Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo :
« Nous devons frapper à ces portes, et nous devons convaincre les gens, les mettre dans des voitures et les emmener et leur mettre le vaccin dans le bras. C’est notre mission. »
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Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo :
« Nous devons frapper à ces portes, et nous devons convaincre les gens, les mettre dans des voitures et les emmener et leur mettre le vaccin dans le bras. C’est notre mission. »
Suite à la visite de six députés démocrates testés positifs au covid après avoir rencontré la vice-présidente à la Maison Blanche (alors qu’en théorie les 2.000 employés sont vaccinés), Jen Psaki, porte-parole de la Maison Blanche, déclarait le 21 juillet :
« En raison de notre engagement pour la transparence, ce que nous allons fournir, à l'avenir, ce seront des mises à jour concernant tout employé de la Maison Blanche testé positif au COVID-19 que l'unité médicale de la Maison Blanche considère comme ayant eu des contacts étroits avec le président, la vice-présidente, la première dame ou le deuxième monsieur » (sic).
Mais, dès le lendemain Jen Psaki faisait savoir, selon Business Insider, que la Maison Blanche ne donnerait pas le nombre de cas, parce que quelques cas sont « statistiquement » inévitables parmi 2.000 personnes et que « la grande majorité des cas de Covid post-vaccination ont des symptômes légers ou inexistants »…
« Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas. »
Emmanuel Macron dans toute la presse régionale, le 29 avril 2021.
Mgr Li Hui est désormais évêque coadjuteur de Pingliang (Gansu). La consécration épiscopale a eu lieu hier. Elle a été présidée par le président de la soi-disant Conférence des évêques de Chine et le vice-président de l’Association patriotique des catholiques de Chine, à savoir les deux courroies de transmission du parti communiste chinois représentant l’Eglise catholique officielle de la Chine communiste.
Le vice-secrétaire général de la Conférence des évêques de Chine a lu solennellement la lettre d’approbation du nouvel évêque par le régime communiste chinois.
La consécration de Mgr Li Hui, nous dit-on, est en phase avec l’accord conclu entre le Vatican et le régime communiste chinois. C’est même officiellement la cinquième consécration épiscopale réalisée conformément à ce document.
Rien n’indiquait hier à Pingliang qu’il en fût ainsi. Mais le bureau de presse du Saint-Siège a fait savoir que le pape avait nommé Mgr Li Hui évêque coadjuteur de Pingliang le 11 janvier dernier. Donc tout va bien…
Euh… pas tout à fait.
Parce que, le même jour, le P. Joseph Liu, du diocèse de Mindong (Fujian), qui a le malheur de vouloir rester catholique, a été arrêté par la police en raison de son refus persistant de faire partie de l’Eglise officielle (l’Association patriotique). Après dix heures de torture, six policiers l’ont obligé à signer en lui tenant la main.
Le bureau de presse du Saint-Siège n’en parle pas. Après tout, le P. Joseph Liu n’a qu’à obéir au Saint-Père et se faire communiste comme les autres.
(...) Si nous voulons pénétrer plus avant le mystère des deux sœurs, observons que, bien que Marie soit la préférée, ce n’est pourtant point dans sa maison, ni dans celle de Lazare leur frère, mais dans la maison de Marthe, que l’Homme-Dieu nous est montré faisant séjour ici-bas avec ceux qu’il aime. Jésus, dit saint Jean, aimait Marthe, et sa sœur Marie, et Lazare : Lazare, figure des pénitents que sa miséricordieuse toute-puissance appelle chaque jour de la mort du péché à la vie divine ; Marie, s’adonnant dès ce monde aux mœurs de l’éternité ; Marthe enfin, nommée ici la première comme l’aînée de son frère et de sa sœur, la première en date mystiquement selon ce que disait saint Grégoire, mais aussi comme celle de qui l’un et l’autre dépendent en cette demeure dont l’administration est remise à ses soins. Qui ne reconnaîtrait là le type parfait de l’Église, où, dans le dévouement d’un fraternel amour sous l’œil du Père qui est aux cieux, le ministère actif tient la préséance de gouvernement sur tous ceux que la grâce amène à Jésus ? Qui ne comprendrait aussi les préférences du Fils de Dieu pour cette maison bénie ? L’hospitalité qu’il y recevait, toute dévouée qu’elle fût, le reposait moins de sa route laborieuse que la vue si achevée déjà des traits de cette Église qui l’avait attiré du ciel en terre.
