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  • Vox Galliae « en sommeil »

    Les rédacteurs de Vox Galliae annoncent que le blog est « mis en sommeil pour une durée indéterminée ». On ne peut que le regretter, surtout qu’on ne comprend pas bien les raisons invoquées.

  • Une adresse de Jean-Marie Le Pen

    Chers amis,
    Chers camarades,

    Nous venons de mener ensemble une rude bataille. Elle a duré pour nous plus d'un an, au cours duquel nous avons multiplié les meetings, les conférences de presse, les banquets patriotiques, sans parler des multiples actions de terrain de nos cadres et militants.

    Une grande partie de nos efforts a dû être consacrée à la recherche des parrainages, plus difficile cette fois que jamais.

    Nous étions dans l'espoir d'un beau succès, tant fondé sur les sondages que sur l'accueil chaleureux qui nous était réservé par nos compatriotes, dans les réunions, les rues ou les marchés.

    Plus grande a été la déception quand, croyant pouvoir prétendre à concourir pour le second tour, comme en 2002, nous avons été placés en quatrième position, perdant près d'un million de voix sur les 4,8 millions de 2002.

    Comme d'habitude, à l'extérieur, mais même parfois dans nos rangs, venant d'ailleurs toujours, des paresseux et des incapables, terreau habituel de l'aigreur, on a entendu quelques critiques :  « On aurait quitté les fondamentaux du Front », prétendent les uns, qui n'ont sans doute même pas suivi notre campagne, ni à la télévision, ni sur les radios, ni sur notre site www.lepen2007.fr, pourtant fréquenté chaque jour par plus de cent mille internautes. « On a été trop à gauche », affirment certains stratèges en chambre. Pour les autres, « on a été trop à droite » ; bref, les petits coassements habituels de grenouilles.

    Il convient d'être clair. D'abord, le responsable de la campagne c'était moi, Jean-Marie Le Pen, assisté par le pôle stratégique de Marine qui, avec son équipe, s'est dépensée sans compter, et Bruno Gollnisch pour l'exécution, qui avait en outre la responsabilité des élections législatives à venir. Nous avons mené la campagne exactement sur les valeurs, les slogans et le programme du Front national, adapté par les vingt CAP (Comités d'action présidentielle), placés sous la direction de Thibault de La Tocnaye.

    De s porte-paroles de talent nous ont représentés à la télévision et à la radio : Marine, Louis Aliot , Jean-François Touzé, Olivier Martinelli, Jean-Claude Martinez, Thibault de La Tocnaye , Martine Lehideux, Roger Holeindre, Martial Bild, etc.

    Et pourtant, malgré ce que j'estime avoir été une de nos plus belles campagnes, nous n'avons pas atteint le but que nous nous étions fixé. Il faut pour gagner les batailles suivantes étudier les raisons de cet insuccès, relatif et de cette déperdition de voix par rapport à l'élection présidentielle de 2002.
    Dans le même temps, le Parti communiste est tombé au-dessous de 2%, Bové est renvoyé au Larzac avec 1%, les Verts sont réduits en purée, le matamore vendéen récolte 2,2 % la moitié de ce qu'il avait fait en 1995. Son lieutenant, le félon Bompard , n'a pu lui apporter que 5 % à Orange, ville dont il est pourtant maire.

    D'abord, en 2002, nous étions contre deux candidats de gauche, Jospin, le Premier ministre socialiste, et Chirac, l'homme qui avait, en trahissant ses électeurs, fait élire Mitterrand en 1981 et Jospin en 1997.

    En 2007, nous avions en face de nous, deux candidats de droite, très dynamiques, soutenus activement par les médias, se prétendant, comme d'ailleurs, Madame Royal, contestataires du Système que nous n'avons cessé de dénoncer depuis des années.

