« Venezuela : après le papier toilette, les hosties touchées par les pénuries »
Le pire est que le journaliste doit être fier de son titre et le trouver amusant…
(En outre il ne correspond que très partiellement à l’article, qui évoque les pénuries en général.)
Commentaires
Satan ricane lorsqu'il lit ce journal.
Il y a pénurie de Figaro au Venezuela ?
Attention ! Ne pas utiliser ce journal à des fins hygiénique car il est sale ! Mais comme chacun sait, la liberté de blâmer n'oblige pas aux éloges flatteurs pour ce quotidien si souvent décevant.
On ne compte plus les fautes de français, d'orthographe... Allez, monsieur Figaro, un chômeur en moins et un relecteur en plus !