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Gollnisch - Page 7

  • Sous-marinade et navalitude

    Ce matin, sur RMC, Jean-Jacques Bourdin reçoit Marie-Ségolène. Il relaye la question d’un auditeur :  « Avons-nous besoin d'autant de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins ? » Jean-Jacques Bourdin : « On en a combien ? »

    Marie-Ségolène élude la question, revenant à ce qu’elle était en train de dire. Bourdin insiste. La question suppose qu’il y en a plusieurs. Marie-Ségolène finit par répondre : « Nous en avons… euh... un. »

    Bourdin : « Non. Nous en avons sept. »

    Marie-Ségolène : « Oui… sept… oui. »

    En fait, nous en avons quatre.

    Voici le communiqué de Bruno Gollnisch, délégué du Front national et… capitaine de frégate.

    Sous-marinade et navalitude :
    Royal : touchée, coulée

    « Mme Royal vient de révéler sa totale méconnaissance des questions de défense, qui sont cependant l’une des responsabilités essentielles, sinon la première, du chef de l’Etat.
    « Ce matin, sur RMC, à l’émission de Jean-Jacques Bourdin, elle a déclaré que la France ne disposait que d’un sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE), alors qu’elle en a quatre, ce qui constitue un seuil minimum pour assurer en mer la permanence de la dissuasion nucléaire. Puis, renchérissant sur l’erreur de Monsieur Bourdin, elle a déclaré que nous en avions sept (si Monsieur Bourdin avait dit 20, elle aurait dit 20).
    « En fait, la France dispose de quatre SNLE équipés de missiles nucléaires et de seulement six SNA (sous-marins nucléaires d’attaque), dont seule la propulsion est atomique, mais qui ne disposent pas de missiles balistiques nucléaires.
    « On frémit en pensant que Mme Royal prétend diriger nos Forces armées. Son incompétence est abyssale, c’est vraiment le cas de le dire. »

  • Une grave dérive de la police de la pensée

    Voici le communiqué de Bruno Gollnisch, suite à sa condamnation à trois mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende, et 55.000 euros de dommages et intérêts aux lobbies de l'antiracisme. 

    La condamnation qui vient de me frapper pour avoir estimé qu’un débat historique, ouvert par des questions de journalistes, relevait du travail des historiens, souligne une grave dérive de la police de la pensée.
    De fait, la loi du communiste Gayssot, censée protéger la mémoire, n’aboutit qu’à interdire toute discussion sur l’histoire. De la même façon que la loi Pleven aboutit à interdire tout débat sur la politique d’immigration et la loi Perben toute prise de position en faveur de la famille traditionnelle.
    Ce scandale va au-delà de mon cas personnel dans un pays autrefois le plus avancé au monde dans le domaine de la liberté d’expression.
    Il atteint aussi la liberté et la déontologie des journalistes qui, requis de déposer contre celui à qui ils ont posé des questions, doivent se comporter, bon gré mal gré, en supplétifs de la police de la pensée, et non plus en serviteurs de l’information.
    L’incroyable jugement répressif prononcé par le tribunal correctionnel de Lyon, et notamment par son président le juge Schir se disant investi d’une mission, a été rendu, sur réquisition d’un ministère public qui a publiquement reconnu agir aux ordres d’un de mes adversaires politiques, Dominique Perben, alors ministre de la Justice. Ce dernier, donnant l’ordre de me poursuivre malgré l’avis contraire de la police et du parquet, a perdu à cette occasion toute chance de conquérir la mairie de Lyon puisqu’il peut être certain de me trouver sur sa route pour l’en empêcher.
    Rien n’est plus insupportable que l’injustice de la justice. Je fais naturellement appel de ce jugement.
    Que mes adversaires soient certains que cette persécution n’aura aucune incidence sur mes activités politiques, bien au contraire. Elle décuple ma volonté de mettre à bas un système politique oppressif et corrompu.

  • Gollnisch condamné

    Bruno Gollnisch est condamné à trois mois de prison avec sursis, 5.000 euros d’amende, et 55.000 euros de dommages et intérêts aux lobbies de l’antiracisme. Il était poursuivi pour « délit de contestation de l’existence de crime contre l’humanité par paroles ». Il n’avait rien contesté, et à l’audience la LICRA s’était désistée puisqu’il réitérait qu’il ne niait rien des crimes nazis. Mais en France il n’est pas seulement interdit de discuter de certains sujets historiques, le fait de s’en remettre aux historiens est en soi une contestation…

  • ITS

    « Identité, Tradition, Souveraineté », tel est le nom du nouveau groupe au Parlement européen, qui sera enregistré le 15 janvier au cours de la prochaine session plénière. Bruno Gollnisch, qui en sera le président, a souligné que ce groupe aura pour principes la reconnaissance des intérêts nationaux, des souverainetés, des identités et des différences, l’engagement en faveur des valeurs chrétiennes et de la famille traditionnelle, et qu’il s’opposera à une « Europe unitaire, bureaucratique, et à un super-Etat européen », ainsi qu’à une politique massive d’immigration.

