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  • Communiqué d’ivg.net

    Nous sommes à plus de 8.500 signatures ! 
C'est bien, mais c'est insuffisant pour faire fléchir notre "gouvernement" . Le site de promotion de l'iVG est devenu N° 2 de Google ... (ivg.net reste N° 1, mais pour combien de temps ?) Le site de Mme la ministre Touraine est même outrageusement mensongé car il est question (avec tous les détails...) du misoprostol (produit pour IVG par médicament) qui "augmente les contractions et provoque l’expulsion de l’œuf" ! Un lycéen de terminale sait bien qu’à 5 semaines de grossesse, on parle d’un embryon et non pas d’un "œuf" ! Mme Touraine n'en a cure ! Le 'droit de choisir' vaut bien des mensonges ... 
La loi va revenir bientôt à l'Assemblée... 
Ne lâchons rien !

  • Dans les bagages d’Hollande

    François Hollande est en Afrique du Sud avec sa concubine officielle. Celle-ci devait déjeuner avec des représentants des lobbies LGBT du pays, en compagnie de Christiane Taubira, et rencontrer un « couple de lesbiennes ».

    Ce matin, elle s'est entretenue avec « une épouse du président Jacob Zuma ». L’une des quatre épouses officielles actuelles de Jacob Zuma. Pas une de ses nombreuses, paraît-il, concubines.

  • Allah en Malaisie

    La cour d’appel de Kuala Lumpur interdit l’usage du terme Allah pour désigner Dieu dans l’hebdomadaire catholique Herald du diocèse de Kuala Lumpur. En première instance, en… 2009, un tribunal avait donné raison à l’Eglise.

    le Père Lawrence Andrew, directeur du Herald Malaysia déclare : « Nous sommes déçus parce que la décision de justice viole le droit à la liberté religieuse et d’expression garantie par la Constitution. Allah est un terme largement employé par les chrétiens arabes dans le monde entier et il se trouve dans la Bible en langue malaisienne depuis 400 ans ». Il annonce que, « en accord avec l’archevêque de Kuala Lumpur, éditeur du Herald, nous présenterons un recours devant la Cour Suprême fédérale ». Il souligne aussi que la portée du jugement est « limitée à la publication du Herald et ne concerne donc ni la Bible ni la liturgie ». Mais, comme le remarque  l’archevêque, « l’inconnue est représentée par les groupes radicaux islamiques qui pourraient donner une interprétation extensive à la décision de justice ». D'autant que l'arrêt ne peut qu'inciter les islamistes à multiplier les procès...

  • Manuel Valls a-t-il bloqué une nomination épiscopale ?

    Telle est la question que pose Perepiscopus, non sans arguments. Rome aurait voulu nommer Mgr Jean-Pierre Batut à Metz, évêché concordataire, mais le ministre de l’Intérieur aurait refusé ce jeune évêque trop ardent dans la contestation de la politique antifamiliale du gouvernement…

  • 522 martyrs d’un coup

    Quelque 522 martyrs des communistes et des anarchistes lors de la guerre civile espagnole ont été béatifiés hier à Tarragone. La cérémonie était présidée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la congrégation pour les causes des saints. François avait envoyé un message vidéo. Dans lequel il ne fait aucune allusion aux circonstances de la mort de ces martyrs.

  • Totale confusion

    Je ne voulais pas parler du sabotage (parce que c’était simplement un de plus) de la journée mariale qu’avait voulue Benoît XVI le 13 octobre dans le cadre de l’Année mariale, entre le bastringue années 60 revu télé-Berlusconi années 80, qui était censé être un « Rosaire », et une prière mariale qui était censée être un acte de consécration au Cœur immaculé de Marie, sans l’être tout en l’étant…

    Mais la vérité oblige.

    Je ne sais pas pourquoi certains ont absolument voulu que la prière devant la statue de Notre Dame de Fatima fût une « consécration ». Ce fut annoncé comme tel par Radio Vatican et l’agence Zenit. Toutefois, si Radio Vatican, le 8 octobre, annonçait « Le pape François va consacrer le monde au Cœur immaculé de Marie », la même radio du Vatican disait trois jours plus tard que le pape « prononcera un “acte de confiance” à la Vierge » et précisait : « Au Vatican, on insiste pour dire cependant que cette démarche du pape n’est pas à proprement parler une “consécration du monde au cœur immaculé de Marie“. »

    Ce lundi, il n’y a donc aucune allusion à une quelconque consécration sur le portail News.va, et il faut aller voir l’article sur la messe d’hier, intitulé « Le Pape : "Que la Vierge Marie aide les hommes à se laisser surprendre par Dieu" », pour trouver in fine la « prière de confiance » dite par le pape.

