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médias - Page 18

  • Quand les CRS en ont marre…

    Ils balancent… Ainsi leur rapport sur l’accident de Brétigny est-il arrivé au Point… Et la version officielle imposée aux médias aux ordres en prend un coup :

     « À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles. »

    « Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes. »

    On apprend aussi que pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Et que deux autres sections de la compagnie 37, ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, étaient appelées en renfort.

  • « T’as trouvé quoi dans les bagages ? »

    C’est un des messages trouvés sur le téléphone portable d’un des quatre individus interpellés dimanche matin, après le déraillement de Brétigny.

    Officiellement il n’y a eu aucun pillage. Les rumeurs étaient fausses. Il y a eu seulement un vol de téléphone portable au cours d’une brève bousculade…

    Mais l’un des interpellés demandait à son pote ce qu’il avait trouvé dans les bagages…

    D’autre part, les spécialistes (et les syndicalistes) sont stupéfaits de la vérité officielle immédiatement martelée par les autorités sur la fameuse éclisse : c’est un accident.

    Mais Damien de la Croix, dirigeant de l’unité de maintenance des voies de la SNCF, déclare: « Une éclisse, ça ne se desserre pas tout seul. »

    Il se trouve que, le même jour, les anti-nucléaires avaient fait dérailler une locomotive en démontant les boulons d’un rail à Bessines sur Gartempe, dans le Limousin…

  • Maintenant on dit : « des badauds indisciplinés »

    La désinformation de la dictature Hollande, ce n’est pas seulement pour les militants pro-vie et pro-famille. On vient de la voir à grande échelle pour nier l’ignoble équipée des « jeunes » (quiconque connaît Brétigny et ses environs comprend le sens précis de ce mot) hier après l’accident (?) ferroviaire.

    Voici en résumé ce qui a été compilé par F.Desouche :

    Gilles Klein, journaliste (tweet) :

    « Secours à Brétigny se sont fait caillasser par des jeunes. Les CRS ont dû intervenir. »

    Europe 1 :

    Nathalie Michel, du syndicat de police Alliance, raconte la scène au micro d’Europe 1 : A 17 heures 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres. Les policiers décident alors de les chasser, mais les jeunes n’entendent pas se laisser faire. Ils ripostent aux forces de l’ordre en leur jetant des pierres, ainsi qu’aux pompiers en cours d’intervention. Pour s’en débarrasser, les secours sont contraints de demander des renforts.

    Hugo Clément, journaliste (tweet) : « Précision : des policiers me confirment vols et incidents en off. Aucune annonce officielle. »

    Réponse de Jérôme Decrock, membre du bureau du PS : « Si c’est du off, vous ne seriez pas censé le garder pour vous ? »

    Le Monde :

    Tout de suite après l’accident, selon des témoins, une trentaine de jeunes venus des environs ont tenté de voler des effets des victimes, sacs, portables ou autres. Ils ont également caillassé les pompiers qui intervenaient. Puis ils ont été évacués hors du périmètre par les CRS. Les échauffourées se sont poursuivies encore quelques temps, avant de s’apaiser.

    Jérôme Guedj, président socialiste du conseil général de l’Essonne :

    « Des badauds indisciplinés n’ont pas respecté le périmètre de sécurité mis en place par la police, notamment pour la drop zone des hélicos. » Les "badauds indisciplinés" deviennent toutefois ensuite des "crétins inhumains".

    Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, ce matin sur i-Télé :

    Le ministre des Transports a seulement fait état d’« actes isolés », d’« une personne interpellée », d’« une tentative de vol de portable » au préjudice d’un secouriste, de « pompiers qui, par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude ». Mais de « véritables actes commis en bande, non », a dit Frédéric Cuvillier sur I Télé, qui a ajouté qu’« à sa connaissance », il n’y avait pas eu de « victimes dépouillées ».

  • Une apologie de la GPA sur la Chaîne parlementaire

    Un « documentaire » de pure propagande en faveur des mères porteuses (enthousiaste et sans la moindre réserve) est diffusé dix fois sur la Chaîne parlementaire depuis vendredi.

    On supposait que la Chaîne parlementaire respectait les lois de la République. Il n’en est rien. La dictature du lobby homosexualiste s’impose à tous.

    Après tout, la GPA sera forcément légalisée, puisque c’est dans la logique du prétendu « mariage » homosexuel. Donc autant faire la propagande avant, ça prépare les esprits…

    C’est ainsi que dans un pays qui marche sur la tête, l’illégalité est citoyenne… (A la stricte condition d’être dans le « sens de l’histoire », bien sûr. Sinon c’est l’amende et la prison. Le procès du Dr Dor, c’est demain, 13h30 au Palais de justice de Paris, tribunal correctionnel, chambre 31.)

  • Un cauchemar LGBT

    L’Américain Walter Lee Williams a été arrêté au Mexique la nuit dernière. Il était sous mandat d’arrêt fédéral depuis avril pour « exploitation sexuelle d’enfants, voyages [en Thaïlande, Indonésie, Philippines, Polynésie, Pérou, etc.] avec intention de se livrer à des actes sexuels illicites et conduite sexuelle illicite à l’étranger », et défini comme « extrêmement dangereux ». Lundi, le FBI, qui promettait jusqu’à 100.000 $ de récompense pour des renseignements, l’avait placé dans la liste des 10 Américains les plus recherchés.

