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médias - Page 19

  • Ce qu’il va être sans doute interdit de dire sur les homosexuels

    Le 10 février 2012, dans une vidéo diffusée par le site Liberté politique, Christian Vanneste évoquait « la fameuse légende de la déportation des homosexuels » français. Aussitôt ce fut un énorme tollé politico-médiatique, à droite comme à gauche, c’était à qui dénoncerait le plus fort l’ignoble négationnisme de l’horrible homophobe.

    Le procès de Christian Vanneste est programmé pour le 21 février 2014.

    Mais il n’est plus du tout question du « négationnisme ». Car il a fallu se rendre à l’évidence, comme nous étions quelques-uns à le remarquer, que le propos était historiquement vrai.

    Alors on incrimine d’autres de ses propos, dans la même vidéo. Et voici ce que la justice est appelée à condamner comme « provocation à la haine envers les homosexuels » :

    « L'un des fondements principaux de l'homosexualité c'est le narcissisme »… Il y a «de plus en plus» d'homosexuels en politique… « Il y en a de plus en plus à droite, d'ailleurs je remarque qu'ils se font la courte échelle. C'est bien mais je ne pense pas que ce soit en ayant une vie différente de la plupart des gens que l'on peut les diriger »… «Vous en avez beaucoup dans le domaine de la culture, des médias… par là même il y a un renversement de la proportion, du poids de l'homosexualité dans la société, c'est assez fascinant de ce point de vue-là »…

  • Un exemple, parmi tant d’autres, d’aveuglement idéologique

    Lu sur le quotidien suisse Le Temps, sous le titre « La directive qui sème la zizanie à Genève » :

    « Les peines infligées par le parquet pour séjour illégal contribuent à remplir la prison de Champ-Dollon. Le procureur général, Olivier Jornot, assume sa directive alors que la police continue d’arrêter à tour de bras les personnes se trouvant dans des quartiers sensibles, même si aucun flagrant délit ne peut leur être reproché. »

    Il n’affleure même pas l’esprit de ces journalistes que le séjour illégal est un flagrant délit permanent, comme le souligne d’ailleurs le fait que les délinquants qui n’en sont pas sont emprisonnés pour avoir enfreint les lois suisses…

    Le plus grave étant bien sûr que ces journalistes idéologues trompent leurs lecteurs.

  • Un “nouveau” journal ?

    Il s’appelle L’Opinion. Son premier numéro paraît aujourd’hui. Hier a été distribuée une édition gratuite de huit pages. On y apprend que le journal défend une opinion « libérale », avec une ligne « pro-business » et « européenne ».

    Bref, circulez, il n’y a rien à voir…

  • Menteurs jusqu’au bout

    Le 27 mars, un communiqué de la préfecture de police de Paris, amplement répercuté par les agences de presse, faisait savoir que les photos et vidéos de la police sur la manifestation du 24 mars étaient à la disposition de tout journaliste intéressé, et qu’ainsi serait mis fin à la polémique sur les chiffres, car ces documents prouvent bien qu’il y avait 300.000 manifestants, pas un de plus.

    Olivier Figueras, de Présent, a donc demandé à la préfecture de police à voir les documents. Mais il s’est fait balader de poste en poste, pour finir par se retrouver bredouille.

    Voilà pourquoi il n’y a pas eu de suites médiatiques au communiqué de la préfecture. Les journaux ont répercuté la vigoureuse protestation de bonne foi de la police. Et on en est resté là. Puisque la plupart des journalistes sont hostiles à la défense du mariage, et que les autres ont été rembarrés.

    Le résultat final est donc qu’il n’est pas contesté qu’il y a eu 300.000 manifestants car les documents le prouvent…

    C’est de l’information, si l’on veut, mais plutôt du genre démocratie populaire…

  • L’obsession

    Le fameux rapport Fragonard sur les allocations familiales, qui doit être présenté jeudi mais a été dévoilé hier par Les Echos, prévoit, naturellement, de « moduler » les allocations selon conditions de ressources. Bref de détruire le principe même des allocations familiales, comme le veut la pensée unique. Mais avec cette diabolique hypocrisie de prétendre qu’on conserve « le principe d’universalité des allocations familiales » au moment même où on le détruit…

  • Le CSA raisonne toujours selon des critères raciaux

     Le CSA publie son quatrième baromètre de la diversité dans les médias et considère que « les résultats ne sont pas satisfaisants du tout », parce qu’il n’y a que 12% de personnes « non blanches » sur les écrans de télévision. « Il y a quelque chose à changer dans notre système mental », a déclaré Memona Hinterman, depuis peu conseillère du CSA, lequel va auditionner les dirigeants des chaînes « pour obtenir enfin des engagements fermes ».