    Le groupe ITS initial est formé des sept députés du Front national (dont Jean-Marie Le Pen), des cinq députés du parti de la Grande Roumanie , des trois députés belges du Vlaams Belang, des Italiens Luca Romagnoli (MS-FT) et Alessandra Mussolini (Alternative sociale), de l’Autrichien Andreas Mölzer (FPÖ), du Britannique Ashley Mote (ex-UKIP), du Bulgare Dimitar Stoyanov (Ataka).

    Face aux journalistes qui faisaient état avec insistance des réactions des lobbies et de divers politiciens européens s’en prenant évidemment à la « xénophobie », au « racisme », à l’« antisémitisme » de ce groupe « d’extrême droite »,  Bruno Gollnisch a récusé ces accusations « infâmes », dénonçant une fois de plus cet indigne « raccourci fait entre la défense des identités d’une part et le racisme et l’antisémitisme d’autre part. »

    Quand ils ont fini de débiter leur litanie calomnieuse, les « experts » ajoutent que les partis politiques et les personnalités qui se retrouvent dans ITS ont surmonté leurs divergences « dans un intérêt d’ordre matériel », comme dit celui qu’a interrogé l’AFP. En bref, ces gens-là ne sont pas d’accord sur grand-chose, mais ils ont mis leurs divergences de côté pour pouvoir profiter du système.

    Qu’il y ait des différences entre les membres du groupe ITS, ce n’est pas un mystère. Chacun des partis ou personnalités qui le composent ont une histoire différente, des origines doctrinales différentes, dans des contextes différents. Ils s’accordent néanmoins sur l’essentiel, comme le montre le fait qu’ils signent une charte politique commune, et comme le montre d’abord l’intitulé du groupe et l’explication qu’en donne Bruno Gollnisch. A vrai dire, cet intitulé est autrement plus riche de sens que celui de la plupart des autres groupes.

    Quant aux « intérêts d’ordre matériel », il s’agit en effet de profiter de la manne européenne. Non pas pour se la mettre dans la poche, mais pour permettre de rendre plus efficace le combat politique. C’est précisément ce que les gardiens de la pensée unique ne supportent pas : qu’un groupe puisse défendre les souverainetés nationales avec l’argent européen… Et il n’y a pas que les moyens matériels proprement dits (secrétariat, publications, etc.). Le fait d’avoir un groupe permet aussi de bénéficier de davantage de temps de parole, de déposer des amendements, d’avoir accès aux présidences et vice-présidences diverses, de peser sur l’ordre du jour, etc.

    On espère qu’à ses 20 députés viendront s’agréger bientôt d’autres élus, afin que le groupe ITS devienne le grand groupe de défense et de résistance des souverainetés et des identités nationales dans cette assemblée qui a pour vocation de les détruire.

  • Non à la grande mosquée de Marseille

    Bruno Gollnisch a tenu samedi une conférence de presse à Marseille sur le projet de grande mosquée. Il a dénoncé le fait qu’une « partie du financement de cette grande mosquée cathédrale est imposée au contribuable marseillais », par le biais d’un loyer de 300 euros pour le terrain alors que la valeur de celui-ci est estimée par les pouvoirs publics à 4 millions d’euros. Il s’agit d’une « donation déguisée », et la délibération du conseil municipal est un « détournement de procédure ». Bruno Gollnisch et Jackie Blanc (secrétaire départemental du FN) ont annoncé avoir déposé auprès du tribunal administratif une requête en annulation de cette délibération.

    Bruno Gollnisch a rappelé que le Front national est « favorable à la liberté de conscience et de culte pour tous », mais que l’édification d’une très grande mosquée, dans une ville qui en compte déjà 66 dont quatre grandes, a un côté « provocateur ». En tout état de cause, a-t-il ajouté, « nous entendons que nos paysages soient respectés : une « certaine discrétion architecturale » est de mise, afin de respecter  l’identité de la France.