    Ce lundi on peut lire d’autre part sur le site de l’agence Zenit un très long texte, intitulé « Une véritable consécration du monde au Cœur immaculé de Marie », qui prétend expliquer que François a fait comme ses prédécesseurs en utilisant en italien l’expression « acte de confiance » (affidamento) qui veut dire en fait « acte de consécration ». L’agence Zenit ne peut toutefois pas gommer complètement le fait que Benoît XVI et Jean-Paul II parlaient de « consécration » (en italien) - mais elle ose le faire pour l’acte de Pie XII en 1942.

    Or bien entendu Pie XII avait utilisé, en italien, le mot de « consécration ». Et Benoît XVI aussi. Quant à Jean-Paul II, il avait dit 14 fois le mot consacrer ou consécration (oui, en italien), dans son acte du 25 mars 1984.

    Donc il est totalement faux de prétendre que François a fait comme ses prédécesseurs et qu’il aurait bel et bien consacré le monde au Cœur immaculé de Marie même s’il n’a pas employé le mot (ni celui de « monde », du reste).

    Le plus grave n’est pas dans cette pantalonnade où l’on tente de faire prendre des vessies pour des lanternes au bon peuple chrétien (et ça marche, si j’en crois certaines réactions). Le plus grave est que François n’a pas fait d’acte de consécration parce que les théologiens à la mode ont décidé qu’il ne pouvait pas y avoir de consécration à la Vierge. C’est ce que nous apprenait Radio Vatican après son brusque retournement : « Mgr Rino Fisichella a ainsi expliqué à I.MEDIA qu’il existait un “débat théologique très fort“ sur la signification du terme “consécration“ et qu’il avait été abandonné par Jean Paul II après son Encyclique Redemptoris mater de mars 1987. Au préalable, en mai 1982 à Fatima, puis en mars 1984 au Vatican, le pape polonais avait publiquement prononcé des actes de consécration du monde à la Vierge Marie. »

    Donc Jean-Paul II n’avait pas encore compris, avant 1987, le véritable sens du mot « consécration ». On ne peut pas lui jeter la pierre, puisque aucun pape avant lui ne l’avait compris non plus, y compris ce pauvre Pie XII.

    Mais ce qui est stupéfiant est que, après cela, Benoît XVI ne l’ait pas compris non plus, lui, qui, le 12 mai 2010, à Fatima, a consacré les prêtres au Cœur immaculé de Marie…

    Bref, enfin vint François, qui allait rompre avec les erreurs de ses prédécesseurs…

    N.B. 1 Les théologiens dont il est question ne savent pas (rejettent) ce que veut dire « Mère de Dieu ».

    N.B. 2 Si vous entendez crier saint Louis Marie Grignion de Montfort et saint Maximilien Kolbe (et le bienheureux Jean-Paul II si lié à l’un et à l’autre), c’est normal. On leur arrache, on veut nous arracher, la vraie dévotion à Marie, canal du salut.

  • Saint Calixte

    On ne savait à peu près rien du pape Calixte 1er, sinon qu’il était le successeur de Zéphyrin, qu’il aménagea les catacombes qui portent son nom, qu'il fut à l'origine de ce qui deviendrait les quatre temps (jeûne le samedi qui précède les moissons, les vendanges, la cueillette des olives), qu’il construisit la basilique Saint-Marie du Transtévère, qu’il fut tué et jeté dans un puits en 222 puis enterré au cimetière de Calépode, que son culte fut fervent à Rome au cours des siècles qui suivirent, et donc qu’il était considéré comme un grand pape.

    Or au milieu du XIXe siècle on découvrit un texte en grec intitulé Philosophumena, ou réfutation des hérésies, qui dans son livre 9 contient un ahurissant pamphlet contre Calixte Ier. L’auteur (sans aucun doute le premier antipape Hippolyte, qui deviendra le martyr saint Hippolyte…) accuse Calixte de diverses hérésies, d’être « un imposteur et un bandit », le chef d’une secte immonde que lui, l’auteur, a chassée de l’Eglise, mais qui continue de faire des ravages…

    Une analyse fouillée de ce que les Philosophumena reprochent à Calixte a permis de retrouver en partie ce qui faisait la grandeur de ce pape, et qui était intolérable pour le rigoriste extrémiste qui avait écrit le pamphlet : Calixte avait notamment établi que les péchés d’adultère et de fornication pouvaient être remis après due pénitence (ce que Tertullien dénonça également), qu’il n’y avait pas à faire accomplir une pénitence publique à ceux qui revenaient de l’hérésie pour les péchés commis hors de l’Eglise, qu’il ne suffisait pas qu’un évêque ait commis un péché mortel pour qu’il soit déposé, que les patriciennes pouvaient se marier avec des esclaves, ce que la loi civile interdisait et que Hippolyte considérait comme une abomination (Calixte établissait ainsi la distinction entre la loi ecclésiastique et la loi civile, et la primauté de la première sur la seconde).