Marthe par avance avait donc compris que quiconque a la primauté doit être le serviteur : comme le Fils de l’homme est venu non pour être servi, mais pour servir ; comme plus tard le Vicaire de Jésus, le prince des prélats de la sainte Église, s’appellera Serviteur des serviteurs de Dieu. Mais en servant Jésus, comme elle servait avec lui et pour lui son frère et sa sœur, qui pourrait douter que plus que personne elle entrait en part des promesses de cet Homme-Dieu, lorsqu’il disait : « Qui me sert me suit ; et où je serai, là aussi sera mon serviteur ; et mon Père l’honorera ». Et cette règle si belle de l’hospitalité antique, qui créait entre l’hôte et l’étranger admis une fois à son foyer des liens égaux à ceux du sang, croyons-nous que dans la circonstance l’Emmanuel ait pu n’en pas tenir compte, lorsqu’au contraire son Évangéliste nous dit qu’« à tous ceux qui le reçurent il a donné le pouvoir d’être faits enfants de Dieu ». C’est qu’en effet « quiconque le reçoit, déclare-t-il lui-même, ne reçoit pas lui seulement, mais le Père qui l’envoie ».
La paix promise à toute maison qui se montrerait digne de recevoir les envoyés du ciel, la paix qui ne va point sans l’Esprit d’adoption des enfants, s’était reposée sur Marthe avec une incomparable abondance. L’exubérance trop humaine qui d’abord s’était laissée voir dans sa sollicitude empressée, avait été pour l’Homme-Dieu l’occasion de montrer sa divine jalousie pour la perfection de cette âme si dévouée et si pure. Au contact sacré, la vive nature de l’hôtesse du Roi pacifique dépouilla ce qu’il lui restait de fébrile inquiétude ; et servante plus active que jamais, plus agréée qu’aucune autre, elle puisa dans sa foi ardente au Christ Fils du Dieu vivant l’intelligence de l’unique nécessaire et de la meilleure part qui devait un jour être aussi la sienne. Oh ! quel maître de la vie spirituelle, quel modèle ici Jésus n’est-il pas de discrète fermeté, de patiente douceur, de sagesse du ciel dans la conduite des âmes aux sommets !
Jusqu’à la fin de sa carrière mortelle, selon le conseil de stabilité que lui-même il donnait aux siens, l’Homme-Dieu resta fidèle à l’hospitalité de Béthanie : c’est de là qu’il partit pour sauver le monde en sa douloureuse Passion ; c’est de Béthanie encore que, quittant le monde, il voulut remonter dans les cieux. Alors cette demeure, paradis de la terre, qui avait abrité Dieu, la divine Mère, le collège entier des Apôtres, parut bien vide à ceux qui l’habitaient. L’Église tout à l’heure nous dira par quelles voies, toutes d’amour pour nous Gentils, l’Esprit de la Pentecôte transporta dans la terre des Gaules la famille bénie des amis de l’Homme-Dieu.
