chassés par la perfide Judée, se tourneront vers les Samaritains et les Gentils pour leur annoncer l’Évangile avec un grand succès. Ainsi par un secret mais juste jugement de Dieu, les parias de la religiosité juive, qu’étaient les schismatiques de la Samarie et les païens, deviennent les prémices du nouveau royaume messianique, tandis que les héritiers d’Abraham et de David renoncent avec mépris à l’héritage de la Foi.

    Le propre grégorien.

    L'introït.

    Le graduel.

    L'alléluia.

    L'offertoire.

    La communion.

  • La persécution

    Le « Conseil panukrainien des églises et des organisations religieuses » publie un communiqué suite à sa rencontre hier avec Zelensky, qui portait sur la « protection de la liberté religieuse et de l'indépendance spirituelle de l'Ukraine ».

    Le Conseil souligne qu’il soutient l’initiative de Zelensky visant à interdire l’Eglise orthodoxe ukrainienne, initiative qui bénéficie d’un « large soutien politique et public ».

    Le député Artem Dmytruk remarque qu’il « est très courageux, constructif et réaliste de tenir une réunion du Conseil des Eglises sans la plus grande confession d’Ukraine »…

  • Holy Games

    On apprend tardivement, par des athlètes polonais, que la messe était interdite au village olympique, ce qui est une première, mais typique de la laïcité à la française, et conforme à l'idéologie des spectacles d'ouverture et de clôture.

    Holy Games, comme disaient les évêques de France, qui ne commentent pas l'information, bien sûr.

  • Témoignages

    Les deux témoignages qui suivent ne sont en rien des événements. Il s’agit de la chronique ordinaire des « quartiers populaires », comme ils disent (comme on le voit en permanence par exemple chez Fdesouche).

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    D’un boulanger de Vénissieux :

    « Une de nos vendeuses a donné une quiche aux lardons à des personnes musulmanes en pensant que c’était au fromage. Si je ne suis pas là, je pense qu’ils la prennent par les cheveux et la défoncent. Je leur ai bien sûr remboursé, ils ont pris le billet et l'ont jeté à la vendeuse “qu’elle aille se laver la chatte avec”. Ils voulaient tout brûler tout casser. Pour calmer on ne fait plus de jambon. Sinon ils brûlent tout. »

    Mais finalement il vaut mieux mettre la clef sous la porte :

    « Après les différentes pressions depuis plusieurs mois pour faire du halal je craque je refuse que l’un de mes salariés ou moi-même risquent quoique ce soit. On est à Vénissieux la ville que j’aime avec tellement de choses biens, que l’on sous-estime. On ne veut plus de nous. Maintenant on reçoit des 1 étoile sur Google. Je ne déposerai pas plainte je les comprends. Au revoir vous avez gagné. »

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    Dans les « quartiers Nord » de Marseille : pour l’heure, la maison médicale de La Viste est fermée 7j/7. Suite à l’agression d’une femme médecin.

    Lundi 12 août, elle était seule au cabinet quand une jeune femme et une adolescente se sont présentées à l'heure de la fermeture, vers 18h30. « En fait, elles voulaient une ordonnance pour quelqu'un à la maison qui ne voulait pas de déplacer », raconte le docteur Saïd Ouichou qui partage le cabinet. La jeune femme médecin refuse, le ton monte, elle appelle la police, qui refuse de venir. Le ton monte encore. Quand elle reprend son téléphone c’est un déchaînement de violence. « La grande, âgée de 24-25 ans, lui arrache les cheveux, elle lui bloque la tête entre les jambes, la tabasse, la mord, elle appelle la petite jeune de 14 ans, et elles se sont mises à la frapper toutes deux. Elles se sont acharnées sur elle » avant de partir.

