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Politique française - Page 18

  • Pas facile…

    Tweet de Mélenchon après la manifestation contre la politique sociale de Macron :

    À la mobilisation du #16novembre à #Marseille aux côtés des syndicats.e.s et des jeunes mobilisés. #manif16novembre pic.twitter.com/PgGhPSvIMO

    — Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 16 novembre 2017

     On ne sait pas ce qu’est une syndicate, et il est honteux que selon Mélenchon tous les jeunes soient de genre masculin. Car les jeunes sont mobilisé·e·s. Et s’il y avait des syndicats de genre féminin, on devrait écrire syndicat·e·s.

    Bref, on s’essaye à l’écriture inclusive et on fait deux fautes en deux mots, en inventant une étrange féminisation.

    Cela dit, sur le compte Twitter de Mélenchon, il est spécifié que « JLM ne tweete pas en personne ».

    Donc ce n’est pas lui, c’est son nègre, qui a écrit, et promptement retiré le tweet (au lieu de le corriger) quand le Huffington Post l’a fait connaître.

    Euh… désolé. Depuis hier on n’a plus le droit de dire « nègre ». On doit dire « prête-plume ». Sur ordre du ministère de la Culture à plat ventre devant le lobby racialiste de M. Tin.

  • Pollueurs

    L’Assemblée nationale a voté hier l’extension de 3 à 11 du nombre de vaccins obligatoires pour les pauvres enfants qui naîtront en France à partir du 1er janvier 2018.

    L’Assemblée nationale, c’est-à-dire 63 députés contre 3.

    Il y avait donc 511 députés absents.

    La France (sic) anticipe ainsi le programme de la Commission européenne, qui soulignait mardi qu’elle allait « aider » les Etats membres à injecter davantage de poisons dans le corps des enfants.

    Par un curieux hasard, le site européiste Euractiv publiait hier un article qui était tout simplement une publicité de Pfizer France, présentée comme les autres articles, avec seulement la mention « sponsored » pour ceux qui y feraient attention. Publicité présentée sous forme d’un « sondage »…

  • Et hop, 20 milliards…

    L’Assemblée nationale a voté hier soir l’augmentation de la contribution française au budget de l’Union européenne, à hauteur de 20,2 milliards d’euros en 2018. C’est un record absolu.

    Le texte a été adopté par 80 voix contre 8.

    Il y avait donc… 489 absents. Qui n’en ont rien à foutre que l’argent des contribuables français aille encore davantage se perdre dans les méandres bruxellois…

  • Voilà

    Laurent Wauquiez, qui aspire à être le chef de la « droite » :

    « L’islam intégriste prend en otage l’islam. »

    Comme ça c’est clair : il n’a rien compris.

    Rideau.

  • La meilleure défense

    Le député M'jid El Guerrab, mis en examen pour « violences volontaires avec arme » pour avoir sauvagement agressé le cadre socialiste Boris Faure, a démissionné du groupe LREM et a donc cessé d’être membre de la commission des Finances.

    Le Journal Officiel daté de ce jour nous apprend qu’il est devenu membre de la commission de la Défense.

    Ce qui est bien la preuve que la meilleure défense c’est l’attaque…

    D’ailleurs Boris Faure, qui avait été hospitalisé et opéré une première fois après l’agression, a dû être hospitalisé de nouveau ce matin…

  • Il faut que ce soit des “évangéliques”

    Le Conseil national des évangéliques de France (Cnef) a remis un rapport au Conseil des droits de l’homme de l’ONU sur la liberté de conscience en France.

    En 2018, ce sera le tour de la France, notamment, de faire l’objet d’un rapport du Conseil des droits de l’homme. Toute association peut lui fournir des éléments. Ce que fait donc le Cnef.

    Et il fait bien. On aurait aimé que ce fût la Conférence épiscopale. Mais nos évêques n’ont rien à redire sur la liberté de conscience en France…

    Ce sont donc ces protestants qui mettent le doigt sur les atteintes de l’Etat français aux droits de l’homme, aux droits du croyant, et ils suggèrent « 12 recommandations » dont voici les principales :

    - amender la loi Taubira pour permettre aux élus « de ne pas célébrer de mariages de couples de personnes de même sexe lorsque leurs convictions s’y opposent ».

