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  • Commémoraison du baptême de Notre Seigneur Jésus-Christ

    En 1960, l’ancienne octave de l’Epiphanie a été nommée « Commémoraison du baptême de Notre Seigneur Jésus-Christ ». car depuis toujours l’évangile de ce jour était celui du baptême du Christ.

    C’était une excellente initiative, qui mettait ainsi en avant dans le calendrier liturgique le deuxième mystère de l’Epiphanie, qui est l’unique mystère de cette fête pour les orientaux.

    Avant saint Pie V il y avait une liturgie particulière. Dom Guéranger reproduit sept des  antiennes dans L’Année liturgique, avec cette indication : « Les vénérables Antiennes que nous donnons ci-après, restes précieux de l’antique Liturgie Gallicane, ont une origine orientale, et sont encore conservées au Bréviaire de Cîteaux. » Ce sont les 1 à 7.

    La Schola Sainte-Cécile en a publié huit, 1 à 4, 7, 8, 11, 12, avec cette indication : « Stichères de l’ancien office grec de l’Epiphanie, traduits en latin à la Cour de Charlemagne sur leur mélodie grecque d’origine pour servir à l’octave de l’Epiphanie. »

    J’en ajoute deux autres que je viens de glaner sur internet (9, 10). On les trouve notamment dans l’antiphonaire dit de saint Grégoire (antiphonaire de Hartker, Saint-Gall, vers l’an 1000), avec les antiennes 1 à 5, 8, 12.

    1. Veterem hominem renovans Salvator venit ad baptismum, ut naturam quae corrupta est, per aquam recuperaret : incorruptibili veste circumamictans nos.

    Le Sauveur, voulant renouveler l’homme ancien, vient au Baptême, afin de régénérer par l’eau la nature corrompue ; il nous revêt d’un vêtement incorruptible.

    2. Te, qui in Spiritu et igne purificas humana contagia, Deum et Redemptorem omnes glorificamus.

    Vous qui, dans l’Esprit et dans le feu, purifiez l’humaine contagion, nous vous glorifions, notre Dieu et Rédempteur !

    3. Baptista contremuit, et non audet tangere sanctum Dei verticem; sed clamat cum tremore: Sanctifica me, Salvator.

    Jean-Baptiste tremble et n’ose toucher la tête sacrée de son Dieu. Dans sa frayeur, il s’écrie : Sanctifiez-moi vous-même, ô Sauveur !

    4. Caput draconis Salvator contrivit in Jordane flumine, et ab ejus potestate omnes eripuit.

    Le Sauveur a brisé, dans le fleuve du Jourdain, la tête du dragon ; il nous a arrachés tous à sa puissance.

    5. Magnum Mysterium declaratur hodie, quia Creator omnium in Jordane expurgat nostra facinora.

    Un grand Mystère est déclaré aujourd’hui : le créateur de toutes choses lave nos crimes dans le Jourdain.

    6. Baptizat miles Regem, servus Dominum suum, Joannes Salvatorem: aqua Jordanis stupuit, columba protestabatur : paterna vox audita est: Hic est Filius meus.

    Le soldat baptise son Roi, l’esclave son maître, Jean son Sauveur ; l’eau du Jourdain s’est émue, la Colombe a rendu témoignage, la voix du Père s’est fait entendre : Celui-ci est mon Fils.

    7. Fontes aquarum sanctificati sunt, Christo apparente in gloria: orbis terrarum, haurite aquas de fonte Salvatoris : sanctificavit enim tunc omnem creaturam Christus Deus noster.

    Les sources des eaux furent sanctifiées au moment où le Christ apparaissait dans sa gloire. Toute la terre, venez puiser les eaux dans la source du Sauveur ; car le Christ notre Dieu sanctifie aujourd’hui toute créature.

    8. Praecursor Joannes exsultat cum Jordane, baptizato Domino facta est, orbis terrarum exsultatio facta est, peccatorum nostrorum remissio sanctificans aquas, ipsi omnes clamemus : miserere nobis.

