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Politique française - Page 38

  • Contrordre : pas besoin de carte d’identité

    Un décret a été publié hier au Journal Officiel, qui annule la disposition du décret du 18 octobre 2013 pris en application de la loi du 17 mai 2013 : finalement, les votants ne seront pas obligés de justifier de leur identité dans les communes de moins de 1.000 habitants.

    Décision prise en catastrophe afin d’éviter une plus grande abstention, et parce que les maires avaient crié très fort, le président de l’association des maires des petites communes ayant même affirmé qu’il n’appliquerait pas la loi.

    D’autant que les candidats aux municipales dans les petites communes ont un autre sujet de mécontentement : l’obligation pour toute liste d’avoir une couleur politique. Ce qui est tout simplement aberrant pour ces communes.

    On sait que si la liste ne donne pas sa couleur politique, la préfecture lui en attribue une d’office. C’est officiellement pour mieux cerner politiquement les résultats – mais ce qui est aberrant au départ reste aberrant à l’arrivée…

    Ce qui n’est pas aberrant, toutefois, est que les préfectures sont aux ordres du ministère de l’Intérieur… Il ne m’étonnerait pas qu’il y ait une inflation de listes « divers gauche » dans les communes de moins de 1.000 habitants…

  • Beurk : Juppé à fond LGBT…

    Alain Juppé s’engage auprès du lobby LGBT pour que tous les supports de communication de Bordeaux relaient les campagnes LGBT, pour que la ville subventionne un centre LGBT, multiplie les partenariats (notamment avec la « maison des adolescents »….), à donner une place aux LGBT dans les cérémonies de commémoration de la déportation, à les faire parler devant le conseil municipal des enfants et le conseil des jeunes, à soutenir la marche des fiertés, la semaine des sexualités, un festival cinématographique gay, etc.

  • Officiel : les Femen ne sont pas une secte…

    Suite aux témoignages de deux anciennes Femen décrivant de façon très claire leur ancien groupe comme une secte, Georges Fenech avait saisi la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). Après examen du dossier, la Miviludes conclut que les Femen ne sont pas une secte.

    Circulez, il n’y a rien à voir.

    Pourtant le premier critère de la Miviludes et l’emprise mentale, et c’est précisément de quoi parlaient les anciennes adeptes.

    Mais il n’y a évidemment rien d’étonnant à ce que la Miviludes prenne cette décision : il s’agit d’un organisme « interministériel », donc aux ordres du gouvernement socialiste, et son président est Serge Blisko, à qui les socialistes ont donné ce poste parce qu’aux dernières législatives ils ont donné sa circonscription aux Verts…

  • La diversité à Villefranche-sur-Saône

    Voici la liste « Union démocratique de la Diversité », l’une des cinq listes qui se présentent aux municipales de Villefranche-sur-Saône, capitale du Beaujolais :

