La peine de mort existait théoriquement en Papouasie Nouvelle-Guinée, mais elle n’avait jamais été prononcée. Le Parlement, sous pression de l’opinion publique, la met pleinement en vigueur et étend les crimes qui en sont passibles. Jusqu’au viol aggravé et au vol avec violence.
Une preuve parmi d’autres qu’on peut « revenir » sur une loi, y compris sur un sujet « sensible » selon la pensée unique.
Commentaires
Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir pour qu'à l'occasion d'un référendum,la peine de mort soit rétablie pour les crimes les plus odieux en France;les Français pour l'instant sont plutôt prêts à voir couler le sang des innocents que celui des assassins,formidable inversion d'ailleurs prédite au siècle dernier par le penseur catholique Donoso Cortes.
"Tu ne tueras point"