    Jean le Précurseur exulte avec le Jourdain, en baptisant le Seigneur, la joie est faite sur terre, la rémission est faite de nos péchés par la sanctification des eaux, crions tous : Ayez pitié de nous.

    9. Pater de cælis Filium testificat, Spiritus Sancti præsentia advenit, unum edocens qui baptizatur Christus.

    Des cieux le Père rend témoignage au Fils, la présence de l’Esprit Saint arrive, le Christ qui est baptisé enseignant l’unité.

    10. Baptizatur Christus et sanctificatur omnis mundus, et tribuit nobis remissionem peccatorum, aqua et Spiritu omnes purificans.

    Le Christ est baptisé et le monde entier est sanctifié, et il nous a apporté la rémission des péchés, nous purifiant tous par l’eau et l’Esprit.

    11. Peccati aculeus conteritur hodie, baptizato Domino, et nobis donata est regeneratio.

    L’aiguillon du péché est écrasé aujourd’hui par le baptême du Seigneur, et la régénération nous est donnée.

    12. Aqua comburit peccatum hodie, apparet liberator, et orat omnis mundus divinitatis opem.

    L'eau brûle aujourd'hui les péchés, le Libérateur est apparu, et tous louent la belle œuvre de sa divinité.

  • La présidente « croate »

    Les médias disent tous que les conservateurs ont remporté la présidentielle croate, que c’est une conservatrice qui devient présidente…

    Conservateurs de quoi ? Pas de la Croatie historique, en tout cas. Kolinda Grabar-Kitarovic est tout simplement la personne qui a fait entrer la Croatie dans l’Union européenne. Elle est la représentante de Bruxelles, de l’OTAN, etc.

    Son parcours est éloquent : après avoir passé son enfance et son adolescence aux Etats-Unis, elle devient diplomate. En 2003 elle devient ministre de l’intégration européenne pour s’occuper de la demande d’adhésion de la Croatie à l’UE et pour mener les négociations, qui commencent en 2005 alors qu’elle a désormais le titre de ministre des Affaires étrangères. En 2008 elle est ambassadrice aux Etats-Unis, en 2011 secrétaire générale adjointe de l’OTAN…

  • Hypocrites

    La revue jésuite Etudes, qui proclame être Charlie, va plus loin que cette seule grotesque assimilation au journal anarcho-blasphémateur. Pour bien montrer qu’à Etudes on sait aussi rigoler de tout, et surtout de l’Eglise, la revue publie quatre unes anticatholiques de Charlie Hebdo.

    Mais, comme l’a aussitôt tweeté Arrêt sur images, la revue « publie des caricatures anti-catho (mais pas les pires) ».

    Eh oui. On veut bien participer à la rigolade anticatho, mais on n’ose quand même pas montrer les pires blasphèmes. Ainsi le lecteur (comme la plupart des Français) croit que Charlie Hebdo est un journal satirique qui s’inscrit simplement dans la vieille tradition anticléricale de notre pays.

    C’est d’une hypocrisie qui est typiquement celle qu’on a tant reprochée aux jésuites : une hypocrisie qui se prétend vertueuse et qui cache un vrai mensonge.

     

    Addendum

    Lire dans les "commentaires" ci-dessous la lettre du P. Jean-François Thomas s.j. à la rédaction d'Etudes.

     

    Addendum 2 - le 14 janvier

    Comme l'indique un commentaire, la page a été supprimée...

