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Islam - Page 29

  • Dans le Sinaï

    Au moins 18 policiers égyptiens ont été tués hier près de al-Arich, la capitale provinciale du Sinaï Nord, par une bombe qui a détruit trois véhicules blindés et un autre véhicule. Il s’en est suivi une fusillade, puis les assaillants ont ouvert le feu sur les ambulances, blessant quatre infirmiers.

    L’attaque a été revendiquée par l’Etat islamique.

    Fin juillet, 23 soldats avaient été tués lors de deux attentats suicides à des postes de contrôle.

  • Un nouveau martyr au Pakistan

    Sheron.jpegSheron Masih avait 17 ans. Il était lycéen. Il a été massacré le 30 août dernier par ses camarades musulmans parce qu’il était chrétien et entendait le rester.

    Originaire du village 461 (sic) du Pendjab, il venait d’être admis au lycée de Burewala. Immédiatement les musulmans lui interdirent de prendre de l’eau au même distributeur qu’eux. Comme il désobéit à cet ordre, et qu’il refusa de se convertir à l’islam, il fut battu à mort.

    Naturellement, les professeurs n’ont rien vu…

  • Le Père Tom libéré

    Le Père Tom Uzhunnali, prêtre syro-malabar qui avait été enlevé en 2016 à Aden (Yémen), a été libéré. Il était imberbe, on le retrouve avec une grande barbe blanche…

    Le Père Tom, salésien, était aumônier d’un orphelinat de la congrégation de Mère Teresa, qui avait été attaqué le 4 mars 2006. Quatre religieuses et douze autres personnes avaient été tuées. L'attaque avait été attribuée à al-Qaida, qui avait démenti.

    Selon les déclarations de Mgr Paul Hinder, vicaire apostolique d’Arabie du Sud, cette libération a été principalement obtenue par le sultan d’Oman, qui a déjà réussi à faire libérer d’autres otages d’al-Qaida.

    Le Père Tom est originaire de Ramapuram, village proche de Pala, siège de son évêché syro-malabar. Son oncle avait été le fondateur de la mission catholique à Aden.

    Des rumeurs tristement fantaisistes (mais dans un premier temps attestées par le porte-parole de l’Eglise syro-malabar) affirmaient qu’il avait été crucifié le vendredi saint 2016.

    Le voici aujourd'hui à Oman :

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    Avant on le connaissait comme cela :

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  • A propos de nos chers frères Rohingyas

    Comme on pouvait le lire sur le site même du Vatican, l’exode de musulmans Rohingyas de Birmanie au Bangladesh est dû non pas aux « persécutions contre nos frères musulmans », comme le dit François, mais aux attaques de l’armée Rohingya (Armée du salut Rohingya de l’Arakan - ARSA) contre des postes de l’armée birmane. Ces attaques coordonnées ont commencé le 25 août, au lendemain même de la publication d’un plan de Kofi Annan parrainé par l’ONU, plan qui est pourtant en faveur des Rohingyas.

    Le 25 août, 12 soldats birmans et une centaine de soldats de l’armée Rohingya ont été tués. Depuis, quelque 300 autres personnes sont mortes, environ 125.000 Rohingyas sont passés au Bangladesh (qui est leur pays d’origine), et plus de 25.000 non-musulmans (bouddhistes et hindouistes) ont été évacués.

    AsiaNews a recueilli des témoignages d’habitants des villages où se trouvaient les postes de l’armée birmane attaqués. Tous disent que leur village a été assiégé par des troupes très nombreuses et qu’ils ont eu la vie sauve grâce à la contre-attaque de l’armée régulière qui les a évacués.

    AsiaNews rapporte d’autre part que l’agence Mizzima News, fondée par des journalistes birmans en exil, cite des sources de services de renseignement indiquant que les 23 et 24 août l’Inde et le Bangladesh ont intercepté trois appels téléphoniques entre le commandant en chef de l’ARSA Hafiz Tohar et des islamistes du Pakistan liés à l’Etat islamique. Ces appels auraient joué un rôle clé dans l’offensive du 25 août. Selon les mêmes sources, l’ARSA et ses soutiens, à savoir l’Etat islamique et les services de renseignement pakistanais (qui sont depuis longtemps un fief taliban), avaient précisément pour objectif de torpiller le plan de Kofi Annan que le gouvernement de Aung San Suu Kyi avait l’intention d’appliquer.

    Il n’est pas question de nier que les Rohingyas sont victimes d’injustices de la part de l’Etat (comme toutes les minorités en Birmanie), et de persécutions de la part des bouddhistes, mais parler de cette affaire, comme le fait le pape, en passant sous silence l’existence de l’armée Rohingya et le fait que l’exode est dû à l’offensive de cette armée islamiste, c’est un sommet de désinformation.

  • Godiva halal

    Le chocolatier belge Godiva a été acheté par un groupe turc. Conséquence : il ne fabrique plus de pralines à l’alcool.