    Nicolas Sarkozy, fort de moyens considérables et d'une énorme organisation, a réalisé un véritable holdup sur une certaine partie de nos électeurs, en leur faisant croire que, lui, allait pouvoir mettre en œuvre le programme que nous défendons ensemble depuis tant d'années. Et certains l'ont cru, qui d'une part avaient peur d'une victoire de la gauche sur Le Pen au second tour et, de l'autre, avaient oublié les actes de Sarkozy, ministre depuis cinq ans et politicien RPR depuis trente ans.
    Pour les mêmes raisons, certains qui n'aiment pas Sarkozy se sont portés sur l'autre européiste : Bayrou.

    Paradoxalement vainqueurs sur le terrain idéologique, nous avons provisoirement perdu sur le terrain électoral. Il n'est pas besoin d'aller plus loin. Les électeurs français ont été victimes d'une escroquerie. Alors qu'ils contestaient l'actuelle construction européenne, l'immigration, le chômage, l'insécurité, la dette publique etc. ils ont fait confiance à leurs propres ennemis. Ils ne vont par tarder à s'en mordre les doigts.

    C'est pourquoi, nous pouvons garder le grand espoir d'une proche revanche. C'est nous qui avons fait les bonnes analyses, c'est nous qui avons vu juste, c'est nous, et nous seulement, qui avons un programme de salut public, capable de sauver la France et les Français. Alors au travail !

    Dans deux mois, nous pouvons prendre cette revanche aux élections législatives. Nous le devons !
    Je compte sur vous, d'abord pour participer à notre grande fête annuelle du 1er Mai, celle de Jeanne d'Arc et du travail. Je donnerai le mot d'ordre et ouvrirai la campagne législative. La vie commence toujours demain !

    Je serai comme hier, à votre tête, au service de notre Patrie. Vous pouvez compter sur moi. Comme j'ai toujours pu compter sur vous et votre dévouement. Merci du fond du cœur.

    Vive la Vie , Vive la Victoire , Vive la France !

    Jean-Marie Le Pen

     

  • Les catholiques et le second tour

    Le Salon Beige publie une intéressante réflexion (comme d’habitude) sur les catholiques face au second tour de la présidentielle.

    Il me semble toutefois qu’il y manque un aspect, important, des choses. Je l’ai déjà dit avant le premier tour (en m’appuyant, quand même, sur Evangelium Vitae). Je le répète pour le second tour. S’il est bon de prendre en considération les « trois points non négociables » de Benoît XVI, c’est une grave erreur de perspective que d’en faire un absolu.

    Pour qu’il y ait une politique qui fasse droit aux « trois points non négociables », il faut qu’il y ait une autorité politique. Autrement dit qu’il y ait un gouvernement souverain.

    Je n’ai jamais été à proprement parler « maurrassien », mais on a là une illustration précise du « politique d’abord » de Maurras.

    La particularité de ce second tour de la présidentielle est que, pour la première fois dans l’histoire de notre pays, nous avons deux prétendants à la fonction suprême qui sont tous les deux, comme je l’ai montré par leurs réponses au questionnaire d’EuropaNova, partisans de la suppression de toute souveraineté nationale.

    A partir de là, il me semble qu’il ne sert à rien de se demander lequel est le « moins pire ». Si l’un et l’autre entendent abdiquer la souveraineté nationale, au-delà même de ce qu’exigeait la Constitution européenne, en établissant sur tous les sujets la règle de la majorité dans l’Union européenne, c’est qu’il s’agit d’aligner la France sur l’idéologie dominante dans les institutions européennes, dont on sait à quel point elle est extrémiste dans le domaine de la culture de mort.

    Quand on a deux candidats qui abdiquent d’avance leur autorité entre les mains de « l’Europe », je ne vois pas pour ou contre lequel on peut voter. La seule attitude qui ma paraît logique est, pour cette raison-là, qui me paraît primordiale, l’abstention.

