Communiqué de l’Agrif
L’AGRIF et ses avocats constatent les faits suivants :
Un peu partout, des forces de police et de gendarmerie sont détournées par le gouvernement Hollande à des fins de répression idéologique contre l’immense mouvement d’objection de conscience morale face à la loi radicalement anti-humaine imposée par la dictature LGBT-OGM.
Le pouvoir provisoirement en place emploie contre ce mouvement de défense de la dignité humaine toute la panoplie des moyens des régimes totalitaires :
- Déshonorante tentative d’instauration d’un climat de peur par le ministre des gaz et matraques, Manuel Valls, pour essayer, en vain, de dissuader les familles de venir clamer leur détermination de ne pas accepter une loi de désintégration de l’humanité.
- Arrestations nombreuses, incessantes et totalement arbitraires de personnes pacifiques, pour simple « délit de bonne gueule », ou par exemple pour simple port de vêtements siglés « la Manif pour tous », voire pour simple port d’un drapeau français, manifestement non prisés par les ministres de la dictature socialiste et de l’écologie subvertie.
- Cas de mères de familles attendant leurs enfants à la sortie des écoles, ignoblement embarquées dans les fourgons par de pauvres exécutants sans souci des droits des personnes et du sort des enfants ;
- Placements sur écoutes, filatures, arrestations, rétentions, mises en garde à vue à des fins d’intimidation et de fichage, et en violation flagrante du droit se succèdent ainsi comme aux époques annonciatrices des persécutions jacobines, nazies et communistes.
Cependant, la police et la gendarmerie ne font plus face à la délinquance grandissante dont on occulte des faits très graves. Et rien n’est fait contre les actes de profanation d’églises et de cimetières qui se multiplient et contre lesquelles, malgré les plaintes de l’AGRIF, les enquêtes ne sont pas diligentées.
Les dirigeants et avocats de l’AGRIF constatent, comme des millions de Français, que l’actuel gouvernement, imposant une loi immorale de déni d’humanité par tous les moyens de manipulation et de violation d’une authentique démocratie respectueuse de la loi morale naturelle et éternelle, s’est enfermé dans l’illégitimité et sombre désormais dans l’illégalité la plus grossière.
Ils vont riposter à cette situation d’iniquité par tous les moyens de justice et de droit encore subsistants et en appellent aux magistrats protecteurs de la défense des libertés.
Les forces de l’ordre sont aujourd’hui employées à des missions de répression et d’intimidation des honnêtes gens qui ne réclament que de pouvoir s’exprimer.
Elles savent pourtant que prévaut désormais fermement depuis 1945 dans le droit international et national la doctrine dite des « baïonnettes intelligentes ». Celle-ci dispose que les agents de l’État sont responsables pénalement s’ils exécutent des ordres manifestement illégaux (article 122-4 du code Pénal), notamment les atteintes arbitraires à la liberté individuelle qui sont réprimées par l’article 432-4.
Ce dernier article fait encourir 7 ans d’emprisonnement aux auteurs et aux donneurs d’ordre portant atteinte arbitrairement à la liberté individuelle.
Des dizaines de plaignants, notamment soutenus par l’AGRIF et assistés par ses avocats, et bien d’autres encore en concertation avec eux, vont saisir dans les prochains jours les instances judiciaires de plaintes contre les atteintes aux droits les plus fondamentaux de la personne humaine.
Bernard Antony