    Dans mon village il y a 1% de « non-blancs ». C’est grave, docteur ?

  • Censure islamique à la BBC

    L’an dernier, Channel 4 avait censuré un documentaire sur l’islam à la demande d’associations islamiques. Cette fois c’est la BBC (sa Radio 4) qui censure, d’elle-même, une pièce de théâtre radiophonique, sur les « crimes d’honneur ».

    A la fin de la pièce, un personnage devait déclarer :

    « Il y a tant de pressions dans notre communauté, pour voir le bien et nous conduire bien. »

    Cette phrase a été enlevée parce qu’elle « implique que la pression et la motivation pour commettre un tel crime dans une famille vient de la communauté musulmane, ce qui donne une image fausse des attitudes de la majorité musulmane britannique envers les crimes d’honneur », a expliqué, sans rire, un porte-parole de Radio 4.

    « C’est une situation extraordinaire et terrible. Ils disent que la phrase est offensante mais elle ne l’est absolument pas. Nous vivons dans une société en proie à la peur », a répondu l’auteur, Gurpreet Kaur Bhatti, dramaturge… sikh.

    Cet incident permet d’imaginer quel est le niveau d’autocensure des médias (pas seulement britanniques, évidemment), quand il est question de l’islam.

  • Et elle se dit « sidérée » !

    Deux journaux télévisés de France 2 ont été supprimés du site internet de la chaîne, parce que l’on y voyait très brièvement une journaliste (de France 3) sourire à Gilbert Collard qui venait de lui répondre par une plaisanterie.

    Face au tollé que cette affaire a évidemment provoquée, France 2 a fini par remettre les deux journaux sur son site.

    Réaction de la demoiselle qui avait exigé le retrait des journaux :

    « Je suis sidérée par l’ampleur que prend cette affaire microscopique. »

    Sic.

    On devrait lui montrer le chemin des studios de Télé-Pyongyang.

    Et aussi, et d'abord, bien sûr, aux responsables de France Télévision qui ont osé acquiescer à sa demande.

  • « Erratum »

    Erratum et excuses d’un journal qui se veut 100% culture de mort et a laissé passer une insupportable publicité pro-vie…

    « C'est à la suite d’une erreur de fonctionnement interne qu'une publicité de la Fondation Jérôme Lejeune est passée en avant-dernière page de TéléObs. Le "Nouvel Observateur" publie régulièrement des annonces portant sur des causes d'ordre général. Mais il veille à ce qu'elles soient conformes à ses valeurs. Ce n'est pas le cas cette fois-ci : nous demandons à nos lecteurs de nous excuser pour cet impair. Nous veillerons à ce que ce type d’incident ne se reproduise pas. »

    fondation-Lejeune-contre-avortement.jpg

     

  • Et maintenant la délation LGBT

    Je ne connais pas le site germanophone kreuz.net qu’on dit d’extrême droite (mais ça je connais) et tenant des propos outranciers vis-à-vis des homosexuels, des juifs, des protestants, des libéraux, etc.

    Je constate qu’on y trouve une chronique « Homo-Fascismus », et l’on peut comprendre que cette chronique déplaise aux homosexualistes germanophones. Or voici que ces homosexualistes viennent précisément de donner raison à kreuz.net à propos du fascisme homo.

    En effet, l’éditeur Bruno Gmünder, spécialisé dans la littérature LGBT, a lancé un appel à la délation, promettant une récompense de 15.000 € à quiconque lui donnerait les noms des auteurs de kreuz.net.

    Eh bien les appels à la délation, ça fonctionne toujours. Bruno Gmünder a reçu quelque 600 courriels, dont 10% ont été utiles, et ont permis la dénonciation de cinq prêtres. Cinq prêtres dont on dit aussitôt qu’ils risquent des sanctions pénales et ecclésiastiques en Allemagne.

    Mais ce n’est pas si évident que le voudraient les chasseurs de têtes : le premier prêtre est en Pologne, le deuxième a cessé sa collaboration depuis deux ans, le troisième affirme que le site a repris ses textes sans lui demander son avis, le quatrième, qui est suisse, dit également qu’il n’a aucun lien avec le site qui a publié deux de ses textes, et l’on ne nous dit rien du cinquième, mais ce qui semble patent est que les textes de ces prêtres ne tombent sous le coup d’aucune loi.

    Et que l’appel à la délation de Bruno Gmünder n’a servi à rien qu’à dépenser inutilement son argent. Sinon qu’il aura sali brièvement la réputation de quelques prêtres en raison du retentissement donné à l’affaire par le Spiegel… et les évêques allemands.