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« Les capitalistes nous vendront la corde pour les pendre », disait Lénine. Ce qu’ils ont fait. Mais depuis lors un grand progrès a été réalisé : on subventionne directement les bourreaux. En voici un exemple, révélé par le journal suisse Tages-Anzeiger (généralement qualifié de « centre gauche »). Je suppose qu’on en trouverait d’autres chez nous, à l’instar de ces jihadistes qui touchent le RSA.
« 600.000 francs d'aide sociale pour un imam qui prêche la haine », titre le journal.
Il s’agit des aides sociales reçues par cet imam depuis 2004, sans compter celles qu’il a reçues entre 1998 et 2003.
Abu Ramadan est arrivé en Suisse en 1998 comme réfugié libyen fuyant la dictature de Kadhafi – où il était recherché pour islamisme. Il a donc obtenu l’asile, puis un permis de séjour, et les allocations qui vont avec. Et aujourd’hui, à 64 ans, il touche la retraite…
Et il ne parle toujours aucune des langues de Suisse. Il retourne régulièrement en Libye où il prêche à la télévision pour la renaissance du califat.
Le journal publie une des prières :
Oh Allah, je te prie d'anéantir les ennemis de notre religion, d'anéantir les juifs, les chrétiens, les Russes, les chiites, je te demande de les anéantir tous et de rendre à l'islam son ancienne gloire.
... Et ces imbéciles me payent pour que je te demande de les anéantir.
Cet homme est dangereux. Plus dangereux que les terroristes : il veut qu’on les accueille sans condition et qu’on les aide, et il pose en principe que la sécurité des jihadistes passe avant la sécurité nationale...
Dans un texte répercuté dans le monde entier, il écrit que :
• « Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté ». Je n’avais pas encore entendu dire que Jésus Christ fût un islamiste venant dans l’ancien Occident chrétien pour perpétrer des massacres et (ou) y faire régner la charia.
• « Le principe de la centralité de la personne humaine (…) nous oblige à toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale. » La sécurité des jihadistes prime celle de leurs victimes. (Dans la parenthèse il y a une référence aussi absurde qu’hallucinante à Benoît XVI.)
• Les clandestins doivent avoir « la garantie d’une subsistance minimum vitale ». Ils doivent avoir « la liberté de mouvement dans le pays d’accueil, la possibilité de travailler et l’accès aux moyens de télécommunication ».
• « Dans le respect du droit universel à une nationalité, celle-ci doit être reconnue et opportunément assurée à tous les enfants à la naissance. »
• « Il faut reconnaître à la dimension religieuse sa juste valeur, en garantissant à tous les étrangers présents sur le territoire la liberté de profession et de pratique religieuse. » Il est impératif de construire partout des mosquées salafistes.
• Il faut favoriser « le regroupement familial – y compris des grands-parents, des frères et sœurs et des petits-enfants – sans jamais le soumettre à des capacités économiques ».
• Le processus d’intégration « peut être accéléré à travers l’offre de citoyenneté dissociée des capacités économiques et linguistiques ». Tout migrant doit obtenir la nationalité du pays où il se trouve même s’il ne parle pas la langue et n’a aucun moyen de subsistance.
Il n’y a manifestement pas que les Allahouakbar qui sont déséquilibrés…
« Il existe un lien très clair entre le fondamentalisme, le terrorisme et les principes de base de l’orthodoxie islamique. (…) L’Occident doit cesser de déclarer islamophobe la réflexion sur ces questions. »
Le propos est de Kyai Haji Yahya Cholil Staquf, secrétaire général du conseil suprême de la Nahdlatul Ulama (renaissance des oulémas), qui est la plus grande organisation musulmane indonésienne, et donc du monde (40 millions de membres).
La Nahdlatul Ulama accepte le syncrétisme indonésien et les soufis (son secrétaire général en est un) ; elle est concurrencée par la Muhammadiyah (30 millions de membres) qui rejette syncrétisme et soufis et veut purifier l’islam indonésien selon le Coran et la Sunna, mais selon un système éducatif « moderne ». En fait les deux organisations représentent le fameux islam indonésien modéré, qui est de plus en plus battu en brèche par l’islamisme.
Dimanche dernier, un chrétien pakistanais est mort des tortures qui lui ont été infligées à la prison de Lahore où il était détenu. Indaryas Ghulam, 38 ans, faisait partie des 42 chrétiens arrêtés après le lynchage de musulmans suite à un attentat contre deux églises en mars 2015 (19 morts, 70 blessés). Indaryas Ghulam n’était pas plus coupable que, hélas, les deux musulmans tués ce jour-là.
