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  • Hollande toujours

    François Hollande, lors de sa conférence de presse commune avec Angela Merkel :

    « Nous sommes d'accord pour qu'il y ait plus de sommets européens avec un président à temps plein de l'Eurogroupe. »

    Pour que personne ne nous dise ce que nous devons faire, bien sûr…

  • Au fait...

    Le Forum Catholique fonctionne à nouveau.

    Le seul problème, pour y participer de nouveau, est qu'il faut se souvenir du mot de passe qu'on avait utilisé la première fois... (Moi j'ai réussi à la deuxième tentative!)

  • Traitement rationnel

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  • La phrase politique la plus débile d’hier

    Elle est de François Hollande :

    « La Commission n'a pas à nous dicter ce que nous avons à faire. »

    Il paraît qu’à Bruxelles ils n’avaient pas autant rigolé depuis longtemps.

  • Au Pakistan

    Les évêques du Pakistan profitent des élections et du changement de gouvernement pour rappeler les demandes de l’Eglise. La commission Justice et Paix attire l’attention du nouveau Premier ministre, Nawaz Sharif, sur la discrimination religieuse contenue dans les manuels scolaires et enseignée dans les écoles.

    Selon une étude publiée par la commission, 55 chapitres de 22 manuels utilisés de l’école primaire au lycée dans les provinces du Sindh et du Punjab contiennent des affirmations erronées, offensantes et discriminatoires envers les minorités religieuses.

    La commission note que les affirmations discriminatoires ont augmenté au fil des années. En 2009, les cas signalés dans les manuels étaient au nombre de 45 contre 122 en 2013.

    La Commission suggère au nouveau gouvernement de revoir les politiques de l’instruction et demande des interventions afin de mettre fin aux « leçons discriminatoires vis-à-vis des minorités ». Pour ce faire, pourrait être constituée une Commission indépendante composée de chercheurs et d’historiens. En outre, l’organisme ecclésial demande à ce que les élèves non musulmans ne soient pas contraints à suivre les leçons d’études islamiques mais qu’ils puissent étudier leurs religions respectives ou suivre des études alternatives.

    (Fides)

  • Inauguration de l’université de Madaba

    Cet après-midi a lieu en Jordanie l’inauguration solennelle de l’Université de Madaba, dont Benoît Xvi avait posé la première pierre le 9 mai 2009.

    A cette inauguration participent le roi Abdallah II de Jordanie, le patriarche latin de Jérusalem S.B. Fouad Twal, et le préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, le cardinal Leonardo Sandri. « La présence du roi, du patriarche et du cardinal – explique à l’Agence Fides le Père Rifat Bader, Directeur du Center of catholic studies and formation for media – confirme de manière forte que le chemin de la nouvelle institution universitaire doit être encadré dans le contexte de la mission, vaste et durable, réalisée par le Patriarcat latin en Jordanie dans le domaine de l’instruction. Voici 160 ans, la première école du patriarcat latin était créée au-delà du Jourdain, dans ce qui paraissait alors un monde clos et marginal. Aujourd’hui, cette même mission en arrive à favoriser la naissance d’une Université aux standards élevés et disposant de relations académiques internationales, au service du peuple jordanien, des chrétiens comme des musulmans. »

    L'« American University » de Madaba a ouvert ses portes en octobre 2011. Les étudiants sont actuellement au nombre de 800 environ même si, à plein régime, l’institution pourra en accueillir 8.000. Les parcours activés sont une vingtaine, concentrés dans les secteurs des technologies informatiques, des sciences économiques et des carrières médicales et sanitaires. Le patriarcat latin a contribué de manière importante à la construction des bâtiments. Le patriarche est membre du conseil d’administration qui gère désormais de manière pleinement indépendante l’université sur les plans académique et financier, sur le modèle d’autres universités proche-orientales accréditées par les organismes de certification universitaire américains.

