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  • 15 septembre breton à Riaumont

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  • Comme ça en passant…

    C’est le 5 août que Le Monde a dévoilé un rapport du Haut Conseil à l’intégration proposant d’interdire les signes religieux (en clair le voile islamique) à l’université. Ce qui a suscité aussitôt une polémique.

    Manuel Valls parle tous les jours aux micros des radios et télévisions.

    Mais c’est seulement aujourd’hui 9 août qu’il a évoqué la proposition du Haut Conseil. Pour dire qu’elle est « digne d’intérêt ». Alors que plusieurs ténors socialistes s'étaient déjà exprimés en sens contraire.

    Un sondage venait d’être publié indiquant que 78% des Français sont pour l’interdiction du voile à l’université.

    Mais ce n’est sûrement qu’une coïncidence.

  • Les jihadistes à l’assaut du pays alaouite

    La soi-disant Armée syrienne libre (ASL) a revendiqué la prise d’une dizaine de villages alaouites, dans la région de Lattaquié. En réalité ces villages ont été pris par l’alliance des principaux groupes de jihadistes, dont al-Nosra et l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), tous deux affiliés à Al Qaida. L’opération portait le nom de « bataille des petits-enfants d’Aïcha, la mère des croyants », selon France 24.

    A l’issue de très durs combats (il y aurait eu 200 morts chez les loyalistes et 60 chez les islamistes), ils ont massacré les quelques hommes qui pouvaient rester (ceux qui étaient encore en vie et n’étaient pas sur d’autres fronts) et ont pris une partie des femmes et des enfants en otages. Selon des informations obtenues par le quotidien suisse Le Temps : une unité de Tchétchènes en a un peu plus de 70, l’EIIL le même nombre et les Libyens en auraient une cinquantaine.

    On constate… qu’il n’y a pas de Syriens parmi ces combattants, qui sont là non pour lutter contre Assad mais, ouvertement, pour tuer les « mécréants ». Dans le sentier d’Allah.

  • Vigile de saint Laurent

    La messe est très ancienne et semble bien mettre en valeur ce qui nous impressionne le plus dans la vie de saint Laurent :
     a) la distribution des biens de l’Église aux pauvres (Intr. et Grad.) ;
     b) l’invitation à suivre l’exemple du Sauveur (Év. et Com.) ;
     c) l’ardeur dans la prière (Ép. et Off.).

    L’Offertoire traduit les dispositions du saint au moment où il comparaît devant le souverain juge : « Ma prière est pure ; c’est pourquoi je demande que ma voix soit entendue dans le ciel ; que ma supplication s’élève vers Dieu ». La lente mélodie, avec les notes profondes du début est vraiment grave et implorante. Nous sommes aujourd’hui les « pauvres » auxquels le Seigneur distribue les trésors spirituels de l’Église par la main de saint Laurent ; c’est à nous aussi que s’adresse l’appel du Sauveur à le suivre en portant notre croix ; nous supplions Dieu de nous donner la force d’accomplir ce sacrifice où il sera notre témoin et notre aide, et déjà nous l’en remercions en nous appropriant les paroles de l’Épître : « Vous m’avez délivré de la flamme qui me pressait et m’entourait, et, au milieu du feu, je n’ai pas été brûlé ». Ce texte s’applique exactement à saint Laurent, mais à nous également dans chacune de nos épreuves. Ayons en profonde vénération ces antiques formulaires de messes dont la richesse a été l’aliment spirituel de tant de grandes âmes avant nous.

    Dom Pius Parsch

  • Saint Jean-Marie Vianney

    Si nous considérons le contexte culturel dans lequel vécut saint Jean-Marie Vianney, nous voyons que, sous divers aspects, il n'était pas si éloigné du nôtre. De son temps, en effet, il existait aussi une mentalité hostile à la foi, exprimée par des forces qui tentaient même d'empêcher l'exercice du ministère. Dans de telles circonstances, le saint Curé d'Ars fit "de l'église sa maison", pour conduire les hommes à Dieu. Il vécut avec radicalité l'esprit de prière, le rapport personnel et intime avec le Christ, la célébration de la Messe, l'Adoration eucharistique et la pauvreté évangélique, en apparaissant à ses contemporains comme un signe si évident de la présence de Dieu, qu'il poussait beaucoup de pénitents à s'approcher de son confessionnal. Dans les conditions de liberté où il est aujourd'hui possible d'exercer le ministère sacerdotal, il est nécessaire que les curés vivent de "manière élevée" leur réponse à la vocation, parce que seul celui qui devient chaque jour présence vivante et claire du Seigneur peut susciter chez les fidèles le sens du péché, donner courage et faire naître le désir du pardon de Dieu. (…)

