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Gollnisch - Page 5

  • Bruno Gollnisch soutient la Marche pour la Vie

    Bruno Gollnisch fait savoir sur son site qu’il soutient la Marche pour la Vie. Il appelle au rassemblement, et annonce qu'il sera présent dimanche prochain aux côtés du collectif “30 ans ça suffit” « pour dénoncer, une fois de plus, la politique pro-avortement du gouvernement, véritable assassinat de nos tout-petits, mais aussi crime contre la France ».

  • Gollnisch & Auguste : justice à deux vitesses

    Communiqué du groupe FN au conseil régional Rhône-Alpes

    Deux élus de la République, Bruno Gollnisch (FN, député européen), et François Auguste (PC"F", conseiller régional), ont été poursuivis devant la même juridiction (Tribunal correctionnel de Lyon), et le même juge (le président Schir, celui-là même qui a relaxé l’imam de Villeurbanne appelant à des violences contre les femmes).

    Bruno Gollnisch, refusant de se laisser entraîner dans un débat sur les camps de la deuxième guerre mondiale, a simplement déclaré aux journalistes : « Ce débat relève des spécialistes. La loi (Gayssot) ne devrait pas entraver l’expression à ce sujet. »

    François Auguste a empêché plusieurs avions, rapatriant ou non des clandestins, de décoller, signifiant par là qu’il est légitime de contester les décisions de justice par force, qu’il est normal de priver les voyageurs du vol qu'ils ont payé, et qu’il est juste de contraindre la République à garder des étrangers demeurant illégalement sur le territoire national.

    Le tribunal présidé par M. Schir est allé au-delà même des rigueurs d’une loi liberticide dans le premier cas (Gollnisch). Dans le second (Auguste), sur la bienveillance suggestion du procureur Claire Jaquin, il a montré sa plus parfaite clémence, estimant que cette grave entrave à la navigation aérienne, passible de 5 ans de prison et 18.000 € d’amende, relevait surtout de la liberté d'expression.

    Les condamnations pénales et civiles prononcées contre Gollnisch, 60.000 €, sont donc 130 fois plus élevées que l’amende de 500 € prononcée contre Auguste.

    On appréciera, à l’aune de ces deux jugements, "l’impartialité" de la justice française, et la conception qu’ont certains magistrats de la liberté d’expression.

  • Les zozos condamnés...

    La cour criminelle de N’Djamena a condamné les six Français de l’Arche de Zoé à huit ans de travaux forcés.

    Cette « lourde condamnation de tous les Français, y compris médecins ou bénévoles, relève sans doute plus d’un véritable racisme anti-français que de la justice », dénonce Bruno Gollnisch dans un communiqué. « Quelles qu’aient été les imprudences et les fautes des dirigeants de l’Arche de Zoé, elles n’ont pu être possibles sans la complicité de cadres tchadiens, de chefs de village voire de certaines familles. » De fait, deux intermédiaires tchadiens, mais deux seulement, ont été condamnés à quatre ans de prison.

    Cet aspect de l’affaire ne peut en effet être éludé, et il est mis en relief par la sévérité du verdict, de même que par l’uniformité des peines prononcées. C’est un cas de figure comparable à l’affaire des infirmières en Libye, avec même cette similitude de la demande d’un million d’euros par enfant au Tchad, et d’un million de dollars par enfant victime du sida en Libye.

    Dans un cas comme dans l’autre, les autorités vont dans le sens des sentiments anti-occidentaux de l’opinion publique de leur pays, et les confortent. C’est d’autant plus évident qu’il y a une grande part de comédie dans ces procès, organisés dans un unique dessein de politique intérieure. Dans l’affaire libyenne, Kadhafi savait parfaitement que les infirmières bulgares seraient libérées à l’issue de leur procès. Dans l’affaire tchadienne, il est clair que les condamnés seront également rapatriés et seront, discrètement ou non, libérés.

    « Si cette triste affaire pouvait servir à quelque chose, ce serait de faire cesser les actions humanitaires ou prétendues telles en direction de peuples et de pays qui n’en veulent pas et les ressentent comme autant d’humiliations », conclut Bruno Gollnisch.

    C’est en effet une question qui se pose. Mais elle ne peut pas occulter l’autre question, sur le ménage à faire dans les associations humanitaires. Dans l’affaire des zozos de l’Arche, il y a la question franco-française. Même en admettant que ces gens-là aient réellement voulu sauver des enfants du Darfour, et quelles que soient les évidentes complicités dont ils ont bénéficié au Tchad (sans parler de l’attitude des autorités tchadiennes dans le déroulement des opérations), il reste qu’ils avaient l’intention de faire immigrer clandestinement en France 103 enfants soi-disant malades et blessés alors qu’ils étaient en pleine forme, pour les vendre à des « familles d’accueil » qui pourraient les adopter.