  • Déclaration historique du patriarche chaldéen

    Le patriarche chaldéen, S.B. Louis Raphael Ier Sako, a cru bon de « condamner fermement » lui aussi l’attentat contre Charlie Hebdo. Mais tout l’intérêt de cette condamnation est que c’est pour lui l’occasion d’ajouter ce qui suit, et qui est véritablement historique. Car si j’ai toujours eu la plus grande estime (litote) pour Mgr Sako quand il était archevêque de Kirkouk, et si je souhaitais qu’il soit le nouveau patriarche (pour une fois que mon souhait se réalise…), il n’avait jamais osé aller à ce point contre ce qu’impose la dhimmitude :

    « Face à ce qui se passe dans le monde arabe et à l’étranger, qui est sans précédent et menace les relations et la coexistence, nous appelons nos frères musulmans à prendre l’initiative, de l’intérieur, de démanteler cette idéologie terroriste extrémiste et de construire une opinion islamique ouverte et éclairée qui n’accepte pas l’exploitation politique de la religion. »

    « De l’intérieur ». On est très loin du « ça n’a rien à voir avec l’islam ». Il faut que cela vienne d’un pays musulman, et de la frontière de l’Etat islamique. D’un évêque héroïque devenu chef de son petit peuple en débandade. Voilà aussi qui est historique : un évêque en situation de dhimmitude dit la vérité, quand les grands défenseurs occidentaux de la liberté répètent les mensonges de l’islamophilie et se font volontairement dhimmis.

  • Un « coadjuteur » pour Mgr Oliveri

    Il y a les attaques frontales (contre les Franciscains de l’Immaculée, ou contre Mgr Livieres Plano), et les attaques par la bande, discrètes : ainsi la nomination, samedi, d’un évêque coadjuteur de l’évêque d’Albenga-Imperia, Mgr Mario Oliveri.

    Co-adjuteur, donc bientôt successeur…

    Mais Mgr Oliveri n’a que 70 ans, il n’est pas malade (quoique François ait certainement diagnostiqué chez lui plusieurs des 15 maladies dont souffre la Curie), et son diocèse est trop petit pour avoir besoin de deux évêques.

    Cette nomination n’a aucune autre raison que de mettre Mgr Oliveri sous tutelle, comme l’a aussitôt remarqué le journal local Savona News.

    Sous tutelle et sous pression : dépêche-toi de démissionner…

    L’autre incongruité de l’affaire est que l’évêque co-adjuteur, Mgr Guglielmo Borghetti, pour aller dans un diocèse où l’on n’a pas besoin de lui, laisse vacant son diocèse, celui de Pitigliano-Sovana-Orbetello. Diocèse qui a appris samedi avec stupéfaction cette nouvelle « inattendue et déconcertante », comme en témoigne le texte publié sur le site du diocèse. On y déplore le fait que le diocèse va de nouveau se retrouver vacant alors que Mgr Borghetti n’était là que depuis quatre ans, et l’on souligne que ce transfert met fin brutalement à la visite pastorale qu’il avait engagée dans un vicariat.

    Le dernier paragraphe est pour le moins violent, pour un site diocésain, et italien :

    « Bien qu'il soit difficile d'accepter ces décisions et d’arriver à entrevoir, pour notre Église diocésaine, un bien dans ce choix du Pape, nous savons que l'Église universelle est dirigée par un Pasteur, qui est Jésus-Christ, qui utilise ses humbles serviteurs pour faire traverser à son peuple la mer orageuse de l'Histoire; cette certitude n’atténue pas la douleur de la séparation, mais nous donne la certitude de ne pas être à la merci du néant, mais dans les mains de la providence de Dieu. »

  • Le pape, le catéchisme et le yoga

    Le blog Rorate Caeli attire l’attention sur un propos du pape, lors de sa messe de vendredi dernier (qui n’existe pas en français sur les sites du Vatican - la traduction est donc de mon fait) :

    « On peut suivre un millier de cours de catéchisme, un millier de cours de spiritualité, un millier de cours de yoga ou de zen et toutes ces choses, mais aucune d’elles ne pourra vous donner la liberté des enfants (de Dieu). Seul le Saint-Esprit peut souffler à votre cœur de dire “Père”. Seul le Saint-Esprit est capable de bannir, de briser cette dureté de cœur et de le rendre… mou ? Non, je n’aime pas ce mot,… docile. Docile envers le Seigneur. Docile à la liberté de l’amour. »

    Comme d’habitude (et comme dans le même sermon la sortie contre ceux qui « se barricadent derrière la loi »), le vrai sert à atténuer le scandaleux.

