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  • C’est la démocratie égyptienne qui était visée…

    Mais non, ce n’était pas les chrétiens qui étaient visés dans la tuerie de l'église des Saints à Alexandrie : « C'est l'Etat égyptien, avec ses caractéristiques de démocratie et de tolérance (…). Toutes nos démocraties, parce qu'elles sont tolérantes et affirment dans leurs textes et dans les déclarations de leurs gouvernements la liberté de pensée et d'exercice du culte, sont contestées par les terroristes. »

    Déclaration de notre ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie. D’abord c’est un mensonge, ignoble si l’on pense un tant soit peu aux victimes. Ensuite c’est une absurdité. Enfin, on lui rappellera ces propos après la chute du clan Moubarak, quand toute la classe politico-médiatique dénoncera la « dictature » qui régnait en Egypte avant la révolution de… de papyrus, peut-être…

  • Les point sur les i

    « Personne ne peut se prévaloir » d'un droit à un mariage à l'église, a dit Benoît XVI en recevant les magistrats de la Rote : « Le droit de contracter un mariage présuppose qu'on puisse et qu'on ait l'intention de le célébrer vraiment, en conséquence dans la vérité de son essence telle qu'enseignée par l'Eglise. »

    Le mariage à l'église n'« est pas une exigence subjective qui doive être satisfaite par les prêtres à travers une simple reconnaissance formelle, indépendamment du contenu réel de l'union », a-t-il ajouté.

    Il est donc important que les prêtres vérifient les convictions des aspirants au mariage face aux « obligations imprescriptibles pour la validité du sacrement du mariage » : « Un discernement sérieux sur ce sujet pourra éviter que des impulsions émotives ou des raisons superficielles ne conduisent les deux jeunes à assumer une responsabilité qu'ils ne sauront pas honorer par la suite. Le mariage et la famille sont des institutions qui doivent être promues et défendues de toute équivoque possible sur leur vérité parce que toute atteinte qui leur est portée est de fait une blessure qui touche la cohabitation humaine. »

    Il faut « interrompre, dans la mesure du possible, le cercle vicieux entre admission quasi automatique au mariage, sans préparation adéquate et examen sérieux (...), et déclaration judiciaire également facile, mais en sens inverse, de nullité du mariage seulement sur la base d'un constat d'échec ».

  • C’est cela, la différence

    Jean-Marie Le Pen sur Europe 1 :

    "Marine, il est évident, a fait porter son effort dialectique sur la laïcité et sur la République (...). Elle veut que le pays sache que le Front national est un mouvement républicain, ce qui lui est quelques fois à tort contesté par ses adversaires. Mon critère de rassemblement à moi, c'était un critère national. Par conséquent, tous les gens de bonne volonté, patriotes, je souhaitais les rassembler quelles que soient leurs options particularistes. C'est cela, la différence."

    (Précisons: elle veut que le pays sache que le Front national est un mouvement républicain, dans le sens que donnent à ce mot ses adversaires.)

  • Demain, la Marche pour la Vie

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  • Le grand imam d’Al-Azhar et les dhimmis

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    Cette photo représente le grand imam d’Al-Azhar présentant ses condoléances au patriarche copte Chenouda III après la tuerie d’Alexandrie. On y voit non pas une quelconque compassion mais toute l’assurance hautaine du chef musulman droit dans ses bottes, daignant visiter le représentant des dhimmis. Lequel regarde l’imam avec un effroi mêlé de résignation. Cette photo terrifiante, qui dit tout, est publiée par le quotidien suisse Le Temps en illustration d’une grande interview complaisante de l’imam Al-Tayyeb qui y manie tout à tour l’affirmation de l’islam pur et dur, la taqqiya, et le mensonge pur et simple. Titre de l’article, repris d’une réponse de l’imam : « Le musulman est tolérant ou n’est pas. » Sic.