  • Pinochet

    Face à la meute « antifasciste », Bruno Gollnisch a dit l’essentiel sur Augusto Pinochet : « Quoi que l’on en dise, le général Pinochet restera dans l’histoire comme celui qui,  mandaté par la majorité du Parlement chilien et par le Tribunal constitutionnel de son pays, a sauvé du communisme, non seulement le Chili, mais sans doute toute l’Amérique latine. Il est aussi celui qui, après avoir restauré l’ordre, a remis le pouvoir aux civils. C’est tout cela que ne lui pardonneront pas les marxistes et leurs alliés objectifs dans cette partie du monde comme dans la nôtre. »

  • Gollnisch ne peut pas gagner en justice…

    A l’audience du procès Gollnisch contre Queyranne, le procureur a demandé la relaxe en faveur du président du conseil régional, ainsi que des six autres présidents de groupes poursuivis. Ben voyons…

    Rappelons les faits. C’est le juge d’instruction en charge de l’affaire de la conférence de presse « controversée » qui avait renvoyé en correctionnelle ces sept diffamateurs de Bruno Gollnisch, tandis qu’il rendait une ordonnance de non-lieu dans les poursuites contre le délégué général du Front national. Malgré cette ordonnance, Bruno Gollnisch est néanmoins passé en jugement, et voici que le procureur demande la relaxe des diffamateurs…

    Le texte qu’avait lu Jean-Jack Queyranne, au nom des présidents de groupes, était violemment diffamatoire, puisqu’il disait que les « propos » reprochés à Bruno Gollnisch « nous renvoient aux pires moments de notre histoire : ceux où un régime faisait du racisme et de l’antisémitisme une politique d’Etat excluant des milliers de femmes, d’hommes et d’enfants pour finir par les conduire dans les camps de la mort ».

    Mais le procureur Bertrand Reynaud considère que qu’il faut replacer cette déclaration « dans son contexte » et qu’elle est « proportionnée par rapport à la gravité des propos tenus par Bruno Gollnisch ». Rappelons que la Licra s’est retirée du procès sur les « propos » en question en constatant que Bruno Gollnisch ne niait ni les crimes nazis ni les chambres à gaz.

    Quoi qu’il en soit, le procureur avait un autre tour dans son sac. Il a demandé la relaxe d’abord « pour des raisons de droit compte tenu d’une erreur de fondement dans la qualité de M. Gollnisch ». Car, selon lui, « tous les éléments du dossier ont montré que c’était bien en sa qualité d’élu du FN que Bruno Gollnisch avait été mis en cause et non en tant que simple particulier ».

    Bref, Gollnisch a toujours tort. Quand il fait valoir qu’il a tenu sa conférence de presse en tant qu’élu politique, dans sa permanence politique, l’université le chasse pour avoir tenu une conférence de presse en tant qu’universitaire, et quand il demande réparation à la justice en tant que citoyen, on lui rétorque qu’il est un élu…

    Les jugements des deux procès seront rendus le 18 janvier.

  • L’autre procès Gollnisch

    Ce mardi 5 décembre, Jean-Jacques Queyranne, président de la région Rhône-Alpes, ainsi que six présidents de groupe politique de la région, comparaîtront devant le tribunal correctionnel pour avoir diffamé gravement Bruno Gollnisch devant le conseil régional, le 14 octobre 2005, au sujet de sa conférence de presse controversée du 11 octobre, sans avoir cherché à s'informer et sans lui avoir laissé la possibilité de répondre.

    Saisi d’une plainte, le juge d’instruction a, après avoir enquêté et entendu toutes les parties, renvoyé devant le tribunal correctionnel, non seulement Jean-Jack Queyranne, le seul contre lequel Bruno Gollnisch avait porté plainte, mais aussi les six présidents de groupes politiques au Conseil régional, trois comme co-auteurs, trois autres comme complices. Il s'agit de MM. Gaymard (UMP, ancien ministre), Avocat (PS), Cornillet, député européen (UDF), Bochaton (PC), Leras (Verts), Friedenberg (Radicaux de Gauche). 

    Bruno Gollnisch a déclaré que, n'étant pas partisan de la judiciarisation du débat politique, social, historique ou moral, il n'aurait pas porté plainte s'il avait pu s'expliquer et si lui-même n'avait pas été poursuivi sur la base, notamment, de la déclaration en question.

    L'avocat de Bruno Gollnisch est Me Wallerand de Saint-Just.