    Bien sûr que l’on peut être calé en théologie et être incapable de prier.

    Mais il est scandaleux, d’abord, pour un pape, de mettre sur le même plan le catéchisme catholique et des fausses religions, « et toutes ces choses ».

    Et il est scandaleux, pour un pape, de parler si légèrement du catéchisme, à une époque où dans tant de pays la catéchèse des enfants a été détruite.

    Et de laisser entendre, tout de même, que le catéchisme n’est pas plus performant que le zen ou le yoga. Alors que le vrai catéchisme enseigne, aussi, à prier, et à recevoir le Saint-Esprit de façon efficace.

  • In columbæ specie

    Dans le bréviaire romain, pendant le « temps de l’Epiphanie », les deux répons des matines sont tous les jours les mêmes (contrairement au bréviaire monastique qui en a trois fois trois). Le premier est Tria sunt munera. Le second évoque le baptême du Christ, deuxième mystère de l’Epiphanie dans la liturgie latine, qui sera spécialement commémoré demain 13 janvier.

    R. In colúmbæ spécie Spíritus Sanctus visus est, Patérna vox audíta est: * Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
    V. Cæli apérti sunt super eum, et vox Patris intónuit.
    R. Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.

    On vit le Saint-Esprit sous la forme d’une colombe, et on entendit la voix du Père : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toutes mes complaisances. Les cieux lui furent ouverts et la voix du Père se fit entendre : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toutes mes complaisances.

    Ce répons a été modifié (tant dans le bréviaire monastique que romain). Dans les manuscrits, le verset se termine par « audita est » (et non par « intonuit »). Et, le plus souvent, à la fin du répons il y a : « ipsum audite » : écoutez-le. Il en était encore ainsi au XVe siècle, comme en témoigne l’Antiphonarium benedictinum de Saint-Lambrecht (le changement a été opéré, je suppose, dans l’édition de saint Pie V) :

    in columbae.jpg

  • La folie collective et l’indécence

    Sidérés par les médias et la pensée unique (tellement unique qu’elle recouvre véritablement tout le spectre politico-médiatico-religieux), des centaines de milliers de Français participent donc à des processions, en ce dimanche, pour « communier » aux « valeurs de la République » et « rendre hommage » à des histrions anarchistes qui blasphémaient toutes les valeurs (et conchiaient le drapeau français, la Marseillaise et la police).

    Tant il arrive que le manque de religion soit si grand que la première occasion venue, bien orchestrée, jette les « citoyens » sur des ersatz de célébration, des succédanés de dévotion.

    Ces derniers jours, Boko Haram a rasé la ville de Baga, où se trouvait le QG de la force internationale de lutte contre Boko Haram, ainsi que tous les villages environnants (avec leurs églises). Il y a eu des centaines de morts, sans doute même des milliers.

    Mais cela n’a manifestement aucune importance, bien qu’il s’agisse aussi de terrorisme islamiste, et d’un tout autre calibre. Une véritable armée islamiste est en train d’établir un califat au cœur de l’Afrique (grâce en partie aux gesticulations françaises en Libye et au Mali) à coup de massacres à répétition, mais cela ne compte pas. Des milliers de Nigérians ne pèsent rien face à quelques bobos de la presse la plus pourrie.

    Après tout, ce ne sont que des nègres, non.

  • Fête de la Sainte Famille

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    Ce tableau de Max Liebermann, Jésus à 12 ans au Temple, illustre le mystère (joyeux) qui fait l’objet de l’évangile de la messe de ce dimanche : l’évangile du premier dimanche après l’Epiphanie, repris par la fête dite de la Sainte Famille (1).