    Saint Jean-Marie Vianney savait instaurer avec les pénitents un véritable "dialogue de salut", en montrant la beauté et la grandeur de la bonté du Seigneur et en suscitant ce désir de Dieu et du Ciel, dont les saints sont les premiers porteurs. Il affirmait: "Le Bon Dieu sait tout. Avant même que vous vous confessiez, il sait déjà que vous pécherez encore et, toutefois, il vous pardonne. L'Amour de notre Dieu est si grand, il va jusqu'à oublier volontairement l'avenir, pour nous pardonner". Le devoir du prêtre est de favoriser cette expérience du "dialogue de salut" qui, naissant de la certitude d'être aimés de Dieu, aide l'homme à reconnaître son péché et à s'introduire progressivement dans cette dynamique stable de conversion du cœur, qui conduit au renoncement radical au mal et à une vie selon Dieu.

    Benoît XVI

  • Jihadistes tunisiens déçus

    Cherchant confirmation des informations sur le « jihad sexuel » (voir mes notes précédentes), je suis tombé sur un texte publié sur un site du quotidien algérien Liberté, où un jihadiste tunisien déclare qu’il y a environ 2.000 Tunisiens qui se battent en Syrie, et qu’il a vu 13 Tunisiennes pour le « jihad al nikah ».

    S’il s’exprime, c’est parce qu’il est revenu du front, et il est revenu parce qu’il est très déçu : les jihadistes syriens exploitent et maltraitent les Maghrébins… Et c’est peu de le dire. Le site rappelle :

    « Ali Karbousi, un journaliste tunisien, qui était en Syrie, avait déclaré, il y a quelques semaines que les cadavres des combattants non syriens, notamment des combattants libyens et tunisiens, sont souvent brûlés. Il donne l’exemple d’un incident qui a eu lieu à Homs, où 140 Tunisiens et Libyens ont été brûlés vifs, et ensuite, ils ont été représentés, dans les médias, comme des civils tués par le régime syrien. « Les Tunisiens sont de la chair à canon », a-t-il avoué à la chaîne Al-Watanya. Les blessés tunisiens et libyens ne sont pas soignés, et parfois ils sont tués pour que le régime ne les prenne pas en otages. Ce témoignage a été confirmé par un combattant libyen qui s’est échappé de la guerre civile syrienne. Le djihadiste libyen a précisé que l'exploitation des guerriers libyens et tunisiens, ainsi que les scènes traumatisantes des viols et des “brûlés vifs” sont derrière sa “démission” de son devoir djihadiste. »

  • Le "jihad par le mariage"

    Le cheikh saoudien Mohammed al-Arifi, qui appelle en permanence les musulmans de tous les pays à aller faire le jihad en Syrie, a lancé une fatwa intitulée « Ouverture de la porte du jihad par le mariage en Syrie ». La fatwa rend légal (halal) le mariage, pour quelques heures, des jihadistes engagés en Syrie, avec des filles de 14 ans et plus non mariées ou répudiées. Il s’agit de « permettre aux combattants d’exercer leur droit aux rapports sexuels, ce qui renforce leur courage et augmente leur capacité et leur moral dans le combat ». Une fois assouvi son besoin de « mariage », le jihadiste répudie sa « femme », laquelle trouve aussitôt un nouveau « mari »…

    C’est le « jihad des femmes contre Bachar al-Assad ». Il va de soi que les filles doivent être de bonnes pratiquantes et porter le niqab ou au moins le hijab. « C’est un jihad dans la voie d’Allah, pratiqué selon les modalités islamiques, et qui assurera à la personne qui l’entreprend l’entrée au paradis », précise le cheikh al-Arifi. Mais comme on trouve assez peu de Syriennes disposées à jouer les prostituées gratuites, la campagne est étendue à tous les pays musulmans, et l’on sait notamment qu’un certain nombre de jeunes Tunisiennes ont été ainsi embarquées, avec les jihadistes tunisiens qui vont combattre en Syrie.

    En arabe, on dit simplement « jihad al nikah », c’est-à-dire, en langage châtié, le jihad de la fornication, et de façon plus triviale le jihad de la baise (« nikah », c’est comme dans « nique ta mère »). Et c’est bien au « jihad al nikah » qu’en appelle Sabah al-Sakara, sœur éminente des Frères musulmans égyptiens, pour une meilleure efficacité des manifestants de la place Rabia al-Adawiyya au Caire : « Le jihad de fornication n’est halal que lorsqu’il se trouve en terre de jihad comme sur la place Rabia al Adawiyya et la place al-Nahda. Il l’est aussi en Syrie. C’est un devoir pour toute musulmane là-bas et maintenant en Égypte, car l’Égypte a été violée et il faut qu’elle revienne à la gouvernance des Frères Musulmans. Les musulmanes doivent se rendre place Rabia pour le jihad de fornication car il est devenu un devoir. »

    Et le bordel ad hoc a été installé. Après les douches et les toilettes ont été mis à disposition des militants des « isoloirs halals »…

    Le nouveau sport des « jihadistes » (?) de la place Rabia al Adawiyya est donc de parcourir les rues et d’enlever des filles pour les violer de façon parfaitement halal.