    - ajouter une clause de conscience dans le Code de la santé publique, « notamment dans les domaines de la procréation et de la fin de vie », pour tous les personnels soignants.

    - « veiller à ce que les programmes de l’Éducation nationale […] respectent la liberté de pensée, de conscience et de religion des élèves et de leurs parents, notamment s’agissant de l’éducation à la sexualité et du fait religieux ».

    - exiger que la liberté religieuse, y compris celle de changer de religion, soit garantie pour les réfugiés et demandeurs d’asile. (Les évangéliques ont été en pointe pour dénoncer les pressions exercées sur les migrants qui veulent se convertir au christianisme – jusqu’à l’assassinant d’un Iranien à Grande-Synthe).

    - concernant le délit d’entrave numérique à l’avortement, faire en sorte « que la liberté d’expression et de communication soit garantie pour permettre la mise à disposition d’informations pluralistes sur ce sujet délicat ».

    - concernant « l’homophobie », « redéfinir plus clairement les délits d’expression afin qu’ils ne reposent pas sur une perception subjective de la supposée “victime” mais sur des faits objectifs », et « préserver le pluralisme des opinions et de leur expression publique ».

    Le Cnef déplore d’autre part que « plus aucun ministre du culte ou théologien » ne siège au sein du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) depuis l’an dernier.

    « Nous espérons un rappel à l’ordre de l’ONU envers la France, pour que la liberté de conscience, d’expression et de culte soit réellement respectée », dit Romain Choisnet, directeur de la communication du Cnef.

  • Une nouvelle avancée dans la dictature du genre

    Le 4 août dernier est entré en vigueur un décret daté de la veille, qui renforce la répression de tout propos privé ayant un caractère de « provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe », et « élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime »

    Et pour parachever le grotesque, on précise bien que le décret « substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de “prétendue race” comme cela a été fait dans les dispositions législatives du code pénal par la loi du 27 janvier 2017 ».

    Il est donc désormais interdit de dire du mal de la prétendue race des hommes qui se prétendent femmes et vice versa.

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  • Un radicalisé à l’Elysée

    « Bruno Roger-Petit est nommé conseiller, porte-parole de la Présidence de la République, à compter du 1er septembre 2017. Il aura pour mission de relayer la parole publique de l’Elysée, et utilisera pour ce faire tous les moyens à sa disposition, notamment le compte twitter de la Présidence. »

    Et Bruno Roger-Petit s’est empressé de supprimer son compte Twitter personnel, afin qu’on ne trouve plus les horreurs qu’il y écrivait, particulièrement contre les catholiques, contre la Manif pour tous et tous ceux qui s’opposent au nihilisme actuel.

    Car ce qui caractérise Roger-Petit est qu’il est un frénétique anticatholique.

    Et donc il est sûr qu’il y aura avant la fin de ce siècle un président musulman à l’Elysée. Ce n’est hélas pas impossible. Mais lui il s’en félicite.

  • Indépendant…

    Le nouveau grand maître du Grand Orient de France est Philippe Foussier, « journaliste indépendant ». Sic. Car l'indépendance de la presse est une valeur essentielle de la démocratie.

    Le Grand Orient en profite d'ailleurs pour donner une belle leçon de démocratie : Philippe Foussier était le seul candidat.

    Depuis 1995 et jusqu’à ces derniers mois il était le rédacteur en chef de Communes de France, le périodique, indépendant, bien sûr, des élus locaux…

    Comme son prédécesseur, Philippe Foussier ne pourra rester qu’un an à la tête du GODF parce qu’il y a cinq ans qu’il est au conseil de l’ordre et qu’on ne peut rester que six ans dans l’instance de direction.

    Le convent a d’autre part approuvé le projet d’acquisition d’un immeuble voisin du siège de la rue Cadet, ce qui permettrait de faire passer la surface de 11.000 à 12.200 m2. Sic.

  • Ça ose tout…

    Après le vote de la loi de soi-disant moralisation de la vie polique :