    Le vrai tableau de Max Liebermann n’était pas tout à fait celui-là. Il ne nous en reste que des esquisses (voir plus bas). Car lorsque le tableau fut exposé, en 1879, il provoqua un tel scandale, tant dans l’Eglise que dans le monde politique, que le peintre le refit pour atténuer le tollé. Dans le premier tableau, Jésus était brun, avec un nez prononcé, il était pieds nus et faisait un geste d’éloquente persuasion. Dans la nouvelle œuvre, il était devenu blond, le nez était rectifié, il avait des sandales, et il était « plus calme ».

    Mais c’était trop tard. Et de toute façon la nouvelle mouture ne pouvait pas être mieux acceptée que la première, en un temps où l’on ne pouvait concevoir Jésus qu’à la mode sulpicienne, et où la bonne société ne pouvait accepter qu’il fût, malgré l’évidence, de la race de David…

    Max Liebermann fut tellement choqué qu’il ne peignit plus jamais d’œuvres au sujet religieux.

    Pourtant ce tableau est un authentique chef-d’œuvre. Y compris sur le plan religieux. Le peintre (juif d’origine mais laïque) s’était imprégné de l’atmosphère des synagogues d’Amsterdam et de Venise. Et sa transposition de l’épisode évangélique me paraît très réussie. Au point que lorsque je prends une image pour ce mystère du Rosaire, c’est désormais la seule qui me « parle ».

    L’attitude des personnages qui écoutent Jésus est d’une profonde vérité psychologique. Ils sont stupéfaits de ce qu’ils entendent, et s’ils se disent « Mais qu’est-ce qu’il vient nous faire la leçon ce gamin », ils ne peuvent pas s’empêcher de reconnaître que ce qu’ils entendent dépasse infiniment ce qui se trouve dans leurs livres, des livres qui s’effacent et s’affaissent devant la Présence. Une Présence qui est lumière, cette lumière surnaturelle qui émane de Jésus (2) et qui éclaire ceux qui sont devant lui, lumière qui est le centre du tableau. Lumen gentium cum sit Christus… (3)

    Et tout en haut, on aperçoit Marie qui dévale l’escalier, vers Joseph qui lui dit : il est là !

    Mais l’important n’est pas la « sainte famille ». L’important, c’est Jésus au milieu de son temple et de son peuple, c’est cette épiphanie, cette irruption de lumière dans le vieux temple un peu poussiéreux, sombre, encombré et devenu étouffant.

    Cet enfant est en effet aux affaires de son Père, il fait descendre la lumière de la Trinité au fond de la Synagogue. Par la lumière il prend possession de son saint lieu, et il illumine ceux qui veulent bien l’écouter.

    (1) La Sainte Famille à laquelle nous appartenons par le baptême et dont nous sommes conviés à faire partie pour l’éternité est le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

    (2) Cela fait penser à une étude récente sur le Linceul de Turin, quand on s’est aperçu qu’on pouvait en faire une image 3D : ce qui n’est possible que si la lumière émane de l’intérieur de l’objet « photographié ».

    (3) Premiers mots de la constitution dogmatique de Vatican II sur l’Eglise : « Le Christ est la lumière des peuples ; réuni dans l’Esprit Saint, le saint Concile souhaite donc ardemment, en annonçant à toutes les créatures la bonne nouvelle de l’Évangile répandre sur tous les hommes la clarté du Christ qui resplendit sur le visage de l’Église. »

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  • "Aucun rapport avec l'islam"

    Amedy Coulibaly et Hayat Boumeddienne (sa compagne selon la République, son épouse selon la religion qui n'a rien à voir), sans doute en 2010 dans le Cantal.

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    On sait aussi qu'Amedy Coulibaly avait mal raccroché le téléphone de l'Hyper-cacher et que les policiers ont pu décider de l'assaut "en profitant d'un apparent relâchement du preneur d'otages au moment où il s'était mis à prier". On ne sait toujours pas s'il s'agissait de prières bouddhistes ou animistes, mais ce qui est certain est que "cela n'a rien à voir avec l'islam".