    (Fides)

  • Ave Maria…

    Le premier attentat légal contre le mariage a eu lieu hier à Montpellier. Accompagné d’un blasphème :

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    h8xw6cr2.gifUne comtesse de Maguelonne donna Montpellier à l'évêque Ricuin, qui plaça la ville sous le patronage de la Vierge, d'où dans les armes les initiales A et M (Ave Maria), et qui en investit son vassal, Guilhem Ier, branche de la dynastie des Guilhem, dont l'emblème au tourteau de gueules (au rond rouge) se retrouve sur le blason.

    Ce matin, après la procession de la Fête Dieu, on chantait :

    Ô Marie conçue sans péché, priez, priez, priez pour la France…

  • Un sabotage

    A l’audience du 3 avril, François disait qu’il reprenait les catéchèses de l’année de la foi sur le Credo. Et il parlait de la Résurrection.

    Or Benoît XVI avait juste entamé son explication du Credo : il en était encore à la création.

    Je me suis dit que le nouveau pape embrayait sur les événements de l’année liturgique, et qu’il reviendrait ensuite en arrière.

    Puisqu’il avait évoqué la Résurrection, fatalement il poursuivait par l’Ascension, puis par le Saint-Esprit.

    Le 22 mai, il en arrivait à « Je crois en l’Eglise, une, sainte, catholique et apostolique ».

    Le 27 mai, il annonçait une nouvelle série de catéchèses. Sur l’Eglise.

    Bref, il n’y aura pas de catéchèse sur le Credo. Ce que Benoît XVI avait programmé a été sciemment saboté.

    On me dira que, vu ce que dit le nouveau pape, ça n’a guère d’importance. En effet. C’est juste une question de principe. Disons même de politesse…

    Au fait, ceux qui ont du temps à perdre ont peut-être constaté que la « catéchèse » du 22 mai était ponctuée de trois citations de Paul VI. François paraît vraiment coincé dans les années 70…

  • Messe pour la France…

    Le cardinal Jean-Pierre Ricard a célébré hier la traditionnelle messe pour la France, en la chapelle Sainte-Pétronille de la basilique Saint-Pierre.

    Il a fait l’éloge de la fidélité, notamment « aux valeurs de la République », à laquelle il faut former les jeunes. Sic.

  • Fête Dieu

    Au moment de l’adoration, nous sommes tous sur le même plan, agenouillés devant le Sacrement de l’Amour. Le sacerdoce commun et le sacerdoce ministériel se trouvent réunis dans le culte eucharistique. C’est une expérience très belle et très significative que nous avons vécue à différentes reprises dans la basilique Saint-Pierre, ainsi que lors des inoubliables veillées avec les jeunes — je me souviens par exemple de celles de Cologne, de Londres, de Zagreb, de Madrid. Il est évident pour tous que ces moments de veillée eucharistique préparent la célébration de la Messe, préparent les cœurs à la rencontre, si bien qu’elle en devient elle aussi plus féconde. Etre tous en silence de façon prolongée devant le Seigneur présent dans son Sacrement, est l’une des expériences les plus authentiques de notre être Eglise, qui est accompagnée de façon complémentaire par celle de célébrer l’Eucharistie, en écoutant la Parole de Dieu, en chantant, en s’approchant ensemble de la table du Pain de vie. Communion et contemplation ne peuvent pas être séparées, elles vont de pair. Pour communier vraiment avec une autre personne, je dois la connaître, savoir rester auprès d’elle en silence, l’écouter, la regarder avec amour. Le vrai amour et la vraie amitié vivent toujours de cette réciprocité de regards, de silences intenses, éloquents, pleins de respect, et de vénération, afin que la rencontre soit vécue en profondeur, de façon personnelle et non pas superficielle. Et hélas, s’il manque cette dimension, même la communion sacramentelle peut devenir, de notre part, un geste superficiel. En revanche, dans la vraie communion, préparée par l’entretien de la prière et de la vie, nous pouvons dire au Seigneur des paroles de confiance, comme celles qui viennent de résonner dans le psaume responsorial : « Je suis ton serviteur fils de ta servante, / tu as défait mes liens. / Je t'offrirai le sacrifice d'action de grâces, / j'appellerai le nom du Seigneur ».

    Benoît XVI, jeudi 7 juin 2012, basilique Saint-Jean de Latran