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  • Le préfet de la Congrégation pour la liturgie célèbre la Toussaint selon l’ancien missel

    Lu sur le blog Summorum Pontificum :

    Le cardinal Antonio Cañizares Llovera, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, célèbre ce dimanche 1er  novembre, en la fête de la Toussaint, une Messe solennelle pontificale en l'église Ss. Trinità dei Pelligrini, à 10 h 30.

    Cette église est le siège de la paroisse personnelle que le Saint Père, en qualité d'évêque de Rome, a accordée à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre.

    (Ce n'est certes pas la première fois que le cardinal Cañizares Llovera célèbre la messe de saint Pie V, mais à ma connaissance c'est la première fois depuis qu'il est le chef du dicastère en charge de la liturgie de l'Eglise. C'est donc un événement, dont le sens n'échappera à personne...)

  • Vigile de la Toussaint

    Préparons nos âmes aux grâces que le ciel s'apprête à verser sur la terre, en retour des hommages de celle-ci. Telle  sera demain l'allégresse de l'Eglise, qu'elle semblera déjà se croire en possession de l'éternité. Aujourd'hui pourtant, c'est sous les livrées de la pénitence qu'elle se montre à nos yeux, confessant bien qu'elle n'est qu'une exilée. Avec elle, jeûnons  et prions. Nous aussi, que sommes-nous que des voyageurs, en ce monde où tout passe et se hâte de mourir? D'années en années, la solennité qui va s'ouvrir compte parmi nos compagnons d'autrefois des élus nouveaux qui bénissent nos pleurs et sourient à nos chants d'espérance. D'années en années, le terme se rapproche où nous-mêmes, admis à la fête des cieux, recevrons l'hommage de ceux qui nous suivent, et leur tendrons la main pour les aider à nous rejoindre au pays du bonheur sans fin. Sachons, dès cette heure, affranchir nos âmes; gardons nos cœurs libres, au sein des vaines sollicitudes, des plaisirs faux d'une terre étrangère: il n'est pour l'exilé d'autre souci que celui de son bannissement, d'autre joie que celle où il trouve l'avant-goût de la patrie.

    (L'Année liturgique)

    [La vigile de la Toussaint a été supprimée en 1955, en même temps que celles de l'Épiphanie, de l'Immaculée Conception, et des Apôtres à l'exception de celle des saints Pierre et Paul. Mais elle figure toujours dans le calendrier bénédictin du Barroux. Donc je la garde aussi.]

  • Une messe de saint Pie V à Bayonne

    Mgr Aillet annonce que la messe mensuelle célébrée dans la forme extraordinaire à la chapelle du Braou à Biarritz sera remplacée à partir du 8 novembre par une messe célébrée tous les dimanches et fêtes en la chapelle des Capucins de Bayonne. Dimanche, il célébrera lui-même, en ce jour de la Toussaint, la dernière messe mensuelle du Braou. Il annonce une autre messe à Pau (sans autre précision pour le moment). La lecture de son communiqué laisse apparaître en filigrane que l'application du motu proprio n'est pas facile...

  • La veillée du 7 novembre

    chretiente_solidarite.jpgCommuniqué de Bernard Antony

    A l'occasion du 20e anniversaire de la chute du Mur de Berlin, Chrétienté-Solidarité a tenu à organiser une veillée de prières et de mémoire pour les victimes du communisme. Cette manifestation a également pour objectif de dénoncer les actuelles résurgences mutantes du nihilisme marxiste.

    En cette fin d'octobre 2009, notre rassemblement du 7 novembre prochain, devant l'Assemblée nationale, sera aussi un acte de protestation public du Pays Libre contre le protocole d'accord signé entre l'UMP, parti présidentiel au pouvoir, et le Parti communiste chinois responsable de la mort de plus de 65 millions d'êtres humains (source : Livre Noir du Communisme) et sous le joug duquel des dizaines de milliers de Chinois et de Tibétains sont toujours enfermés dans le système concentrationnaire du laogaï.

    Aussi, nous appelons tous nos compatriotes attachés à la liberté à se joindre à notre manifestation qui se déroulera le samedi 7 novembre de 18 h à 21 h, place du Président Edouard Herriot, Paris 7ème (à côté de l'Assemblée nationale).

  • Les noms de domaines prennent du caractère

    De nouveaux alphabets vont faire leur apparition dans les noms de domaine: l'ICANN, l'autorité de régulation d'Internet, a donné son feu vert vendredi à l'utilisation des caractères hébreux, hindis, coréen, arabes ou encore cyrilliques dans les adresses des sites Web et des courriers électroniques.