  • Les jolis mariages musulmans

    Chaque été, de riches touristes des Etats du Golfe investissent les hôtels de luxe d’Alexandrie et du Caire. Qu’ils viennent seuls ou, plus généralement, en famille, ils utilisent volontiers les services des « courtiers en mariage »…

    Extrait d’un reportage d’IPS International :

    Chaque année, à El Hawamdia et dans d'autres communautés rurales pauvres à travers l'Egypte, des milliers de filles âgées de 11 à 18 ans sont vendues par leurs parents à des hommes arabes riches du Golfe beaucoup plus âgés sous prétexte de mariage. Les noces fictives peuvent durer entre quelques heures et plusieurs années, selon l'arrangement négocié.

    "C'est une forme de prostitution infantile sous le couvert de mariage", affirme à IPS, Azza El-Ashmawy, directeur de l'Unité de lutte contre la traite des enfants au Conseil national pour l'enfance et la maternité (NCCM). "L'homme paie une somme d'argent et reste avec la fille pendant quelques jours ou l'été, ou la ramène dans son pays pour des travaux domestiques ou la prostitution".

    La fille est retournée à sa famille à la fin du mariage, généralement pour être mariée de nouveau.

    "Certaines filles ont été mariées 60 fois au moment où elles ont 18 ans", indique El-Ashmawy. "La plupart 'des mariages' durent juste quelques jours ou semaines".

    Les accords sont conclus dans les nombreux bureaux de "courtier en mariage" d'El Hawamdia, identifiables par la présence remarquable de climatiseurs dans une ville délabrée disposant d’une énergie intermittente.

    Une journée de mariage 'mut'a' ou "de plaisir" peut être arrangée pour seulement 800 livres égyptiennes (115 dollars). L'argent est partagé entre le courtier et les parents de la fille.

    Un 'misyar' ou mariage "avec visiteur" pendant tout l'été coûte entre 20.000 livres égyptiennes (2.800 dollars) et 70.000 livres égyptiennes (10.000 dollars). Le contrat juridiquement non contraignant se termine quand l'homme retourne dans son pays.

  • Saint Gaétan de Thienne

    En vivant ici-bas, nous devons acquérir la vie éternelle, que nous ne méritons pas, car nous l'avons perdue à cause de nos péchés, mais que Jésus Christ a reconquise pour nous. C'est pourquoi nous devons toujours lui rendre grâce, l'aimer, lui obéir et, autant que c'est possible, être toujours avec lui. Il s'est donné pour nous en nourriture: malheureux, celui qui méconnaît un si grand don! Il nous est donné de posséder le Christ, fils de la Vierge Marie, et nous le refusons. Malheur à celui qui ne se soucie pas de le recevoir! Ma fille, voici le bien que je souhaite pour moi et que j'implore pour toi, mais il n'y a pas d'autre voie pour l'obtenir que de prier souvent la Vierge Marie: qu'elle te visite avec son glorieux Fils. Mieux encore: ose lui demander de te donner son Fils, qui est la véritable nourriture de l'âme dans le Saint Sacrement de l'autel. Elle te le donnera volontiers, et lui-même viendra plus volontiers encore pour te fortifier, pour que tu puisses avancer sans crainte dans cette sombre forêt où tant d'ennemis nous guettent, mais qui demeurent loin de nous s'ils voient que nous sommes gardés par un tel protecteur. Ma fille, ne communie pas à Jésus Christ afin d'user de Lui à ton gré; je veux que tu t'abandonnes à lui, et que lui te reçoive, afin que lui-même, ton Dieu sauveur, fasse pour toi et en toi ce qu'il veut. Voilà ce que je désire, à quoi je t'exhorte et, autant que j'en ai le pouvoir, ce que j'exige de toi.

    (Lettre à sa nièce Elisabeth)

  • Fukushima : « situation d'urgence »

    Le 22 juillet, Tepco reconnaissait que des eaux souterraines fortement radioactives s'étaient probablement écoulées dans l'océan Pacifique et continuaient de le faire. Entre 20 et 40 000 milliards de becquerels ont fui jusqu'à maintenant dans les eaux de l'océan.

    « Les contre-mesures prévues par l'opérateur de la centrale ne sont qu'une solution temporaire, et Tepco ne réalise pas que l'heure est grave. C'est pourquoi nous ne pouvons tout simplement pas laisser cela à Tepco tout seul », a déclaré Shinji Kinjo, responsable d'un groupe de travail à l'Autorité de régulation nucléaire (NRA), ajoutant que c’est une « situation d’urgence ».