    Face aux interrogations des amateurs, la direction répond de façon pitoyable et stupide :

    « La stratégie est d’offrir une même gamme à tout un chacun. Les pralines avec de l’alcool s’adressent uniquement aux adultes or nous avons la volonté d’offrir nos produits de manière universelle au plus large panel possible. »

    Il est urgent que Godiva change de logo… et de nom, puisqu’il s’agit de la fameuse lady Godiva qui selon la légende avait traversé Coventry entièrement nue sur un cheval… Tout au moins il serait indiqué de lui mettre un niqab.

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  • Jeune martyr

    Sharon Masih avait 15 ans, il était lycéen à Burewala, non loin de Multan au sud du Pendjab (Pakistan). Il subissait régulièrement des menaces voire des violences de la part de plusieurs de ses camarades musulmans qui voulaient qu’il se convertisse à l’islam. Le 30 août il a été une fois de plus pris à partie. La violence a monté et à force d’être frappé Sharon Masih s’est écroulé sans connaissance. Il a été transporté à l’hôpital mais il était déjà mort.

    « La violence commence sur les bancs des écoles, dans la mesure où les manuels utilisés à partir de l’école primaire instillent chez les élèves la haine et l’intolérance envers les non musulmans » explique à l’agence Fides Anjum James Paul, enseignant chrétien pakistanais et président de la Pakistan Minorities Teachers’ Association (PMTA).

  • Au Pakistan

    Le Sénat du Pakistan a adopté le « Holly Coran Bill 2017 », projet de loi déjà voté par les députés, qui rend obligatoire l’enseignement du Coran aux enfants musulmans dans les écoles publiques. En sus de l’enseignement de l’islam qui est déjà obligatoire dans toutes les écoles privées ou publiques.

    En soi ce n’est pas étonnant dans une « république islamique », d’autant que la loi ne fait que compléter l’application de l’article 31 §2 de la Constitution : « l’Etat œuvre à rendre obligatoires les enseignements du sacré Coran et de l’islam ».

    Mais c’est un signe supplémentaire de l’islamisation croissante du pays. On notera l’exquise langue de bois du projet de loi : « Il faut faire comprendre le message divin, en assurer la diffusion au sein de la société, encourager la paix et la tranquillité, promouvoir les valeurs humaines suprêmes de vérité, d’honnêteté d’intégrité, de construction du caractère, de tolérance et de compréhension des autres. »

    En théorie la loi ne s’applique pas aux enfants non musulmans. Mais un enseignement obligatoire suppose qu’il est sanctionné par un système de notes et de points. Or rien n’est prévu pour les enfants non musulmans : « Cette loi pourra avoir un impact négatif sur les élèves non musulmans, en ce que nombreux sont ceux qui pourraient être contraints à suivre ces leçons s’il n’existe pas d’autre choix, afin de ne pas perdre de points et d’être ainsi désavantagés en termes de résultats scolaires », remarque Me Nasir Saeed, avocat chrétien et Directeur de l’ONG CLAAS.

    D’autre part, cette loi va compliquer le travail des écoles chrétiennes, souligne auprès de l’agence Fides le P. Inayat Bernard, recteur du Petit Séminaire Sainte Marie de Lahore :

    « Au sein des écoles chrétiennes, nous avons de nombreux enseignants musulmans, attendu que 70% des élèves qui les fréquentent sont de religion islamique. Maintenant, vient s’y ajouter l’étude spécifique du coran, qui sera enseigné en langue arabe. Cela signifiera devoir trouver et embaucher d’autres enseignants et ceci ne sera pas facile pour les instituts chrétiens. En outre, vu la présence de différentes écoles de pensée au sein de l’islam, des conflits pourront intervenir à l’intérieur du monde sunnite en vue de l’attribution et du choix des enseignants, pour ne pas parler de l’effet que cela peut avoir sur les élèves chiites. En somme, la mesure sera probablement porteuse de fortes conflictualités. »

    Il ajoute :

    «  En ce qui concerne la vie ordinaire des chrétiens, je ne crois pas que des problèmes particuliers viendront à se créer. Ceci est notre condition : nous vivons dans une république islamique. »

  • Islam de France

    Il y a un an, le 29 août 2016, avait été annoncée à grands coups de flonflons la création de la Fondation de l’islam de France, présidée par Jean-Pierre Chevènement, et d’une association cultuelle chargée de centraliser l'ensemble des financements nationaux pour le fonctionnement de l'islam et de ses lieux de culte, ainsi que de la formation théologique (et républicaine, bien sûr) des imams.

    Un an après, trois sénateurs constatent qu’en fait il ne s’est rien passé. Le seul fait concret est une subvention de la Fondation aux scouts musulmans…

    L’association cultuelle est elle aussi au point mort. Elle devait notamment recevoir une contribution « volontaire et négociée » de la filière halal. Mais on « négocie » toujours…

    Les sénateurs tirent la sonnette d’alarme parce que « il faut absolument donner aux communautés musulmanes les moyens de ne plus être les otages des terroristes qui dévoient l’islam ». Sic.

