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Le P. James Martin S.J. publie sur le site d’Outreach (« An LGBTQ Catholic Resource »), un article expliquant cette image :
Le P. William Hart McNichols est à la fois prêtre catholique et l'un des iconographes les plus renommés au monde. (…) Le père Bill, comme l'appellent ses amis, était l'un des trois orateurs principaux de la conférence Outreach de cette année à l'université de Georgetown, au cours de laquelle il a partagé son parcours de prêtre catholique et d'artiste. En préparation de la conférence Outreach, nous avons demandé au Père Bill s'il accepterait de créer une nouvelle image pour nous. (…)
« Elle représente le pape François embrassant dans la prière les pieds de Jésus-Christ, qui apparaît après la résurrection, portant ses blessures, entouré de deux couples de même sexe qui s'embrassent. Le Christ ressuscité est vêtu simplement, d'un sweat-shirt et d'un jean. (…)
Et, bien sûr, l'action de François en faveur de la communauté LGBTQ est bien connue. Plus récemment, il a envoyé ses vœux à la conférence Outreach 2024, promettant qu'il était « uni dans la prière » avec les participants.
Nous sommes ravis de partager cette nouvelle image magnifique, ainsi que les réflexions du père Bill ci-dessous. (…)
Insensible aux objurgations des lobbies et du Conseil de l’Europe, à tous les militants de la pourriture qui exigeaient qu’il oppose son veto, le président bulgare Roumen Radev a signé et promulgué la loi qui interdit la propagande LGBT dans les écoles.
Euractiv s’étrangle :
En vertu de la nouvelle loi, tout programme éducatif dans les écoles traitant de « l’orientation sexuelle non traditionnelle » sera qualifié de « propagande ».
Et le site européiste rappelle « la pétition signée par plus de 6.000 personnes » (sic), les réactions du Conseil de l’Europe, et même de l’ONU qui rappelle les « obligations internationales du pays en matière de droits humains »… dont le droit d’agresser les enfants avec une idéologie anti-humaine ?
Le 13 juillet, la commissaire européenne à l’Égalité, Helena Dalli, avait annoncé qu’elle ouvrirait une enquête pour déterminer si cette loi anti-LGBTI est contraire au droit européen. La Bulgarie a jusqu’à la fin du mois d’août pour s’expliquer, avant des menaces de sanctions contre un pays qui ne respecte pas les « droits fondamentaux inscrits dans la Charte des droits fondamentaux de l’UE ». Mais nulle part il n’est dit dans cette charte que les écoles doivent inciter les enfants à avoir des rapports sexuels avec des enfants de même sexe ou à « changer de genre ».
La Commission européenne est furieuse : elle avait donné jusqu’au 19 août au gouvernement hongrois pour qu’il s’explique sur le scandaleux assouplissement des conditions d’entrée des Russes et des Biélorusses dans le pays pour y travailler (il accorde aux « travailleurs invités » un séjour de deux ans, renouvelable pour trois années supplémentaires). D’autant plus scandaleux que la Hongrie préside actuellement l’UE. Et il n’y a pas de réponse.
La Commission est obligée toutefois de reconnaître que cette politique relève exclusivement des Etats membres, et non de Bruxelles. Mais quand même, on parle ici d’un Etat agresseur, de l’ennemi qui menace toute l’Europe, et on ne peut pas décemment laisser entrer des gens qui seront forcément des espions à la solde de Poutine.
En outre, huit pays nordiques (le Danemark, l’Estonie, la Finlande, l’Islande, la Lettonie, la Lituanie, la Norvège et la Suède) ont écrit à Bruxelles le 15 août :
« Indépendamment du fait qu’elle relève de la compétence nationale ou de l’Union, nous sommes inquiets que cette décision puisse constituer un risque sérieux pour la sécurité de tous les États membres. La réponse de la Hongrie, votre analyse et les prochaines étapes seront de la plus haute importance pour garantir notre sécurité nationale. »
Budapest a aussitôt répondu à cette lettre par la voix du ministre des Affaires étrangères, Peter Szijjártó :
« L’inclusion des citoyens russes et biélorusses dans le programme de la carte nationale ne pose aucun risque de sécurité du point de vue de l’espace Schengen, puisque ces personnes doivent toujours se soumettre à un contrôle complet pour entrer et séjourner en Hongrie. Toutes les affirmations contraires de nos collègues d’Europe du Nord et des pays baltes, qui sont aveuglés par leur adhésion au camp des partisans de la guerre, ne sont que des mensonges. »
Le site de campagne de Kamala Harris appelle les militants et sympathisants à postuler pour toutes sortes d’emplois très divers et très variés.
Ils ont un seul point commun, indiqué in fine : « tous les employés doivent être à jour de leur statut vaccinal COVID-19, tel que prescrit par le CDC »
En fait le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) « recommande » actuellement les « vaccins COVID-19 mis à jour en 2023-2024 - Pfizer-BioNTech, Moderna ou Novavax » pour « se protéger » contre une « maladie grave due au virus COVID-19 ». Ce n’est pas une obligation. Mais si l'on veut travailler pour Kamala, c'en est une.