    Le docteur Saïd Ouichou dit que là où il exerçait avant : « Au début, c'était une fois par mois, et après, c'était quasiment tous les jours. » Alors il a ouvert cet espace santé sécurisée, équipé de vidéosurveillance, et il a fait venir sa jeune collègue « en lui disant “tu ne crains rien, ça se passe bien, les gens sont sympas”, et voilà ! » « Si elle s’en va, je ne sais pas si je vais rester. Dans les quartiers Nord, il n'y a pas de spécialistes ou très peu, et demain, il n'y aura plus de médecins, plus de soignants. »

  • En Allemagne

    Un tribunal de Leipzig a jugé que l’interdiction immédiate du magazine Compact (d’estrèmedroate) était disproportionnée. Le magazine peut donc de nouveau paraître, en attendant le jugement sur le fond, qui pourrait ne pas avoir lieu avant deux ans.

    Le 16 juillet dernier, des dizaines de policiers avaient vidé les locaux du magazine, emportant vraiment tout, comme on le voyait sur les vidéos.

    Selon le droit allemand, le ministère de l’Intérieur ne pouvait pas interdire Compact, car la liberté d’expression est garantie par la Constitution. Mais le gouvernement a trouvé une combine : il a décidé que les organes de direction du magazine étaient des « associations », or il a le droit de dissoudre des associations qui œuvrent « contre l’ordre fondamental libéral et démocratique ».

    Pour l’heure, le tribunal n’a rien dit de cette combine. Il s’est contenté de relever que l’interdiction était « disproportionnée ». Mais si le gouvernement peut décider arbitrairement de ce qui est une association ou pas, c’est encore une belle avancée de « l’état de droit » dont ils nous rebattent les oreilles.

  • Saint Hyacinthe

    Hyacinthe était Polonais ; il naquit de parents nobles et chrétiens au château de Kamin, dans le diocèse de Breslau. Instruit dès l’enfance dans les lettres, il étudia plus tard la sainte Écriture. Mis au nombre des Chanoines de Cracovie, il brilla plus que tous les autres par l’insigne piété de sa vie et sa profonde érudition. Reçu à Rome dans l’Ordre des Frères Prêcheurs par le fondateur même, saint Dominique, il pratiqua avec la plus grande sainteté, jusqu’à la fin de sa vie, la règle parfaite qu’il en avait reçue. Il conserva une perpétuelle chasteté, fit ses délices de la modestie, de la patience, de l’humilité, de l’abstinence et des autres vertus, comme du patrimoine assuré d’un religieux.

    Son brûlant amour pour Dieu le portait souvent à passer des nuits entières à prier et à châtier son corps, auquel il n’accordait d’autre soulagement que l’appui d’une pierre et d’autre couche que la terre nue. Renvoyé dans sa patrie, il fonda à Frisac d’abord, un très grand couvent de son Ordre, puis un second à Cracovie. Après en avoir élevé quatre dans les autres provinces du royaume de Pologne, il y fit d’incroyables fruits de salut par la prédication de la parole divine et la pureté de sa vie. Il ne passa pas de jour sans donner quelque preuve éclatante de sa foi, de sa piété et de sa sainteté.

    Le zèle de ce très saint homme pour le salut du prochain fut divinement signalé par les plus grands miracles. L’un des plus éclatants eut lieu lorsque, près de Wisgrade, il traversa sans bateau la Vistule débordée et fit passer ses compagnons sur les flots en y étendant son manteau. Ayant persévéré, depuis sa profession, près de quarante années dans un genre de vie admirable et annoncé d’avance à ses frères le jour de sa mort, il rendit son âme à Dieu en la fête même de l’Assomption de la Vierge, après avoir récité les Heures canoniales, et reçu avec le plus profond respect, les sacrements de l’Église. Ce fut en prononçant ces paroles : « Entre vos mains, Seigneur, je remets mon esprit », l’an du salut douze cent cinquante-sept. De nouveaux miracles le rendirent illustre après sa mort, et le Pape Clément VIII le mit au nombre des saints.

    Bréviaire

    Les deux noms de lieux sont à préciser. « Frisac » est Friesach en Carinthie. Le premier monastère qu'il fonda dans sa patrie, ce fut à Gdansk. Quant à « Wisgrade », il s’agit de Wyszogród, au nord-ouest de Varsovie.