Sur les rives du Rhône, Marthe restée la même apparut comme une mère, compatissant à toutes misères, s’épuisant en bienfaits. Jamais sans pauvres, dit l’ancien historien des deux sœurs, elle les nourrissait avec une tendre sollicitude des mets que le ciel fournissait abondamment à sa charité, n’oubliant qu’elle-même, ne se réservant que des herbes ; et en mémoire du glorieux passé, comme elle avait servi le Chef de l’Église en sa propre personne, elle le servait maintenant dans ses membres, toujours aimable pour tous, affable à chacun. Cependant les pratiques d’une effrayante pénitence étaient ses délices. Mille fois martyre, de toutes les puissances de son âme Marthe la très sainte aspirait aux cieux. Son esprit, perdu en Dieu, s’absorbait dans la prière et y passait les nuits. Infatigablement prosternée, elle adorait régnant au ciel Celui qu’elle avait vu sans gloire en sa maison. Souvent aussi elle parcourait les villes et les bourgs, annonçant aux peuples le Christ Sauveur.
Avignon et d’autres villes de la province Viennoise l’eurent pour apôtre. Tarascon fut par elle délivré de l’ancien serpent, qui sous une forme monstrueuse perdait les corps comme au dedans il tyrannisait les âmes. Ce fut là qu’au milieu d’une communauté de vierges qu’elle avait fondée, elle entendit le Seigneur l’appeler en retour de son hospitalité d’autrefois à celle des cieux. C’est là qu’aujourd’hui encore elle repose, protégeant son peuple de Provence, accueillant en souvenir de Jésus l’étranger. La paix des bienheureux qui respire en sa noble image, pénètre le pèlerin admis à baiser ses pieds apostoliques ; et en remontant les degrés de la crypte sacrée pour reprendre sa route dans cette vallée d’exil, il garde, comme un parfum de la patrie, le souvenir de l’unique et touchante épitaphe : SOLLICITA NON TURBATUR ; zélée toujours, elle n’est plus troublée.
La Cour administrative suprême de la République tchèque a jugé hier que la mesure gouvernementale obligeant les personnes à porter un masque dans les espaces intérieurs n’était pas justifiée.
La Cour a donné trois jours au gouvernement pour donner une justification suffisante, faute de quoi l’obligation sera automatiquement annulée.
La Cour souligne que le ministère de la Santé a jusqu’ici « systématiquement ignoré » les décisions de la Cour et provoqué ainsi une « insécurité juridique », qui a conduit à multiplier des litiges inutiles, coûteux, qui encombrent les tribunaux.
La Cour suprême des Etats-Unis a décidé en mai dernier qu’elle allait examiner la constitutionnalité de la loi du Mississippi interdisant l’avortement après 15 semaines. Loi votée en 2019 et signée par le gouverneur, mais annulée par la justice en première instance puis en appel, au motif qu’elle « briserait une ligne continue depuis l’arrêt Roe contre Wade » de 1973 qui impose à tous les Etats un « droit » à l’avortement jusqu’à la viabilité du fœtus.
Le 22 juillet, le procureur général du Mississippi, au nom de l’Etat du Mississippi, a fait parvenir son mémoire à la Cour suprême. Il y demande explicitement et ouvertement (ce qui a rendu enragés les militants de la culture de mort) l’annulation de l’arrêt Roe contre Wade, et de l’arrêt Casey de 1992 qui a ouvert la voie à quelques règlementations tout en réaffirmant le « droit » à l’avortement.
Le texte fait valoir que l’arrêt de 1973 a rompu avec la jurisprudence antérieure et a invoqué un « droit général à la vie privée » qui n’a aucun lien avec la Constitution. Même des juristes favorables à l’avortement en conviennent. Et le mémoire cite bien sûr Ruth Bader Ginsburg (icône de la culture de mort), qui avait qualifié l’arrêt Roe contre Wade d’« intervention judiciaire difficile à justifier » qui « semble avoir provoqué, et non résolu, le conflit ». (Revoir à ce sujet cet article.)