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  • La déchristianisation de la mort et le besoin du rituel

    Une dépêche de l'AFP :

    Face au déclin des pratiques religieuses, les Français confrontés à la mort d'un proche ont de plus en plus recours aux cérémonies laïques et à leurs nouveaux rituels, réponse moderne à un besoin anthropologique fondamental.

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  • « Une toute petite partie de l'iceberg »

    Le président du Front national (FN), Jean-Marie Le Pen, a affirmé vendredi que le renvoi de Jacques Chirac devant la justice ne dévoilait qu'une "toute petite partie de l'iceberg".

    "La Chiraquie, c'est un iceberg, dont on ne voit qu'une toute petite partie immergée et dont on ne voit pas l'énorme bloc, qui est toujours caché sous la mer", a-t-il déclaré à l'AFP.

    "Qu'il soit poursuivi pour l'affaire des emplois fictifs de la ville de Paris me semble être une toute petite partie de ce qui aurait pu lui être reproché", a insisté M. Le Pen.

    Soulignant que "ces bras droit avaient déjà payé pour lui héroïquement", le président du FN a estimé qu'"il y a très longtemps que Jacques Chirac aurait du aller en correctionnelle".

    "Il était protégé pendant 12 ans par son immunité présidentielle et depuis par une certaine immunité révérencielle", a-t-il poursuivi. "Il a peut-être cru que ce serait un statut d'immunité permanente".

    "Dans le fond, il a suffi du courage d'une juge d'instruction pour qu'il en soit autrement, mais je pense qu'ils n'ont pas dit leur dernier mot", a ajouté M. Le Pen, selon qui "les requins de la politique ne se mangent pas entre eux et vont essayer sans doute d'échapper aux sanctions légitimes".

  • Matraquage

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    (via François Desouche)

  • CHARLIE HEBDO : un nouveau pic d’ignominie anti-chrétienne !

    Communiqué de l'AGRIF

    Lors du procès en première instance de l'AGRIF contre CHARLIE HEBDO, l'avocat du journal avait plaidé pendant une heure en faisant le catalogue des ignominies que nous n'avions pas poursuivies.

    D'une part, l'AGRIF n'a pas les moyens de tout poursuivre. D'autre part, elle ne veut et ne peut encombrer les tribunaux des provocations de CHARLIE HEBDO qui, pour être blasphématoires, ne tombent pas, même si on peut le déplorer, sous le coup de la jurisprudence. L'AGRIF entend poursuivre en revanche les sommets d'abomination de CHARLIE HEBDO qui sont autant d'incitation à la haine contre les Chrétiens.

    Ainsi, dans sa livraison du 21 octobre 2009, Charlie HEBDO a commis trois dessins agressant odieusement les chrétiens dans leur ensemble sous prétexte d'enquêter sur l'OPUS DEI sur la base d'un mauvais scénario de Dan BROWN.

    Le premier représente en une le Christ, les deux mains martyrisées sur le gibet de la croix, tenant deux valises pleines de billets et déclarant « c'est dur d'être financé par des cons ».

    En page intérieure, un dessin représente la Cène où la consécration du pain et du vin en corps et sang de Jésus-Christ est transformée en distribution de billets de banque avec un sous-titre : « les voies financières de Dieu resteront impénétrables ».

    Enfin, en dernière page, le Christ, reconnaissable à sa couronne d'épines, ouvre largement son slip débordant de billets de banque en déclarant : « le paradis fiscal, c'est ici ».

    Ce n'est pas l'OPUS DEI, prétexte de l'article, qui est attaquée mais Jésus-Christ, présenté trois fois comme le fondateur d'une religion basée sur l'argent. C'est une odieuse provocation à la haine anti-chrétienne que l'AGRIF a chargé l'un de ses avocats de poursuivre.

  • La dérogation tchèque

    Comme prévu, les 26 partenaires de la République tchèque ont accepté la demande d'exemption de la Chart des droits fondamentaux demandée par Vaclav Klaus. Le nom de la République tchèque sera ajouté à ceux du Royaume Uni et de la Pologne, qui avaient déjà obtenu cette dérogation.

    Il s'agit juridiquement d'un "protocole", qui devra être soumis à ratification des pays européens, probablement en étant accolé au traité d'adhésion du prochain pays à rejoindre l'UE, à savoir la Croatie. Lequel traité devient une auberge espagnole, d'autant que la Slovaquie et la Hongrie ont également obtenu une mention les concernant (toujours en rapport avec les décrets Benes, sans le dire) : il sera ajouté que la Charte concerne les Etats membres « seulement quand ils mettent en œuvre le droit de l'Union ».

    Le traité d'adhésion de la Croatie sera donc un traité croato-irlando-tchéco-slovaco-hongrois... Un authentique monstre juridique.