    Vu du point de vue français, ils pourraient passer en justice pour cela. Et de ce même point de vue, ils vont très bien s’en sortir. Toutefois, leur mésaventure va sans doute faire réfléchir leurs éventuelles émules. Tandis qu’il revient aux véritables associations humanitaires, et au gouvernement qui est forcément impliqué dans ce genre d’affaire, de réfléchir sur les actions dans des pays (notamment musulmans) où la haine de l’Occident en fait des cibles de choix.

    Cette réflexion devrait être facilitée par le fait que le ministre des Affaires étrangères est un spécialiste mondialement reconnu de l’aide humanitaire. Mais on ne l’a pas entendu dans l’affaire libyenne, et on ne l’a pas davantage entendu dans l’affaire tchadienne. Ni en tant que ministre, alors qu’il s’agit d’affaires étrangères, ni en tant que « french doctor », alors qu’il s’agit de sa spécialité. C’est une anomalie de plus...

  • « Racisme et xénophobie » : les nouveaux Tartuffe

    Voici le texte de la superbe intervention de Bruno Gollnisch, hier au Parlement européen.

    Voici venir une nouvelle fois un énième rapport sur la prétendue montée de l'extrémisme en Europe. Conseil, Commission, groupes politiques, ils sont venus, ils sont tous là !

    Comme d'habitude, cette rhétorique est nulle intellectuellement, scandaleuse politiquement, perverse moralement. Intellectuellement nulle, parce que toutes les idées nouvelles en religion : le christianisme, dont certains d'entre vous osent se réclamer, en politique le libéralisme ou le socialisme, en science des idées aujourd'hui aussi évidentes que la rotondité de la terre ou sa rotation autour du soleil ont d'abord été considérées comme extrémistes, hérétiques, subversives, inadmissibles.

    Il ne suffit pas de diaboliser une opinion pour la discréditer. Il faut dire en quoi elle est fausse. Le scandale politique, c'est vous qui le suscitez, vous qui êtes au pouvoir et qui, au lieu de résoudre les problèmes, affichez un programme de combat de l'opposition.

    Vous révélez ainsi votre incapacité à résoudre le problème de l'immigration-invasion dont vous êtes, délibérément ou par lâcheté, les visqueux collaborateurs.

    Vous avouez ici votre échec économique, votre échec social, votre échec culturel, votre échec moral, votre échec éducatif. Et au lieu de changer votre catastrophique politique, vous ne songez qu'à l'élimination de ceux qui protestent ou qui vous critiquent.

    Mais c'est moralement que votre attitude est la plus répugnante. Vous assimilez frauduleusement les actions violentes ou terroristes à la légitime réaction des peuples d'Europe contre la destruction de leur identité. Tartuffe que vous êtes, vous voulez les priver de parole et de représentation politique !

    Vous êtes les pharisiens de la démocratie. Comme le dit l'Ecriture : Sépulcres blanchis ! Tout n'est que peinture blanche à l'extérieur : vous parlez des droits de l'homme, de la liberté d'expression, des valeurs de l'Europe, de la tolérance. Mais tout n'est que cadavre et pourriture à l'intérieur. Ces droits dont vous avez plein la bouche, vous les refusez à ceux qui ne pensent pas comme vous.

    Démocrates en peau de lapin, vous avez peur des peuples auxquels vous refusez de se prononcer par referendum. Ce seul mot, cette seule réclamation vous terrorise, et l'on voit ceux dont les pères défilaient dans la Hitler Jugend proposer aujourd'hui de supprimer les droits de ceux qui défendent leurs libertés nationales, parlementaires, politiques et civiques.

    Tout cela serait odieux, si cela n'était pas grotesque. Les générations futures vous jugeront comme elles ont jugé ceux qui ont livré Rome aux Barbares. Puissent-ils, ces barbares, vous traiter un jour comme vous méritez de l'être. Dans le désastre actuel, ce sera notre consolation et notre ultime éclat de rire.

  • La TVA au Parlement européen

    Explications de vote de Bruno Gollnisch sur le rapport van den Burg concernant la TVA.

    Monsieur le Président, mes chers collègues,

    Pour une fois, nous avons été tentés de voter en faveur d'un rapport de ce Parlement sur la TVA. Celui-ci en effet, est favorable à l'abandon de l'objectif d'un régime définitif fondé sur la taxation dans le pays de consommation, objectif qui seul justifiait une harmonisation plus poussée des taux. Il est également favorable à l'application du principe de subsidiarité qui permettrait aux Etats membres de pouvoir appliquer un taux de TVA réduit, voire zéro, aux services fournis localement, comme la restauration ou à d'autres domaines, pour répondre à des objectifs sociaux, éducatifs, culturels, etc. Il prévoit également le maintien jusqu'en 2010, date à laquelle la directive TVA doit être réexaminée, de nombreuses dérogations qui auraient dû prendre fin en 2007. Tout cela nous convient.

    Cependant, la volonté de maintenir une législation européenne sur la TVA et le souhait d'arriver quoi qu'il arrive à des taux identiques, au nom de la simplification des formalités commerciales et douanières dans les échanges intra-européens, ne peuvent nous satisfaire. La fiscalité est un domaine régalien des Etats et les disparités constatées sur un type de taxation compensent souvent les inégalités qui existent sur un autre. Elles ne sont donc pas toujours illégitimes.