Le cardinal Blase Cupich, archevêque de Chicago, a prononcé une prière pour la paix et pour l’unité lors de la soirée d’ouverture de la Convention démocrate qui se déroule dans sa ville.
Quelqu’un a commenté sur X qu’il y avait une banderole pour la liberté de l’avortement à une vingtaine de mètres de la tribune.
Mgr Strickland, ancien évêque de Tyler au Texas viré par François, a repris cette information et a commenté :
"Nous n’aurons la paix que si nous retournons à Dieu et respectons la vie. La présence du cardinal est une occasion ratée d’appeler le parti démocrate à sortir de l’abîme."
François a reçu en audience privée la militante LGBT ougandaise Clare Byarugaba, responsable « diversité, équité, inclusion » dans le groupe de défense des « libertés civiles » Chapter Four Uganda. Elle a parlé au pape de « l'impact désastreux des deux lois anti-LGBTIQ en dix ans et des violations flagrantes des droits de l'homme qu'elles entraînent » dans son pays. Le pape lui a dit que « la discrimination est un péché et que la violence contre les communautés LGBTIQ est inacceptable ».
Etait présent également Ebenezer Peegah, militant LGBT et directeur de Rightify Ghana. Il a déclaré ensuite : « Je lui ai dit que j'étais entré dans l'Église catholique quand j'étais jeune et que nous priions toujours pour le pape. Je me suis toujours demandé si le pape prierait pour moi en tant que personne homosexuelle. Mais ses déclarations progressistes m'ont apporté de l'espoir. Je l'ai donc remercié. » Puis Rightify Ghana a publié ce message : « Le pape François nous a encouragés en disant “continuez à nous battre pour vos droits”, et c'est exactement ce que nous ferons. »
C’est fait. L’Ukraine est officiellement une dictature antichrétienne. Son Parlement vient de voter en seconde lecture, par 265 voix contre 29 et 4 abstentions, la loi désormais intitulée « Sur la protection de l'ordre constitutionnel dans la sphère d'activité des organisations religieuses », qui interdit l’Eglise orthodoxe ukrainienne, la plus importante organisation religieuse du pays.
La loi entrera en vigueur 30 jours après sa signature par le soi-disant président Zelensky. Toutefois, par pure bonté du législateur, elle accorde un délai de 9 mois aux paroisses et monastères de l’Eglise orthodoxe ukrainienne pour disparaître.
C'est le délai laissé à la Russie pour gagner la guerre et faire annuler cette ignominie.
Addenda
Commentaire du métropolite Clément, président du département synodal d'information et d'éducation de l'Église orthodoxe ukrainienne :
« Le meilleur commentaire sur cette décision du Parlement a été fourni par le département juridique du Parlement, qui élabore des analyses détaillées de tous les projets de loi. Ainsi, les juristes du Parlement lui-même affirment que le texte de la loi qui vient d'être adoptée n'est pas conforme à plusieurs articles fondamentaux de la Constitution ukrainienne et à un certain nombre de principes que l'Ukraine a ratifiés dans des traités internationaux en tant qu'État démocratique. Il s'agit là de l'aspect juridique de la loi. Mais il y a aussi un aspect moral. Si des millions de citoyens ukrainiens croyants avaient su que le parlement actuel allait interdire les églises, il est évident qu'ils auraient choisi une composition complètement différente lors des élections. »
Réaction de Maria Zakharova sur la chaîne de télévision Zvesda :
« Il s'agit d'une éradication. L'objectif est d'éradiquer le vrai christianisme orthodoxe canonique, et de le remplacer par une fausse Église, qui ne peut être comprise que sous cet angle, pour établir une Église pseudo-orthodoxe. Il ne s'agit pas d'une église schismatique, ni d'une église dissidente, mais d'une fausse pseudo-église qui utilise des rituels apparemment similaires, qui s'empare de monastères et de reliques et prétend les utiliser selon les coutumes orthodoxes, alors qu'elle les bafoue. C'est pourquoi nous devons parler de l'éradication du christianisme orthodoxe en Ukraine. Honneur aux résidents ukrainiens de toutes nationalités qui préservent le véritable christianisme orthodoxe en Ukraine, au prix de leur vie, tout en étant pleinement conscients de l'importance de l'enjeu. »
Maria Zakharova sur sa page Telegram :
L'interdiction de l'Église orthodoxe ukrainienne est un coup honteux porté à la tradition historique du peuple !
L'effondrement de l'Ukraine, que nous aimions et que nous avons toujours considérée comme fraternelle, se poursuit. Dieu sera leur juge sévère !
Bernardus Doctor inclytus, Caelos conscendit hodie, Quem attraxit divinitus Splendor paternae gloriae.
Bernard l’illustre docteur monte aujourd’hui aux cieux, lui que la splendeur de la gloire du Père attire divinement.
Exsultet caelum laudibus De Bernardi consortio, Quem conjungis caelestibus, Jesu, nostra redemptio.