  • Islamisation

    A partir de demain 1er mai, l’alcool et les groupes musicaux seront interdits dans les hôtels de moins de cinq étoiles dans le royaume de Bahrein. Depuis les dernières législatives, les islamistes contrôlent 30 des 40 sièges du Parlement de ce petit archipel de la péninsule arabique. L’immense majorité des « touristes » de Bahrein viennent d’Arabie saoudite le week-end. L’économie de Bahrein devrait souffrir considérablement de cette prohibition, d’autant que vient d’être lancé un projet pharaonique de station balnéaire sur une île artificielle. Sur la péninsule, seule Dubai échappe désormais à la loi islamique.

  • Œcuménisme à l’envers

    Depuis samedi l’archidiacre de Canterbury est une femme, Sheila Watson. Elle était déjà archidiacre d’Oxford, mais cela ne lui permettait que de représenter l’évêque anglican d’Oxford dans une partie de son diocèse. Unique archidiacre de Canterbury, elle représente désormais l’archevêque de Canterbury  et présidera les « ordinations » d’« évêques » anglicans dans tous les diocèses où l’enverra le chef de l’Eglise anglicane.

    Dans l’Eglise anglicane, les femmes peuvent accéder au « sacerdoce » depuis 1994, et en 2006 le synode a estimé que l’ordination épiscopale des femmes était « théologiquement justifiée ».

    Il va de soi que l’Eglise anglicane s’éloigne ainsi tant de l’Eglise catholique que des Eglises orthodoxes.

  • Les deux candidats de la fin de la France

    Le lobby frénétiquement européiste EuropaNova a demandé aux deux candidats du second tour s’ils s’engageaient « à tout mettre en œuvre » pour aller plus loin et plus vite dans l’intégration politique européenne. Il leur demandait sept engagements.

    Nicolas Sarkozy a répondu par un courrier bref et clair, Ségolène Royal par une très longue lettre filandreuse enfilant les clichés de sa campagne, à quoi s’ajoutent les réponses spécifiques sur les sept points.

    Nicolas Sarkozy commence par « Chers amis », Ségolène Royal répond à « Monsieur » (Guillaume Klossa, président du collectif EuropaNova).

    Telles sont les différences essentielles entre les deux candidats.

    Tous deux commencent et finissent leur lettre par des éloges dithyrambiques de l’action d’EuropaNova en faveur d’une véritable Europe politique.

    Tous deux répondent positivement aux sept « engagements » que leur soumet EuropaNova, même si c’est de façon plus ou moins floue.

    Le premier peut être souscrit par tout le monde : il s’agit de s’engager à ce que s’ouvre un débat avec nos partenaires sur l’avenir de l’Union européenne.

    Le deuxième est de « donner un président à l’Union européenne, élu à terme au suffrage universel ». Sarkozy et Royal s’engagent sur la « présidence stable », comme dit la défunte Constitution européenne, mais ni l’un ni l’autre ne s’engage sur l’élection au suffrage universel.

    Le troisième est d’« accorder au Parlement européen des pouvoirs législatifs et budgétaires en tous points identiques à ceux exercés par le conseil des ministres ». Autrement dit que le Parlement européen soit un véritable Parlement supranational.  Les deux candidats sont pleinement d’accord.

    Le quatrième est de « supprimer le vote à l’unanimité entre Etats, c’est-à-dire généraliser le vote à la majorité qualifiée ». En termes clairs, cela veut dire que l’on supprime tout ce qui reste de la souveraineté nationale : tout Etat devra impérativement se ranger à la décision prise par la majorité (et l’on sait qu’en réalité cette décision est celle qui a été déjà prise par la Commission européenne). Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy y souscrivent sans réserve. Il est à noter que cela va encore plus loin que ce qui était stipulé dans la Constitution européenne.

    Le cinquième est d’« œuvrer à la mise en place d’une véritable gouvernance économique et sociale de la zone euro, impliquant la mise en place d’un ministre des Finances de la zone euro ».  Les deux candidats  sont d’accord pour supprimer tout ce qui peut rester de souveraineté nationale en matière économique et sociale. Cela aussi va plus loin que la Constitution européenne.