  • Le procès Gollnisch

    Au procès en appel de Bruno Gollnisch, hier à Lyon, le procureur a requis la confirmation des peines qui lui ont été infligées en première instance : trois mois de prison avec sursis, 5.000 euros d’amende, 55.000 euros de dommages et intérêts aux lobbies « antiracistes ». Une décision que Bruno Gollnisch avait dénoncée comme un « viol catégorique de la liberté d’expression ».

    Me Wallerand de Saint Just a rappelé que l’élu FN était poursuivi sur la base de propos tronqués, modifiés, dont il n’existe aucun enregistrement.

    En outre, un opposant politique, candidat radical à Lyon, qui assistait à la conférence de presse au cours de laquelle les propos qui lui sont reprochés sont censés avoir été prononcés, avait écrit dans son journal qu’il aurait été le premier à dénoncer ces propos s’ils avaient été tenus, mais que la vérité oblige à dire qu’ils ne l’ont pas été.

    Mais la vérité ne semble pas être le souci des magistrats quand ils jugent un responsable du Front national.

    La cour a mis sa décision en délibéré au 28 février.

  • Demain, le procès de Golnisch

    Demain jeudi 6 décembre se déroule à Lyon le procès en appel de Bruno Gollnisch (voir ici, , et le communiqué après la condamnation en première instance).

    Soyons nombreux à soutenir Bruno Gollnisch, dans le cadre du procès inique qui lui est imposé depuis maintenant plus de trois ans.

    Rendez-vous à partir de 9h à la cour d’appel de Lyon, 2 rue de la Bombarde (5e arrondissement).

  • A Lyon, Gollnisch passe la main

    Comme il l’avait annoncé à la suite de son quadruple pontage coronarien, Bruno Gollnisch a confirmé samedi qu’il quittait la direction de la fédération du Rhône du Front national, et il a présenté son successeur, Christophe Boudot et son « équipe rajeunie et renouvelée », avec lesquels il a inauguré une nouvelle permanence.

    « Je dois lever le pied, il me faut renoncer à un certain nombre de responsabilités, j’ai donc souhaité passer la main à la direction de la fédération du Rhône », a souligné Bruno Gollnisch lors d’une conférence de presse. Mais cela n’entame en rien sa détermination et ses combats : vice-président exécutif du Front national, député européen, il reste aussi président du groupe FN au conseil régional Rhône-Alpes.

    Pour ce qui concerne les municipales, il laisse entendre qu’il ne sera pas candidat en position éligible, et que les listes seront conduites par Christophe Boudot. Mais il précise que le choix ne sera définitif qu’après la décision de la commission d’investiture du Front national.

    En ce qui concerne ces municipales à Lyon, Bruno Gollnisch souligne que cette fois les partisans de Charles Millon seront sur les listes de UMP de Dominique Perben, ainsi que les partisans de Philippe de Villiers. Pour Christophe Boudot, il est clair que ce ralliement de toute la « droite » derrière Perben « ouvre un boulevard aux candidats du FN ».

  • Elections roumaines : une sanction logique

    Communiqué de Bruno Gollnisch 

    Le résultat des élections européennes en Roumanie montre que le PRM, Parti de la Grande Roumanie de Vadim Tudor, ne franchit pas la barre des 5% nécessaires afin d'obtenir des députés.

    Ce vote exprime au moins pour partie  la sanction d'électeurs patriotes et anti-mondialistes vis à vis du  sabotage délibéré du groupe politique ITS au Parlement européen, à la suite de prétextes futiles utilisés sans préavis par les autorités de ce parti.

    Ce type de manœuvre ne sert jamais ceux qui en sont les auteurs. J'exprime mes regrets pour ceux des députés européens de ce parti dont je sais que leur attitude leur a été imposée et qu’ils n'en approuvaient pas le bien-fondé.

  • Turquie en Europe : jusqu’où la folie européiste ?

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    Dans le numéro 459 de l'hebdomadaire "Commission en direct" daté du 16 au 22 novembre 2007, je relève que la première page du journal de propagande de la Commission européenne fait l'éloge de l'élargissement en tant que "success story". Pour illustrer ce titre ronflant, une photo de belle taille décrivant le Commissaire Olli Rehn inaugurant un nouvel "Info centre européen" à... Ankara. Tout cela en la présence du ministre des affaires étrangères, l'islamiste "modéré" et membre de l'AKP, M. Ali Babacan.

    Cet entêtement de la Commission européenne est une preuve supplémentaire de l'action anti-démocratique de l'Europe de Bruxelles qui, comme pour la Constitution européenne modifiée, n'a que faire de l'opinion des Européens.

    Fidèles à nos principes nous continuerons à veiller aux intérêts des Européens, sans hostilité à l'égard d'aucune autre nation, mais en exigeant que les frontières de l'Europe soient clairement définies et limitées aux territoires et aux peuples européens.