    1 M. OZ Yusuf

    2 Mme FARAH Jamilla

    3 M. LAZREG Benheni

    4 Mme GÜVERÇIN Gülay

    5 M. HECHAICHI Nasser

    6 Mme CALIS Imran

    7 M. DEMIRCI Emre

    8 Mme BAS Hayriye

    9 M. MEYSONNET Frédéric

    10 Mme BOUDOUH Louisa

    11 M. YAPICI Selcuk

    12 Mme BAKAR Sumeyra

    13 M. SOUILAH Nordine

    14 Mme ALBAYRAK Nazmiye

    15 M. OMEZZINE Mouez

    16 Mme HECHAICHI Zeyneb

    17 M. BOYUKKORBUZ Adilenes

    18 Mme OZ Ayse

    19 M. ACHOURI Abdellah

    20 Mme CHOUDAR Khedidja

    21 M. GULEL Mehmet

    22 Mme REZGUI EP OMEZZINE Maissa

    23 M. OZ Mehmet

    24 Mme JABER Najette

    25 M. DASSI Fathi

    26 Mme PINAR Sema

    27 M. OYMAK Ibrahim

    28 Mme KARABULUT Seyma

    29 M. AKCA Bilal

    30 Mme OZ Nazli

    31 M. KARACA Ahmet

    32 Mme GUNERHAN Hulya

    33 M. DEMIRCI Ibrahim

    34 Mme YAPICI Hacer

    35 M. ERDOGAN Abdoulah

    36 Mme CHERIFI Khedidja

    37 M. ARDICLIK Mukahil

    38 Mme YILMAZ Betul Sultan

    39 M. ARDICLIK Ali-Osman

    A première vue, on se demande où est la diversité dans cette liste de candidats turcs, et même s’il ne s’agit pas d’un canular, ou d’une liste pour des élections en Turquie.

    Mais il s’agit bien de la liste n° 4 des élections municipales à Villefranche-sur-Saône.

    Et la diversité y est, si l’on cherche bien : il y a manifestement 1 Français de souche sur les 37 candidats. Et il doit bien y avoir aussi deux ou trois Maghrébins, car il y a quelques noms spécifiquement arabes (mais il y a aussi des Arabes en Turquie…).

    Au fait, tous ces gens-là sont français. Et ils nous expliquent ce qu’est pour eux la diversité…

    (Ils sont français mais ont une connaissance encore un peu sommaire de notre langue, comme en témoigne l’objet déclaré de l’association : « Concourir a l'expression du suffrage universel et au débat politique, dans la plus pure tradition de république française ; udd promeut des valeurs républicaines, et justice sociale ; udd travaille pour des projets qui respecte la diversité, la démocratie, égalité et le développement durable, compte tenu de cet objet, udd constitue un groupement politique au sens des articles l52-8 et l522 du code électorale ; udd se conforme à la législation en vigueur concernant le financement de la vie politique. »)

    (Via FDesouche)

  • Une autre nouveauté électorale ubuesque

    Dans le cadre de l’extension tous azimuts de la loi de l’emmerdement maximum, le mode de scrutin des communes de 1.000 à 3.500 habitants a été aligné sur celui des plus grandes communes. De ce fait, non seulement les listes doivent être complètes et rigoureusement paritaires (un homme une femme), mais en outre chaque liste doit confesser à la préfecture sa « nuance politique ». Or la grande majorité des listes, dans ces communes, sont apolitiques, ou fabriquées de bric et de broc avec des gens de gauche comme de droite, ou surtout sans opinion précise, qui veulent bien se dévouer pour la commune, ou du moins figurer sur une liste.

    Et donc la majorité de ces listes ne déclarent pas leur « nuance politique ». Mais comme c’est obligatoire, c’est la préfecture qui, dans ce cas, attribue aux listes une « nuance politique », en se fondant sur divers « indices », c’est-à-dire de façon parfaitement arbitraire.

    Cette classification est censée « permettre une meilleure connaissance et compréhension des équilibres politiques nationaux » et « apporter un éclairage aux citoyens sur l'offre politique qui a lieu à un moment donné de notre histoire ». On sait déjà que le résultat sera dépourvu de toute fiabilité.

  • La « justice » française

    Le « scandale » Buisson n’est pas dans ce que « révèlent » les enregistrements, contrairement à ce que vont répétant tous ces hypocrites qui jouent les vierges effarouchées. Les propos tenus (dont certains font plaisir à entendre) ne sont que des propos privés comme en tiennent tous les responsables en privé. Il n’est pas sans intérêt de noter que la personnalité la plus en pointe dans la dénonciation de ces enregistrements est Christiane Taubira, qui se dit « atterrée », parle d’« atteinte à la morale publique », de « déloyauté », d’atteinte aux « institutions ».

    Mais c’est elle qui est responsable, en tant que ministre de la Justice, de ces atteintes et de cette déloyauté.

    Car le scandale n’est pas dans ce qui est dit, le scandale réside dans le fait que ces enregistrements ont été saisis par la justice dans le cadre des perquisitions dans l’affaire des sondages de l’Elysée. C'est du moins ce qu'affirme Henri Guaino, qui est bien placé pour le savoir.

    Par conséquent ces « révélations » viennent de l’institution judiciaire.