    Le sixième est de créer un « semestre européen » pour les jeunes, afin de leur permettre de séjourner dans un autre pays que le leur. Les deux candidats sont globalement d’accord, avec des modalités spécifiques.

    Le septième est de « donner une valeur juridique contraignante à la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne ». C’est la deuxième partie de la Constitution européenne, et naturellement les deux candidats sont d’accord.

    En résumé, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal vont tous les deux, dans le sens de l’intégration européenne, au-delà de la Constitution qui a été rejetée par le peuple français ; ils sont tous deux favorables à une suppression radicale de la souveraineté nationale, que même les rédacteurs du traité constitutionnel n’avaient pas osé formuler de façon aussi claire.

    C’est une première dans l’histoire de France. Une première absolue. Pour la première fois, les deux candidats à la fonction de chef de l’Etat sont tous deux partisans résolus de la fin de la souveraineté française. Chacun d’eux est partisan de l’abdication de la France. Voter pour l’un ou pour l’autre implique que l’on accepte cette trahison historique de la nation française.

  • Sainte Catherine de Sienne

    Très révérend et très cher Père dans le Christ le doux Jésus, moi, Catherine, la servante et l'esclave des serviteurs de Jésus-Christ, je vous écris dans son précieux sang, avec le désir de vous voir aimer sincèrement la douce vérité. C'est la vérité qui nous délivre, car personne ne peut rien faire contre la vérité; mais cette vérité ne peut s'acquérir parfaitement, si l'homme ne la connaît pas. En ne la connaissant pas, il ne l'aime pas; et en ne l'aimant pas, il ne trouve pas en lui et ne suit pas la vérité. Ainsi donc, nous avons besoin de la lumière de la très sainte Foi ; cette lumière est la pupille de l’œil de l'intelligence, avec lequel, lorsqu'il est éclairé par la sainte Foi, l'âme connaît la douce vérité de Dieu, voyant que Dieu ne veut véritablement autre chose que notre sanctification. Tout ce qu'il nous donne, ou tout ce qu'il permet en cette vie, n'a d'autre but que de nous sanctifier en lui. C'est ce qui prouve que Dieu ne veut pas autre chose de nous, qu'il nous a créés à son image et ressemblance pour que nous jouissions de lui et que nous participions à son bonheur éternel. C'est le sang de son Fils unique, répandu avec un si ardent amour ; c'est ce sang qui nous a fait renaître à la grâce ; car si Dieu n'avait pas vu et voulu notre bien, il ne nous aurait pas donné un semblable Rédempteur.

    C'est donc dans ce sang que nous connaissons la vérité à la lumière de la très sainte Foi, qui éclaire l’œil de l'intelligence. Alors l'âme s'embrase et se nourrit dans l'amour de cette vérité; et par amour de la vérité, elle préférerait la mort à l'oubli de la vérité. Elle ne tait pas la vérité quand il est temps de parler, car elle ne craint pas les hommes du monde ; elle ne craint pas de perdre la vie, puisqu'elle est disposée à la donner par amour de la vérité. Elle craint Dieu seul. La vérité reprend hautement, parce que la vérité a pour compagne la sainte justice, qui est une perle précieuse qui doit briller en toute créature raisonnable, mais surtout dans un prélat. La vérité se tait quand il est temps de se taire ; et en se taisant, elle crie par la patience, car elle n'ignore pas, mais elle discerne et elle connaît où se trouve plus l'honneur de Dieu et le salut des âmes. O très cher Père, passionnez-vous pour cette vérité, afin que vous soyez une colonne dans le corps mystique de la sainte Eglise, où il faut répandre la vérité ; car la vérité est en elle, et parce qu'elle est en elle, elle veut qu'elle soit administrée par des personnes qui en sont passionnées et éclairées, et non par des ignorants qui sont séparés de la vérité.