Et l’on apprend que, lundi, trois sénateurs ont envoyé à la Cour suprême un « amicus brief » (un mémoire d’ami de la Cour) en soutien de celui du Mississippi. Il s’agit de Ted Cruz (Texas), John Howley (Missouri) et Mike Lee (Utah). Ils soulignent que la jurisprudence n’est pas un absolu, surtout « quand la décision d’origine « est manifestement erronée »… Et ils insistent sur l’arrêt de 1992, qui a instauré le critère de la « charge indue » (telle loi limitant l’avortement crée une charge indue pour la femme qui ne veut pas garder son enfant) qui est généralement invoqué par les juges. Ce critère, remarquent-ils, n’a aucun fondement dans la Constitution, ni même dans la jurisprudence de la Cour suprême. En conclusion, ce critère, et « ce qui reste de Roe doivent être annulés, et la question de la législation sur l’avortement doit être renvoyée aux institutions politiques et au peuple ».
(Je préviens mes lecteurs à visière, œillères et réflexes pavloviens que je supprimerai tout commentaire disant que ces sénateurs sont des pourris parce que l'avortement ne doit pas être soumis au vote. Ce serait évidemment hors sujet. Et hors contexte.)
Cardinal Schuster Liber Sacramentorum, tome 7.
Paolo Versone, Le rôle de Milan dans l’architecture chrétienne (1952).
Δόξα Πατρὶ καὶ Υἱῷ καὶ Ἁγίῳ Πνεύματι.
Ἐξέλαμψε σήμερον, ἡ σεβάσμιος μνήμη τοῦ Ἀναργύρου, τοὺς πιστοὺς συγκαλοῦσα πρὸς εὐωχίαν μυστικήν, καὶ πρὸς πανήγυριν ἑόρτιον ἄγουσα, τῶν φιλεόρτων τὰ συστήματα, Ἐπέστη γὰρ ἡμῖν θαυματουργὸς ἰατρός, τὰς νόσους πάντων ἰώμενος, Παντελεήμων ὁ στερρὸς ἀθλητής, καὶ πρεσβεύει ἐκτενῶς τῷ Κυρίῳ, εἰς τὸ σωθῆναι τὰς ψυχάς ἡμῶν.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit.
En ce jour a brillé la vénérable mémoire de l'Anargyre, convoquant les fidèles à son banquet mystique et menant tous les amis de la fête à sa célébration festive ; car voici l'admirable médecin guérissant toute maladie, le vaillant martyr Pantéléïmon, qui prie sans cesse le Seigneur pour le salut de nos âmes.
Doxastikon des vêpres de saint Pantéléimon, texte de l’hymnographe Byzantios (IXe siècle), mélodie de Pierre le Péloponnésien, mort en 1778 à Constantinople. Chanté par l’archimandrite Spyridon Skordilis, déjà entendu notamment hier…
Euractiv titre sur le fait que « l’ambassade de Pologne n’a pas signé la lettre de soutien à la marche des fiertés de Budapest » et explique :
« L’absence de signature de la Pologne reflète les événements du mois dernier, lorsque le Premier ministre Mateusz Morawiecki a été presque seul à défendre Viktor Orban lors d’un conseil européen. »
"Presque seul"… En fait ce sont sept pays de l’UE qui n’ont pas signé, et qui ont donc ainsi manifesté courageusement leur soutien au gouvernement hongrois.
La liste est évidemment sans surprise : ce sont les pays qui sont de l’autre côté, du bon côté cette fois, du nouveau mur de la honte édifié par ceux qui font régner leur dictature idéologique (ce n’est pas moi qui l’ai trouvé, mais je ne sais plus qui c’est : Orban lui-même ?) : Bulgarie, Croatie, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Tchéquie. Il est très regrettable que les pays Baltes soient du mauvais côté.
Cela dit, si en effet 30 pays ont manifesté leur soutien aux manifestants LGBTQI+ de Budapest, et donc leur hostilité au gouvernement hongrois, ce ne sont que 30 pays, dont 20 de l’UE. (Les seuls qui ne soient pas du continent européen sont les Etats-Unis du Bidon, le Canada, l’Australie, La Nouvelle-Zélande, l’Argentine, le Chili, et Israël.)