    Bien qu'ayant affirmé, devant les protestations de Bruno Gollnisch ne s'être pas exprimé au nom de la "Conférence des Présidents", organe officiel de la région (mais auquel Bruno Gollnisch aurait légalement du être convié), Jean-Jack Queyranne a cependant, ultérieurement, fait endosser sa défense (et la prise en charge de ses frais d'avocat) par l'institution régionale. Cette décision, qui n'avait pas eu l'aval de l'UDF, est actuellement attaquée devant le tribunal administratif par Bruno Gollnisch et les élus du groupe FN.

    Cette procédure est en quelque sorte l’inverse de celle des 7 et 8 novembre derniers. Bruno Gollnisch est en position d’accusateur, et non plus d’accusé.

    L’audience, ouverte au public, aura lieu à 13 h 30, 6e chambre correctionnelle, au Palais de justice de Lyon, rue Servient.

  • Procès Gollnisch : l’exégèse du procureur

    Le procureur de la République a requis une peine de 10.000 euros à l’encontre de Bruno Gollnisch, poursuivi pour « contestation de l’existence de crime contre l’humanité par paroles », un délit susceptible d’être puni d’un an de prison. D’où le dépit de Libération : le procureur « n’a requis que 10.000 euros d’amende »…

    Le problème était de savoir ce que Bruno Gollnisch avait bien pu dire lors de sa fameuse conférence de presse. Ce que l’audience n’a pas permis de préciser, vu que les témoignages sont contradictoires et que – fait pour le moins étonnant dans une conférence de presse –, les « propos » ne furent enregistrés par aucun journaliste.

    A la fin de ces deux jours d’audience, malgré les efforts des témoins... du combat anti-FN, on n’en savait donc pas davantage qu’avant, et l’on ne pouvait pas aller au-delà de ce que Bruno Gollnisch lui-même avait toujours affirmé.

    Néanmoins, le procureur s’est livré à une exégèse qui lui permettait de demander la condamnation de Bruno Gollnisch, non sur le sens des propos tenus (ceux qui ont été tenus à l’audience, en fait), mais sur les sous-entendus. Telle est la perversité générale des lois dites antiracistes. Les juges sont conduits à débusquer des sous-entendus, des sentiments non exprimés. Ce qui est contraire au droit, mais inéluctable quand on se met à vouloir condamner non des faits, mais des sentiments (la xénophobie, par exemple, condamnée par la loi, n’est rien d’autre qu’un – mauvais – sentiment).

    Le procureur a donc déclaré : « Quand Bruno Gollnisch affirme qu’il reconnaît l’existence des chambres à gaz, mais qu’il n’est pas un spécialiste et qu’il appartient aux historiens d’en débattre, il exprime un doute. C’est une insinuation, une forme déguisée, dubitative, qui crée le doute. C’est dans ce sens que je crois que M. Gollnisch a passé la ligne jaune : tout en jonglant sur le terrain nauséabond (de l’antisémitisme), il a commis une faute, il a dérapé. » Et d’ajouter : « On retrouve bien là les vieux démons de la droite antisémite française », non sans stigmatiser la « mauvaise foi caractérisée du prévenu ». Et le fait de faire une série de déductions à partir d’a priori hostiles qui n’ont rien à voir avec les propos incriminés, ça s’appelle comment ?

    Le jugement a été mis en délibéré au 18 janvier.

    On retiendra tout de même quelque chose d’amusant, dans cette sinistre affaire de police totalitaire de la pensée. C’est le rififi entre Me Jakubowicz, avocat vedette de la Licra , et SOS Racisme.  Me Jakubowicz s’étant désisté après avoir obtenu que Bruno Gollnisch reconnaisse que la Shoah a été un crime contre l’humanité (ce qu’il n’a jamais nié), SOS Racisme s’est déclarée « extrêmement choquée » par cette attitude, qualifiant le retrait de Me Jakubowicz d’« abandon en rase campagne » et l’accusant de « torpiller » le procès…

  • Procès Gollnisch : ils doivent tous se désister

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    Désistements de :

    - la Ligue  Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA

    - l’Union des Etudiants Juifs de France

    - l’Amicale des Déportés d’Auschwitz-Birkenau et des Camps de Haute-Silésie

    La Licra et son avocat Maître Jakubowicz se sont, en cours du procès, désistés de la procédure contre moi, en conformité avec l’intention exprimée et après une déclaration sans équivoque de ma part.

    Je considère que ce geste correct de part et d’autre devrait être suivi par le Parquet et par les autres associations présentes.En effet les témoignages qui se succèdent à la barre, même les plus hostiles ou tendancieux dissipent tout mal entendu et démontrent à l’évidence que, contrairement à ce que l’on a suggéré durant deux années, rien dans mes véritables propos ne peut être assimilé à la contestation de crime contre l’humanité.