    (sainte Catherine de Sienne, lettre au cardinal Pierre de Lune, octobre 1377)

  • 3e dimanche après Pâques (Jubilate)

    Il dit donc « Encore un peu de temps et vous ne me verrez plus ». Et il le dit à ceux qui le voyaient corporellement, parce qu'il devait aller au Père, et qu'ils ne le verraient plus comme homme mortel, et tel qu'il était lorsqu'il leur disait ces choses. Quant à ce qu'il ajoute : « Et encore un peu de temps, et vous me verrez », c'est à toute l'Eglise qu'il le promet; comme c'est à toute l'Eglise qu'il a fait cette autre promesse : « Voici que je suis avec vous jusqu'à la consommation des siècles ». Le Seigneur ne retardera pas l'accomplissement de sa promesse : encore un peu de temps, et nous le verrons, mais dans un état où nous n'aurons pas à le prier ni à l'interroger, parce qu'il ne nous restera rien à désirer ni rien de caché à apprendre. Ce peu de temps nous paraît long, parce qu'il n'est pas encore passé ; mais quand il sera fini, nous comprendrons combien il était court. Que notre joie ne ressemble donc pas à celle du monde dont il est dit : « Mais le monde se réjouira » ; et néanmoins, pendant l'enfantement du désir de l'éternité, que notre tristesse ne soit pas sans joie ; car, dit l'Apôtre : « Joyeux en espérance, patients en tribulations ». En effet, la femme qui enfante, et à laquelle nous avons été comparés, ressent plus de joie à mettre au monde un enfant, qu'elle ne ressent de tristesse à souffrir sa douleur présente.

    (saint Augustin, traité 101 sur l’évangile de saint Jean)

  • Amsterdam : les découvertes d’un travailliste

    « Une école primaire d’Amsterdam-Nord a décidé de ne plus enseigner la vie à la ferme. Plusieurs élèves ont commencé à démolir la salle de classe quand on a parlé du cochon. Apparemment c’est allé aussi loin que cela. Ces enfants, de 9 et 10 ans, n’ont pas reçu chez eux les règles les plus élémentaires leur permettant de savoir pourquoi ils doivent aller à l’école. »

    L’homme qui écrit ceci dans le journal De Volkskrant n’est pas un agitateur d’extrême droite islamophobe. C’est Lodewijk Asscher, qui est conseiller municipal travailliste, et le chef du parti travailliste à Amsterdam.

    Choqué par ce qu’il découvre, il veut lancer un sévère avertissement aux parents islamistes, avec menace de suppression d’allocations. Cela même qui a été récemment rejeté au Parlement par le ministre de la Famille. Il est vrai que la demande émanait alors du « xénophobe » Parti de la Liberté.

    Le travailliste Lodewijk Asscher veut aussi tailler dans forêt de subventions municipales dont bénéficient toutes sortes de « fondations » et d’organisations travaillant pour le « multiculturalisme », dont le total s’élève à 160 millions d’euros par an.

    Il faut vérifier ce qu’elles font, dit Ascher, qui donne l’exemple suivant : « Un Marocain a retiré de la rue 50 jeunes qui étaient une énorme nuisance. Maintenant ils collectent des chaises roulantes pour les handicapés au Surinam, au Maroc et en Turquie. Tout à coup on lui a adjoint une association d’assistance sociale, qui essaie maintenant de lui prendre les jeunes, parce que cet organisme toucherait alors entre 4.000 et 6.000 euros par jeune. Ils sont incapables de retirer ces jeunes de la rue, et maintenant ils les veulent sur leur carnet d’adresses à cause des subventions. Notre Marocain ne veut plus faire ce qu’il a fait. Je le comprends. »

    Le conseiller municipal se dit aussi choqué par l’impuissance des associations d’assistance sociale censées tenter de ramener les jeunes délinquants dans le droit chemin. Il a découvert que dans un district d’Amsterdam une mère de dix enfants, dont la moitié sont « connus des services de police » pour des affaires criminelles, est conseillée par 35 travailleurs sociaux, et chacun d’eux n’a aucune idée de ce que fait l’autre…