    Le problème est que les musulmans ne veulent pas de ces « moyens », comme cela est évident depuis la création du CFCM qui lui non plus n’a jamais fonctionné. Il serait donc plus judicieux de se demander pourquoi ils n’en veulent pas. Mais on ne peut pas. C’est tabou. Tout juste signale-t-on que le bon et modéré Dr Boubakeur refuse qu’on parle d’un « islam de France ». Il faut parler de l’« islam en France », dit-il car… c’est plus respectueux de la loi de 1905…

  • Substitution

    Il y a deux ans, le tribunal administratif avait rejeté le référé islamique contre le maire de Chalon-sur-Saône qui avait décidé de supprimer les menus sans porc dans les cantines. Le jugement ne concernait que « l’urgence », pas le fond.

    Le tribunal administratif a rendu son jugement sur le fond ce matin. Il a suivi l’avis du rapporteur public qui, à l’audience de vendredi, avait lui-même suivi l’avis de la Commission nationale consultative des droits de l'homme et celle du Défenseur des droits. Autrement dit il a renversé l’opinion commune et la jurisprudence, en annulant la décision de la ville de Chalon-sur-Saône et en donnant raison au lobby islamique.

    Jusqu’ici, tant le « défenseur des droits » que les tribunaux, jusqu’au Conseil d’Etat (qui avait donné raison à Jacques Bompard à Orange), avaient souligné qu’aucun texte de loi n’oblige les municipalités à aménager les repas en fonction des convictions religieuses (ce serait d’ailleurs contraire à la l’esprit de la loi de 1905) et une circulaire de 2011 précise que « le fait de prévoir des menus en raison de pratiques confessionnelles ne constitue ni un droit pour les usagers ni une obligation pour les collectivités ».

    Désormais tout cela a changé. La laïcité, c’est garantir le respect des coutumes islamiques à l’école de la République…

    Mais ce combat pour des repas de substitution au porc est déjà obsolète. Et la prochaine revendication ne va pas tarder : il faut que la viande soit halal. C’est d’ailleurs ce que disait le maire de Chalon en 2015 : « A Chalon, 40% des enfants ne mangent plus de viande parce que ce n’est pas halal. »

    Il était donc évident que l’action à propos du porc n’était qu’une première étape.

    Il paraît que c’est maintenant 50% des enfants qui étaient « discriminés » par la décision de la municipalité… Il est clair que si la majorité des enfants exigent de la viande halal, la municipalité devra s’incliner. Au nom de la démocratie. Et les autres enfants seront des dhimmis. Du moins tant qu’il y en aura d’autres. Un ancien principal de Marseille vient de publier un livre sur ce qui se passe dans les collèges et lycées de la ville. Il écrit que « le refus de manger de la viande qui n'était pas halal était devenu la norme en 2013, lorsque j'ai quitté le collège Izzo », et que si en 2000 la moitié des élèves respectaient le ramadan, « en 2013 nous étions à 90% ou 95% ».

    Ce n’est plus le menu qui est de substitution…

  • Pologne

    « La Pologne a envoyé une requête à la Commission européenne lui demandant de mettre fin à sa procédure d'infraction en cours. Si elle devait se poursuivre, la Pologne est prête à plaider sa cause devant la Cour de justice de l'Union européenne », a déclaré le ministère polonais des Affaires étrangères dans un communiqué publié hier.

    Le communiqué souligne également que la Commission mélange « malheureusement » la question des migrants avec d’autres questions de « nature politique » sur l’état de droit. Et il accuse le vice-président Frans Timmermans de « faire preuve d’ingérence dans les affaires intérieures de la Pologne en prenant une position similaire à celle de l’opposition ».

    Dans le même temps, le ministre polonais de l’Intérieur Mariusz Błaszczak a déclaré que la politique migratoire de l’UE ne fait qu’aggraver la menace terroriste :

    « Paris, Stockholm, Bruxelles, Berlin, Manchester, Barcelone : combien d'autres villes européennes doivent-elles être frappées par les terroristes pour que l'Union européenne se réveille ? Pour que la Commission européenne reconnaisse que l’accueil aveugle de tous ceux qui viennent sur les rivages européens c’est comme passer une corde autour du cou de l’Europe ? »

    Le 17 août, le même ministre déclarait :

    « Chez nous en Pologne, nous n’avons pas de communautés musulmanes, pas d’enclaves qui constituent une base naturelle pour le développement des terroristes islamistes. Nous faisons tout notre possible pour que notre pays soit en sécurité et ne voulons pas accueillir de migrants. »

    Et le gouvernement est en phase avec la population. Selon un sondage, 57% des Polonais accepteraient très volontiers de perdre des fonds européens pour prix de la non-acceptation de migrants musulmans, et 51% (ceci est une grande première) préféreraient quitter l’UE que d’accepter les quotas de migrants.