  • Une erreur fatale

    Dans une interview du cardinal Domenico Bartolucci :

    Après le Concile Vatican II, le latin a été mis de côté, et ce fut une erreur fatale. Avec la promulgation du Missel de 1970, les textes millénaires du propre ont été éliminés, et l'espace pour les chants de l’ordinaire très réduit, pour permettre l'introduction des langues vernaculaires. Il me semble évident que, depuis lors, la musique sacrée et les scholae cantorum ont été définitivement mises à l'écart de la liturgie, en dépit des recommandations de la "Constitutio de Sacra Liturgia" de 63 et du motu proprio "Sacram Liturgiam" de 64, dans lequel le Grégorien est qualifié de "chant de la liturgie romaine".

    Sur la participation active :

    Avant ces "aggiornamenti", le peuple chantait à pleine voix pendant les vêpres, le Chemin de Croix, les messes solennelles, les processions. Il chantait en latin, la langue universelle de l'Eglise. Durant les liturgie des défunts, tous entonnaient le Libera me, Domine , In Paradisum , le De Profundis . Tous répondaien au Te Deum , au Veni Creator , au Credo . Aujourd'hui, les chansonnettes se sont multipliées. Il y en a tellement que très peu de gens les connaissent, et que presque personne ne les chante.

  • Jean-Paul II

    Vu par l’abbé Guillaume de Tanoüarn. Bref et intéressant retour sur le pontificat du futur béatifié: Polémiques dans l'Eglise, non - et Jean-Paul II (bis).

  • Saints Vincent et Anastase

    Anastase était un moine de Perse. Il avait, à Césarée de Palestine, souffert une grande quantité de tourments ; en prison, il avait aussi été battu de fouets et verges. Ensuite, le roi de Perse, Chosroas, le fit de nouveau tourmenter de diverses manières et enfin décapiter. Ses soixante-dix compagnons avaient été auparavant noyés dans les flots, si bien qu’ils le précédèrent dans le martyre. Sa tête fut plus tard apportée à Rome ainsi qu’une image de lui qui jouit d’un culte universel. Devant cette image, les mauvais Esprits s’enfuyaient et les malades étaient délivrés de leurs souffrances. Ces effets ont été attestés par les Actes du second concile de Nicée.

    Martyrologe

    De même que saint Fabien et saint Sébastien, avant-hier, saint Vincent et saint Anastase n’ont rien en commun hors la foi et le martyre.

  • Sud-Soudan

    Après dépouillement de plus de 80% des bulletins du référendum au Sud-Soudan, le vote pour l’indépendance recueille 98,6% des voix, a annoncé la commission électorale. (Soit 3,2 millions contre 44.000 pour le maintien dans le Soudan.)

  • L’ordre des médecins réitère son refus d’une loi sur l’euthanasie

    Communiqué de l’ordre des médecins :

    Le Senat s’apprête à examiner une proposition de loi relative à l’assistance médicalisée pour mourir.

    Cette proposition de loi vise à autoriser un droit à une injection létale ou un suicide assisté pour toute personne majeure, en phase avancée ou terminale d’une affection grave ou incurable lui infligeant une souffrance physique ou psychique qui ne peut être apaisée ou qu’elle juge insupportable.

    Instituer ce droit :
    - c’est exposer les personnes les plus vulnérables, malades ou handicapées, à des dérives incontrôlables au moment où la société s’interroge sur le financement de la dépendance ;
    - c’est compromettre la confiance des malades dans les soignants qui n’ont pas vocation à donner la mort ;
    - c’est exercer à l’encontre des médecins une pression d’une extrême violence que de leur demander ou leur imposer de faire un geste létal contraire à leur éthique sans respecter leur conscience.
    La loi « fin de vie et droit du malade » du 22 avril 2005 condamne l’obstination déraisonnable et offre aux patients en fin de vie la possibilité de terminer leur existence sans souffrance, en bénéficiant des moyens nécessaires au soulagement des douleurs et à l’apaisement des angoisses terminales.

    Ce n’est pas d’une nouvelle loi dont nous avons besoin mais, comme le fait régulièrement le Conseil National de l’Ordre des Médecins, d’expliquer et d’appliquer la loi actuelle , de mieux former les médecins et les soignants, de développer les structures de soins palliatifs.

    On remarque que les médecins « n’ont pas vocation à donner la mort ». Il en résulte que pour l’ordre des médecins, l’avortement ne donne pas la mort…