    D’après les dépêches de l’AFP ou de l’Associated Press, on n’en sait pas davantage, sinon que le prédateur est un ancien professeur de l’université de Californie du Sud. Reuters signale en passant qu’il était professeur d’anthropologie et… d’études sur le genre.

    En fait, Walter Lee Williams est, nous dit le site du lobby homosexuel Frontiers-LA, « un membre éminent de la communauté LGBT de Californie du Sud », dont l’enseignement à l’université était centré sur le « développement du genre ». Et c’est essentiellement grâce à lui que l’USC avait pu acquérir les célèbres Archives gay et lesbiennes ONE (du nom de la première organisation homosexuelle américaine, fondée en 1952), soit plus de deux millions de documents.

    C’est pourquoi, dit Frontiers-LA, « la communauté LGBT », qui s’est tellement battue contre les méchants amalgames, vit aujourd’hui « un de ses pires cauchemars »…

  • Un président pas tout à fait normal

    Il espérait 5 millions de téléspectateurs pour son intervention sur M6, à l’émission Capital.

    Il n’y en a eu que 2,8.

    Un peu moins que ce que fait habituellement l’émission…

  • Ce qu’il va être sans doute interdit de dire sur les homosexuels

    Le 10 février 2012, dans une vidéo diffusée par le site Liberté politique, Christian Vanneste évoquait « la fameuse légende de la déportation des homosexuels » français. Aussitôt ce fut un énorme tollé politico-médiatique, à droite comme à gauche, c’était à qui dénoncerait le plus fort l’ignoble négationnisme de l’horrible homophobe.

    Le procès de Christian Vanneste est programmé pour le 21 février 2014.

    Mais il n’est plus du tout question du « négationnisme ». Car il a fallu se rendre à l’évidence, comme nous étions quelques-uns à le remarquer, que le propos était historiquement vrai.

    Alors on incrimine d’autres de ses propos, dans la même vidéo. Et voici ce que la justice est appelée à condamner comme « provocation à la haine envers les homosexuels » :

    « L'un des fondements principaux de l'homosexualité c'est le narcissisme »… Il y a «de plus en plus» d'homosexuels en politique… « Il y en a de plus en plus à droite, d'ailleurs je remarque qu'ils se font la courte échelle. C'est bien mais je ne pense pas que ce soit en ayant une vie différente de la plupart des gens que l'on peut les diriger »… «Vous en avez beaucoup dans le domaine de la culture, des médias… par là même il y a un renversement de la proportion, du poids de l'homosexualité dans la société, c'est assez fascinant de ce point de vue-là »…

  • Un exemple, parmi tant d’autres, d’aveuglement idéologique

    Lu sur le quotidien suisse Le Temps, sous le titre « La directive qui sème la zizanie à Genève » :

    « Les peines infligées par le parquet pour séjour illégal contribuent à remplir la prison de Champ-Dollon. Le procureur général, Olivier Jornot, assume sa directive alors que la police continue d’arrêter à tour de bras les personnes se trouvant dans des quartiers sensibles, même si aucun flagrant délit ne peut leur être reproché. »

    Il n’affleure même pas l’esprit de ces journalistes que le séjour illégal est un flagrant délit permanent, comme le souligne d’ailleurs le fait que les délinquants qui n’en sont pas sont emprisonnés pour avoir enfreint les lois suisses…

    Le plus grave étant bien sûr que ces journalistes idéologues trompent leurs lecteurs.

  • Un “nouveau” journal ?

    Il s’appelle L’Opinion. Son premier numéro paraît aujourd’hui. Hier a été distribuée une édition gratuite de huit pages. On y apprend que le journal défend une opinion « libérale », avec une ligne « pro-business » et « européenne ».

    Bref, circulez, il n’y a rien à voir…

  • Menteurs jusqu’au bout

    Le 27 mars, un communiqué de la préfecture de police de Paris, amplement répercuté par les agences de presse, faisait savoir que les photos et vidéos de la police sur la manifestation du 24 mars étaient à la disposition de tout journaliste intéressé, et qu’ainsi serait mis fin à la polémique sur les chiffres, car ces documents prouvent bien qu’il y avait 300.000 manifestants, pas un de plus.

    Olivier Figueras, de Présent, a donc demandé à la préfecture de police à voir les documents. Mais il s’est fait balader de poste en poste, pour finir par se retrouver bredouille.

    Voilà pourquoi il n’y a pas eu de suites médiatiques au communiqué de la préfecture. Les journaux ont répercuté la vigoureuse protestation de bonne foi de la police. Et on en est resté là. Puisque la plupart des journalistes sont hostiles à la défense du mariage, et que les autres ont été rembarrés.

    Le résultat final est donc qu’il n’est pas contesté qu’il y a eu 300.000 manifestants car les documents le prouvent…

    C’est de l’information, si l’on veut, mais plutôt du genre démocratie populaire…