    D’autre part Hippolyte se plaint que Calixte l’accuse de « dithéisme », et affirme que c’est Calixte qui est hérétique, car il aurait inventé une nouvelle forme de sabellianisme (ou modalisme : les « Personnes » de la Trinité ne sont que différents modes du Dieu unique). Mais ce qui est attesté est que dans ses œuvres Hippolyte verse dans le subordinatianisme (le Fils, créé par le Père, est subordonné au Père)… Et, vu le culte dont il jouira, il est plus que probable que Calixte ait professé la doctrine catholique de la Trinité (ce qui n’était d’ailleurs pas évident à l’époque).

  • 21e dimanche après la Pentecôte

    C’est le dimanche de l’offertoire de Job, que j’avais évoqué l’année dernière, dont il ne reste dans les livres actuels que le répons. Voici le texte intégral, avec la traduction de l’Année liturgique. Il faut bien sûr le chanter ou l’entendre chanter (merci au lecteur qui m’a donné ce lien l’an dernier, ainsi que le lien vers le livre Offertoriale qui, p. 122, donne la partition correspondant au chant, légèrement différente de celle que j’avais donnée l’an dernier).

    . Vir erat in terra, nómine Job : simplex et rectus ac timens Deum : quem Satan pétiit ut tentáret : et data est ei potéstas a Dómino in facultátes et in carnem ejus : perdidítque omnem substántiam ipsíus et fílios : carnem quoque ejus gravi úlcere vulnerávit.

    .  1 Utinam appenderéntur peccáta mea, utinam appenderéntur peccáta mea, quibus iram mérui, quibus iram mérui, et calámitas et calámitas et calámitas, quam pátior, hæc grávior apparéret.

    .  2 Quæ est enim, quæ est enim fortitúdo mea, ut sustíneam ?Aut quis finis meus ut patiénter agam ? Aut finis meus, ut patiénter agam ?

    .  3 Numquid fortitúdo lápidum est fortitúdo mea ? aut caro mea ǽnea est? Aut caro mea ǽnea est ?

    .  4 Quóniam, quóniam, quóniam non revertétur óculus meus ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona, ut vídeat bona.

    R/. Il y avait un homme sur la terre, simple et droit, et craignant Dieu, que Satan demanda de tenter ; et puissance lui fut donnée sur ses biens et sur sa chair ; et il fît périr tout ce qui lui appartenait et ses enfants, et il frappa sa chair d’une plaie funeste.

    V/. I. Plût à Dieu que l’on pesât mes péchés, plût à Dieu que l’on pesât mes péchés par lesquels j’ai mérité la colère, par lesquels j’ai mérité la colère, et les maux, et les maux que je souffre : ceux-ci apparaîtraient plus grands !

    V/. II. Car quelle est, car quelle est, car quelle est ma force pour les porter ? ou quand sera ma fin, pour agir en patience ?

    V/. III. Est-ce que ma force est celle des rochers ? ou ma chair est-elle d’airain ? ou ma chair est-elle d’airain ?

    V/. IV. Parce que, parce que, parce que mon œil ne se retrouvera plus à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur, à voir le bonheur.

  • Ah bon. Donc c’est normal…

    On apprend de source judiciaire que l’homme qui avait été retrouvé mort dans les toilettes de l’hôpital de Dieppe dix jours après sa disparition est décédé de mort naturelle.

    Ce qui n’est vraiment pas une surprise, puisqu’il était très gravement malade.

    Mais ce qui est ahurissant (dites-moi si je suis normal ou pas, je commence à me poser des questions), c’est que les dépêches et les articles qui en parlent en restent là.

    On ajoute seulement que l’enquête judiciaire est donc terminée, puisque personne n’a déposé plainte.

    Autrement dit il est parfaitement normal, pour la justice française, qu’un patient meure dans les toilettes d’un hôpital et qu’on le trouve dix jours après…

    Un conseil, quand même : si vous le pouvez, choisissez un autre hôpital. Si du moins il y en a où l’on se préoccupe de la disparition d’un malade et où l’on nettoie les toilettes plus de deux fois par mois…

  • Une réponse à une question de Lilian Thuram

    « Comment ma mère a pu croire que nos ancêtres étaient les Gaulois ? », se demande Lilian Thuram.

    Réponse : parce qu’elle est intelligente et que tu es stupide. Parce que même enfant elle savait qu’elle était française et donc héritière d’une histoire où la France avait été la Gaule.

    Alors que l’intelligence de Lilian Thuram se limite à se faire grassement payer ses petits sermons « antiracistes » comme il se faisait grassement payer ses coups de pied dans un ballon.