    C’est ce qu’on appelle paraît-il le secret de l’instruction.

  • L’Institut du Pays Libre et les municipales

    Logo+Institut+Pays+Libre.jpgPour les élections municipales, l’Institut du Pays Libre, organe de réflexion et d’orientation de la   résistance nationale et chrétienne, invite tous les Français qui refusent la politique d’idéologie génocidaire de la gauche à voter et faire voter partout pour assurer sa défaite.

    L’Institut du Pays Libre les convie à faire élire partout dans les bourgs et les villages les candidats qui ne sont pas de gauche connus pour leur honnête dévouement au bien commun. Dans les villes, il faut voter et faire voter pour les listes des candidats les plus proches des valeurs de la droite de conviction, appliquée à la gestion municipale, ce que doit clairement manifester leurs programmes.

    - Ils doivent ainsi signifier leur refus de subventions aux associations de quadrillage idéologique gauchiste ou islamiste du territoire.

    - Ils ont à manifester leur volonté d’une action culturelle authentique à rebours des œuvres et spectacles de décréation et de déni d’humanité de la néo-barbarie nihiliste contemporaine.

    - Il faut qu’ils s’engagent à apporter toute l’aide possible aux initiatives de défense de la vie, de la famille et des libertés de l’éducation.

    - Les économies faites par ailleurs, on attend d’eux de fermes engagements d’action pour la sécurité de tous.

    L’Institut du Pays Libre invite donc à voter partout où ils s’en présentent pour les candidats du Front National ou de droite nationale explicitement défenseurs des valeurs de la culture de vie, si évidemment ils donnent toutes les garanties non seulement d’honnêteté mais aussi d’intelligence et de créativité politique.

    Au premier tour, on votera pour les plus proches de nos exigences.

    Au second tour, faute de mieux, pour faire échec à la nomenklature du régime, quelquefois mais sans illusion pour les candidats du « moindre mal ».

  • Le genre va percuter la parité…

    Les Verts sont obligés de revoir leur liste pour les municipales de Toulouse, à cause de la loi sur la parité qui exige la stricte alternance homme-femme. En effet, à la 31e place figure Florence Bertocchio, entre deux femmes : ce qui fait trois femmes de suite. En réalité, Florence Bertocchio est François Bertocchio, qui était déjà candidat aux dernières élections régionales (2010). A l’époque il se disait déjà « Florence » mais ce n’était pas officiel. Maintenant c’est officiel et il ne peut plus s’appeler François…

    Comme le dit le Salon Beige, la loi sur la parité se révèle transphobe. De fait la loi sur la parité va se heurter à l’idéologie du genre. Cette loi est en réalité une violation flagrante de la liberté de genre : alterner un homme et une femme, c’est une sacralisation politico-électorale du sexe biologique qui est typiquement un stéréotype de genre, de ceux-là même dont on ne cesse de nous dire qu’il faut les déconstruire.

  • L’amendement sur ce qui n’existe pas

    Au troisième jour de l’examen de la réforme de la formation professionnelle, l’Assemblée nationale a adopté – SANS DÉBAT - un amendement contre les « stéréotypes de genre ».

    Le texte prévoyait que « le service public de l'orientation tout au long de la vie » doit concourir « à la mixité professionnelle ». Il dit désormais qu’il « concourt à la mixité professionnelle en luttant contre les stéréotypes de genre ».

    C’est terrible comme les rumeurs ont la peau dure. Au point qu’on vote à l’Assemblée – SANS DÉBAT – des amendements sur ce qui n’existe pas.

  • Une éloquente première de Valls

    Pour la première fois dans l’histoire de la République, jeudi dernier, le ministre de l’Intérieur a tenu à présenter ses vœux, officiellement, aux obédiences maçonniques, au ministère.

    Manuel Valls a exhorté les francs-maçons à se battre contre l’extrême droite, particulièrement Dieudonné, et a dénoncé avec force les attaques indignes des factieux du Jour de colère.

    Il a également souligné le rôle positif de la franc-maçonnerie dans la constitution de la République française.