Indaryas Ghulam était marié et il avait trois enfants de 6 à 12 ans.
Selon la police il est mort de la tuberculose. De fait il avait la tuberculose, mais la police est déjà coupable de ne lui avoir prodigué aucun soin adéquat. Et il n’est pas mort de tuberculose, car ses proches ont vu que son corps portait de multiples traces de brûlures et de coupures, comme cela avait déjà été le cas pour quatre chrétiens morts en détention depuis 2009.
Indaryas Ghulam était l’un des prisonniers auxquels le procureur avait promis la liberté immédiate s’ils se convertissaient à l’islam. Il avait refusé d’abjurer. Il avait été condamné à mort.
« Indaryas Ghulam est un martyr chrétien, dont le sacrifice doit nous rappeler à tous la nécessité du combat pour la justice, a déclaré le président de l’Association chrétienne pakistano-britannique, Wilson Chowdhry. Bien qu’il fût innocent et qu’il endurât d’atroces souffrances, il a choisi la mort au lieu de la liberté qui lui était offerte en échange de sa conversion à l’islam. Son courageux exemple et celui de tant d’autres innocents nous pousse à nous opposer à la tyrannie des islamistes du Pakistan et à nous concentrer sur la façon dont vit la minorité dans le pays. »
L’idéologie de la diversité a rendu obligatoire qu’il y ait dans toutes les séries télévisées des Arabes et (ou) des noirs (et en Angleterre des Pakistanais). Ce qui est pratique pour le téléspectateur dans les séries policières, puisque le coupable n’est jamais l’Arabe ou le noir. On peut ainsi concentrer son attention sur les autres personnages.
L’épisode d’une série italienne diffusé hier soir sur Arte franchit un nouveau seuil dans le déni de réalité.
L’action se déroule dans la communauté maghrébine de Turin (on apprend à cette occasion qu’il y a aussi des rues arabo-musulmanes à Turin).
On sait donc d’emblée que l’assassin ne se trouve pas dans cette communauté, bien que tout laisse penser à un « crime d’honneur ».
Mais il se trouve qu’il n’y a que trois autres personnages (trois Italiens, donc). Ce qui réduit considérablement le champ d’investigation pour le téléspectateur. Or l’un est l’amant de la victime, et il est impossible qu’il soit le coupable. Un autre est l’ancien amant de la victime, et il paraît très improbable qu’il puisse être le coupable. Il ne reste donc qu’une seule personne qui puisse l’être, et qui l’est donc : c’est la femme de l’amant.
Personnage qui offre la particularité d’être le seul catholique de l’histoire. Et bien entendu avec des tendances « intégristes » : elle dit le bénédicité, va à l’église en semaine et vouvoie Dieu.
En contrepoint, on voit des musulmans réellement croyants et réellement priants, avec un imam beau et doux dont la prière intérieure ne fait aucun doute et qui a le plus grand respect pour les non-musulmans…
Le 12 juillet dernier, le maire musulman d’Oldham (100.000 habitants, Grand Manchester), Shadab Qumer, a ouvert la séance du conseil municipal par une prière récitée par un imam.
Il s’agissait de prier pour « se souvenir de ceux qui ne sont plus avec nous ». On est prié de comprendre qu’il s’agit des victimes du terrorisme, particulièrement celles de l’attentat du 22 mai à Manchester. Et l’on voit que tout le monde, debout, participe, au moins par l’attitude, à la prière. Et il va de soi que personne n’aurait eu l’idée de protester… Au contraire, tout le monde trouve merveilleux que le maire musulman fasse dire une prière musulmane au conseil municipal d’une ville d’Angleterre.
Boris Le Lay, qui est à l’origine de la diffusion de cette vidéo, remarque que l’imam a notamment récité le verset 32 de la sourate 5 du Coran :
C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre.
C’est un refrain désormais bien connu : l’islam réprouve le meurtre au point que quiconque tue un être humain c’est comme s’il tuait toute l’humanité.
Mais on oublie la précision : « une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre ». C’est donc qu’il est licite de tuer une personne coupable d’un meurtre ou d’une corruption.
Et le verset suivant, soigneusement passé sous silence par tous les apôtres du soi-disant islam modéré, le souligne :
La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.
La corruption, c’est la corruption de la foi musulmane authentique. Par exemple ce que disent les chrétiens, qu’il faut donc crucifier s’ils ne s’en repentent pas. Ou bien sûr ce que disent les chanteurs de la décadence occidentale, dont Ariana Grande est un exemple typique – et c’est à l’issue de son concert à Manchester qu’a eu lieu l’attentat.
