Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 10

  • La provocation de Notre-Dame transférée

    Les organisateurs de la provocation homosexuelle programmée dimanche devant Notre-Dame de Paris ont décidé de l'organiser place Saint-Michel (sous la statue de l'archange brandissant son épée pour terrasser le dragon...)

    Des « groupes catholiques dits "traditionalistes" ont lancé sur différents sites et blogs des appels à la haine et à la violence à l'encontre des participants du kiss-in au pied de Notre-Dame », écrit l'organisateur, et « la préfecture de police nous a vivement conseillé d'annuler l'événement ».

    Les « appels à la haine et à la violence », c'était ça...

    Preuve est faite qu'une mobilisation sur internet, ça marche...

     

    N.B. e-deo publie la lettre de Bruno Gollnisch au préfet de police de Paris.

  • La vie et la mort des homos

    Alexander McQueen, paraît-il célèbre couturier britannique, homosexuel déclaré, s'est pendu parce qu'il n'a pas supporté la mort de sa mère.

  • L’oxymore du jour

    Le Monde publie une virulente diatribe de Guy Verhofstadt, président groupe libéral au Parlement européen et ancien Premier ministre belge, contre le débat sur l'identité nationale (en France).

    Il en appelle à une France « pays ouvert et solidaire, qui s'est forgé une identité plurielle et universelle ».

  • Ayrault donne 200.000 € à l’UOIF

    La municipalité de Nantes subventionne à hauteur de 200.000 € la « partie culturelle » de la grande mosquée de l'UOIF en construction à Nantes.

    La mosquée (3.100 m2, coupole de 14 mètres, minaret de 17 mètres) « fait partie intégrante du projet de rénovation du quartier de Malakoff », souligne l'architecte.

    (Presse Océan)

  • Les dessous de l’affaire Boffo

    La démission du directeur du journal de l'épiscopat italien, épisode d'une guerre entre « le Vatican » (le cardinal Bertone et l'Osservatore romano) et les épiscopats « non diplomates »...

    A lire chez Sandro Magister.

  • Le Magnificat

    Extrait de l'homélie de Benoît XVI, hier, lors de la messe de la fête de Notre Dame de Lourdes et Journée mondiale du malade.

    Dans la mémoire des apparitions à Lourdes, lieu choisi par Marie pour manifester sa sollicitude maternelle pour les malades, la liturgie fait retentir de façon opportune le Magnificat, le cantique de la Vierge qui exalte les merveilles de Dieu dans l'histoire du salut : les humbles et les indigents, comme tous ceux qui craignent Dieu, font l'expérience de sa miséricorde, qui renverse les destins terrestres et qui démontre ainsi la sainteté du Créateur et Rédempteur. Le Magnificat n'est pas le cantique de ceux auxquels la fortune sourit qui ont toujours « le vent en poupe » ; c'est plutôt l'action de grâce de ceux qui connaissent les drames de la vie, mais qui placent leur confiance dans l'œuvre rédemptrice de Dieu. C'est un chant qui exprime la foi vécue par des générations d'hommes et de femmes qui ont placé leur espérance en Dieu et qui se sont engagés en première personne, comme Marie, pour venir en aide à leurs frères dans le besoin. Dans le Magnificat, nous entendons la voix de nombreux saints et saintes de la charité, je pense en particulier à ceux qui ont passé leur vie parmi les malades et les souffrants, comme Camille de Lellis et Jean de Dieu, Damien de Veuster et Benedetto Menni. Ceux qui demeurent longuement aux côtés des personnes souffrantes, connaissent l'angoisse et les larmes, mais également le miracle de la joie, fruit de l'amour.

  • Les 7 fondateurs des Servites

    La canonisation des sept fondateurs de l'ordre des Servites est semble-t-il unique dans l'histoire de l'Eglise, en tout cas depuis qu'il y a des règles strictes de canonisation. Ils ont en effet été canonisés ensemble, comme un seul homme, ce qui n'avait été jusque-là le cas que pour des martyrs (dont la mort seule suffit à montrer l'héroïcité des vertus).

    Lorsque les servites voulurent obtenir la canonisation de leurs fondateurs, au XVIIIe siècle, et incitèrent les fidèles à demander, aux sept ensemble, des miracles pour faire aboutir la cause, le promoteur de la foi objecta qu'ils n'étaient pas forcément tous saints et qu'il ne convenait pas de demander des miracles attestant d'une sainteté collective. Il y eut une discussion chez les cardinaux, qui se montrèrent divisés. Benoît XIV trancha qu'il fallait en savoir davantage sur l'héroïcité des vertus de chacun d'entre eux.

    Or cela était impossible, car pour la quasi totalité d'entre eux, individuellement, on ne savait quasiment rien en dehors de leurs noms. Le seul dont on sache quelque chose de personnel étant Alexis Falconieri (le seul qui refusa d'être prêtre - il était aussi l'oncle de sainte Julienne Falconieri), mort à l'âge de 110 ans.

    Les servites revinrent à la charge au XIXe siècle, et le dossier fut de nouveau examiné, et rejeté en 1878.

    Mais, en 1884, quatre miracles attribués au groupe furent approuvés. Et le 15 janvier 1888, Léon XIII le canonisait.

  • L’« égalité » entre les hommes et les femmes

    Le Parlement européen a adopté hier une (nouvelle) résolution sur l'« égalité entre les femmes et les hommes au sein de l'Union européenne ».

    On relève que dans le point 36, le Parlement européen
    « insiste sur le fait que les femmes doivent avoir le contrôle de leurs droits sexuels et reproductifs, notamment grâce à un accès aisé à la contraception et à l'avortement; insiste sur le fait que les femmes doivent avoir accès gratuitement à des consultations sur l'avortement; soutient par conséquent, comme dans sa résolution précitée du 3 septembre 2008, les mesures et actions visant à améliorer l'accès des femmes aux services de santé sexuelle et reproductive et à mieux les informer de leurs droits et des services disponibles; invite les États membres et la Commission à mettre en œuvre des mesures et des actions pour sensibiliser les hommes quant à leurs responsabilités sur les questions sexuelles et reproductives ».

    Le texte a été adopté par 381 voix pour, 253 contre, 31 abstentions.

    (Via le blog de Jeanne Smits)

  • « L’artiste » de la famille

    Paul Sarkozy, le père de Nicolas (qu'il avait abandonné quand celui-ci avait 4 ans), a choisi sa ville natale de Budapest pour première étape de sa nouvelle exposition de « peintures », afin de ne pas gêner son fils en France.

    Les « œuvres » de Paul Sarkozy, qui a fait carrière dans la publicité, sont en fait des collages réalisés sur ordinateur et retouchés. Elles sont toutes produites en six exemplaires...

    Parmi ses pièces maîtresses, le portait de Nicolas qu'il lui a offert après son élection à la présidence, et le portrait de Carla qui est un cadeau de mariage.

    A se pâmer...

    Paul Sarko1.jpg
    Paul Sarko2.jpg


    (Pour en savoir plus sur le curieux papa de Nicolas, c'est ici.)