Que le ciel exulte en louanges pour la compagnie de Bernard, lui que Jésus notre rédemption tu joins aux habitants du ciel.
Rufum dorso per catulum Praefigurasti puerum Fore Doctorem sedulum, Conditor alme siderum.
Par un petit chien au dos rouge tu as figuré par avance que l’enfant serait un zélé docteur, ô sacré créateur des astres.
Nascentis ei claruit Clara Christi nativitas, Hoc a te donum habuit, O lux, beata Trinitas.
La glorieuse nativité du Christ naissant brilla pour lui, il reçut ce don de toi, ô lumière, Trinité bienheureuse.
Arcana sacrae paginae Declarat, et mysterium Quod effecit in Virgine Deus, creator omnium.
Il dévoile les arcanes des pages sacrées, et le mystère que Dieu, le créateur de toute chose, a réalisé dans la Vierge.
Rore perfusum gratiae Monstrat dulcor eloquii; Per te fons sapientiae, Summi largitor praemii.
La douce saveur de sa parole montre qu’il est baigné de la rosée de la grâce, par toi, source de la sagesse, qui accordes les récompenses suprêmes.
Detentos a daemonibus Sanat, morbos languentium Curat, confert doloribus Magnum salutis gaudium.
Il guérit ceux qui sont tenus par les démons, il soigne ceux qui souffrent de maladies, il apporte à leurs douleurs la grande joie du salut.
Vita vivit feliciter Cum Maria Christifera Cum qua degustat dulciter Aeterna Christi munera.
Il vit dans le bonheur de la Vie avec Marie porteuse du Christ, avec laquelle il déguste la douceur des dons éternels du Christ.
Summae Deus potentiae, Tibi sit laus et gloria: Da post cursum miseriae Beata nobis gaudia. Amen.
Dieu de la puissance suprême, à toi soit la louange et la gloire, donne-nous les joies bienheureuses après le cours de cette vie de misère.
Cette hymne des vêpres de la fête de saint Bernard, dans le bréviaire cistercien, existait dès le XIIIe siècle.
On remarque :
- qu’elle est en acrostiche : les premières lettres de chaque strophe donnent BERNARDUS.
- que chaque strophe se termine par le premier vers d’une hymne du bréviaire : Splendor paternae gloriae est le premier vers de l’hymne des laudes du lundi (le dimanche dans le bréviaire cistercien). Jesu, nostra redemptio est le premier vers de l’hymne des vêpres de l’Ascension. Conditor alme siderum est le premier vers de l’hymne des vêpres de l’Avent. O lux, beata Trinitas est le premier vers de l’hymne des vêpres du samedi. Deus, creator omnium est le premier vers de l’hymne des vêpres du dimanche. Summi largitor praemii est le premier vers d’une hymne cistercienne des matines du carême. Magnum salutis Gaudium est le premier vers d’une hymne pour la procession des Rameaux. Aeterna Christi munera est le premier vers de l’hymne des matines des fêtes des apôtres. Beata nobis gaudia est le premier vers de l’hymne des laudes de la Pentecôte.
La troisième strophe fait allusion au songe de la mère de saint Bernard enceinte : elle se vit accoucher d’un chien blanc avec des poils rouges sur le dos. C’était une prophétie que son fils serait un confesseur et un docteur, selon l’explication que fait saint Grégoire le Grand de l’épisode des chiens léchant les plaies du pauvre Lazare : « Il n’est pas rare que dans la Sainte Ecriture les chiens désignent les prédicateurs. La langue des chiens guérit en effet les blessures en les léchant, et les saints docteurs aussi, quand ils nous enseignent lorsque nous leur confessons nos péchés, touchent en quelque sorte les plaies de notre âme avec leur langue. Et puisqu’ils nous arrachent à nos péchés par leurs paroles, c’est comme s’ils nous rendaient la santé en touchant nos blessures. »
La strophe suivante fait allusion à Bernard enfant qui s’endormit en attendant la messe de minuit et eut la vision de l’Enfant Jésus naissant, épisode qui le marqua profondément.
Chant du Chœur des moines de l'Abbaye de Marienstatt Im Westerwald (Rhénanie-Palatinat).
L'administration militaire de Ternopil avait intenté une action en justice contre les autorités locales qui après la chute du communisme avaient enregistré le droit de propriété de l’Eglise orthodoxe ukrainienne sur le skite du Saint-Esprit de la laure de Potchaïev, rendant aux moines ces bâtiments en ruines qu’ils ont entièrement restaurés.
Le tribunal économique de la région de Ternopil a acquiescé, et a donc annulé cet enregistrement, au motif que les autorités locales avaient outrepassé leur pouvoir. Seul l’Etat peut décider de la propriété de ces biens immobiliers, et l’Etat a décidé de les récupérer.
C’est la première étape du retour de toute la laure de Potchaïev à l’Etat voleur sacrilège, qui était l’Etat communiste et qui est aujourd’hui l’Etat néo-nazi.