En d’autres termes, c’est une malédiction prononcée contre les victimes de l’attentat de Manchester et une célébration du djihadiste qui les a assassiné.
Voilà le double message de cette lecture du coran à Oldham. Le message visible, exotérique, récité en langue arabe et d’apparence magnanime, destiné aux idiots autochtones et le message invisible, ésotérique, destiné aux musulmans qui signifie précisément l’inverse.
Il ne s’agit donc pas de saluer la mémoire des victimes, mais bien celle des djihadistes morts pour Allah. “Ceux qui sont pas avec nous aujourd’hui”, comme le dit l’imam.
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Shadab Qumer a été élu conseiller municipal d’Oldham pour la première fois en 2007, en battant le conseiller sortant Mohammed Masud. Il est devenu maire pour un an en mai dernier, selon le procédé qui consiste à faire maire un conseiller municipal différent tous les ans, dont le rôle est de représenter la municipalité. Comme les Anglo-saxons ont partout des « premières dames », le maire a une « mairesse ». Shadab Qumer a décidé que ce rôle serait partagé entre sa femme Sobia Arshi et sa fille de 16 ans Fiza Shadab.
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Une autre vidéo sur Oldham, qui fait froid dans le dos...
Carla Del Ponte a annoncé le 6 août qu'elle allait quitter la Commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie.
« Au début il y avait le bien et le mal. L'opposition du côté du bien et le gouvernement dans le rôle du mal. », dit-elle au journal suisse Blick. Mais, si elle continue d’accuser le gouvernement syrien d'avoir « perpétré de terribles crimes contre l'humanité », elle estime aujourd'hui que « tous en Syrie sont du côté du mal » :
« L'opposition n'est désormais composée que d'extrémistes et de terroristes. »
Le gouvernement de Malaisie a interdit un livre qui promeut un islam modéré, intitulé "L’islam dans une démocratie constitutionnelle". Il s’agit d’un recueil d’essais de divers auteurs musulmans malaisiens, anciens fonctionnaires et diplomates, publié… à Singapour.
Le vice-Premier ministre Ahmad Zahid Hamidi, en signant l’interdiction, a déclaré que l’édition ou la possession de ce livre « est de nature à saper l’ordre social », et que toute infraction est passible d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans.
Un chrétien pakistanais de 16 ans, Shahzad Masih, accusé de blasphème par une organisation islamiste, a été arrêté, et la police refuse de dire à sa famille où il se trouve.
Shahzad Masih est, comme tant de ses coreligionnaires, balayeur. Dans un hôpital, à Dinga (Pendjab). Le mois dernier, il avait eu une discussion orageuse sur la religion avec un pharmacien de l’hôpital, Ishtiaq Jalali, membre de l’organisation islamiste Tehreek-e-Tuhafaz Islam Pakistan. Un chirurgien l’avait alors tiré d’affaire. Mais Ishtiaq Jalali est revenu à la charge. Le 13 juillet, il est allé voir Nadeem Ahmad, électricien, et surtout président local de Tehreek-e-Tuhafaz, pour lui dire que Shahzad Masih avait « insulté le prophète Mohammad ». Selon le procès verbal de la police, les deux hommes ont fait venir Shahzad Masih dans une boutique de portables, où il a réitéré son « blasphème » devant témoins… Sic. Et Nadeem Ahmad a donc porté plainte…
Le 18 juillet, la famille de Shahzad Masih a été obligée de fuir Dinga, suite aux menaces de mort proférées par la moquée.
Dimanche dernier a été inauguré un cimetière musulman à Saint-Augustin-de-Desmaures, au Québec : 500 places du cimetière Les Jardins Québec appartenant à l'entreprise funéraire Lépine Cloutier Athos. Un cimetière privé, donc, qui s’ajoute à l’actuel unique cimetière musulman du Québec, qui se trouve à Laval, près de Montréal.
Ce même dimanche avait lieu un référendum à Saint-Apollinaire pour la création d’un cimetière musulman à côté du cimetière catholique. Un référendum réservé aux 49 riverains, personnes physiques et morales. L’archevêque de Québec en personne, le cardinal Gérald Cyprien Lacroix, avait fait campagne pour le oui, après avoir appuyé la demande du Centre culturel islamique de Québec par une lettre qu'il lui avait adressée.
Mais il y a eu 19 non, pour 16 oui et un bulletin nul.
« Je suis déçu », a dit le maire, accusant ses administrés de s’être laissés guidés par la peur et la mauvaise information…