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Islam - Page 33

  • Manuel Valls et les habitant.e.s

  • Le ramadan de l'école laïque

    La République ne reconnaît aucun culte, mais pas son école… (et ce n’est évidemment qu’un exemple parmi d’autres).

  • 35 martyrs

     Deux autocars transportant des familles coptes qui se rendaient en pèlerinage au monastère de saint Samuel le Confesseur ont été attaqués par des jihadistes. Au moins 35 morts, dont de nombreux enfants, et 25 blessés.

    Tweet de l’évêque Jérémie, président du Centre culturel copte au patriarcat du Caire :

    L'attentat a été revendiqué par l'Etat islamique.

    Les autorités en restent à 28 morts.

    Lundi

    Les jihadistes ont demandé à tous les passagers, un à un, de prononcer la chahada (donc d'abjurer). Tous ont refusé et ont été abattus l'un après l'autre. Ce sont donc tous de très évidents martyrs.

  • Aux Philippines

    A la suite de combats entre l’armée philippine et les islamistes du groupe Maute (succursale de Etat islamique) dans l’île de Mindanao, les ilsamistes ont lancé un assaut contre la ville de Marawi. Ils ont attaqué notamment la cathédrale et l’évêché, pris en otage le vicaire général et des fidèles, puis ont incendié la cathédrale. Témoignage de l’évêque, Mgr Edwin De la Pena, qui a échappé aux terroristes parce qu’il était en visite pastorale dans un village :

    « Aujourd’hui est la fête de notre Prélature, la fête de Notre-Dame Secours des Chrétiens. Les fidèles se trouvaient dans l’église pour prier la Très Sainte Vierge Marie au dernier jour de la neuvaine. Les terroristes ont fait irruption dans l’église, ont pris les otages et les ont conduits dans une localité inconnue. Ils ont pénétré dans la résidence de l’évêque et ont enlevé le vicaire général, le Père Teresito Soganub. Ensuite, ils ont incendié la cathédrale et l’évêché. Tout est détruit. Nous sommes consternés. »

    Le Président Duterte a interrompu sa visite à Moscou pour retourner aux Philippines. Le groupe se trouve retranché à Marawi, incendiant également la prison et deux écoles alors que l’armée a encerclé la ville. Le maire de la ville a demandé aux militaires de ne pas bombarder la cité dans laquelle vivent quelques 200.000 civils, en majorité musulmans.

  • Résistance

    Titre du Monde

    Manchester.jpeg

    L’esprit de résistance, ça consiste à déposer des nounours, des fleurs et des bougies, et à condamner l’islamophobie et les amalgames.

    Le terroriste s’appelait Salman et il était d’origine libyenne mais ça n’a aucun rapport avec l’islam. Comme nous l’a appris notre ministre de l’Intérieur, c’était « quelqu'un de nationalité britannique, d'origine libyenne mais qui avait grandi en Grande-Bretagne et qui, tout d'un coup, après un voyage en Libye puis sans doute en Syrie, se radicalise et décide de commettre cet attentat ».

  • Mûrs pour la dhimmitude

    Titre du Huffington Post :

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    Après Sevran et La Chapelle-Pajol, les femmes n’ont-elles plus droit de cité dans nos quartiers populaires?

    On lit ensuite :

    Les femmes sont devenues les premières victimes de la montée du sexisme, de l'insécurité et du harcèlement de rue. À Paris le phénomène a pris une ampleur inédite.

    Tout l’article est de la même veine. On y parle d’une « situation d’un autre âge », de la façon dont on pourrait lutter contre cette « gangrène sexiste », contre les « tenants du machisme archaïque »…

    Mais il n’y a pas un mot sur le processus qui a conduit à cette situation. Pas la moindre allusion au fait que les quartiers « populaires » sont ceux d’autres peuples, et surtout d’une autre religion. D'une religion qui fait sa loi, qui s'appelle charia. Le mot « islam » est devenu tabou. Le « sexisme » est une calamité sans origine. Qu’en France des rues soient interdites aux femmes est une sorte de catastrophe naturelle du XXIe siècle.

    Si l’on s’astreint à écrire des articles entiers sur ce phénomène sans employer le mot islam (celui-là n’est pas le seul, loin de là, mais il a le titre le plus violemment mensonger), c’est qu’on est mûr pour la dhimmitude.

    Et pour enfoncer le clou, on nous prévient :

    Paris : harcèlement de rue, attention aux amalgames !

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  • Avant qu’il ne soit trop tard

    Un millier de personnes a défilé le 15 mai dans les rues de Jayapura, la capitale de la province indonésienne de Papouasie, à l’appel de la « Guilde des Eglises ». Pour manifester leur inquiétude face à l’activisme croissant des mouvements islamistes dans une province à 83% chrétienne, et demander leur dissolution.

    Au premier rang il y avait l’évêque catholique Mgr Leo Laba Ladjar. Il a expliqué que si les organisations islamistes présentes en Papouasie n’ont pas encore fait parler d’elles, « nous voulons que les gens soient conscients de leur présence avant qu’il ne soit trop tard ».

    Les évêques de France (et d’Allemagne, et d’Italie, etc.) devraient inviter Mgr Ladjar…

  • Remplacement

    La municipalité du Havre (c’est-à-dire l’actuel Premier ministre) a donné à des islamistes le presbytère de la paroisse Saint-Jean Baptiste pour y installer une école musulmane.

    « La croix ornant l’édifice a d’ores et déjà été retirée et les travaux viennent tout juste de démarrer. »

  • Eurodictature

    La Commission européenne a prévenu hier que les pays qui n’auront pas accepté des demandeurs d’asile d’ici juin encourront une procédure de sanction.

    Beata Szydlo, Premier ministre de Pologne, a immédiatement répondu qu'il n'y a pour son pays « aucune possibilité de prendre des réfugiés. C'est la position du gouvernement. Nous disons très clairement : il n’y a aucun accord du gouvernement polonais pour se voir imposer de force des quotas de réfugiés ».

    On constatera que la Commission européenne n’attend même pas le jugement de la Cour européenne de Justice pour proférer ses menaces. Car l’affaire est pendante depuis que la Hongrie et la Slovaquie ont porté plainte contre les quotas. Dans une démocratie, on attendrait le verdict de la Cour suprême…

  • Divergence

    Le 12 mai dernier, les archevêques syro-catholique et syro-orthodoxe de Mossoul et l’archevêque syro-orthodoxe de Bartellah ont signé un texte par lequel ils demandent la création d’une zone protégée réservée aux chrétiens dans la plaine de Ninive, à placer sous protection de l’ONU, et jouissant d’une autonomie administrative. Une revendication déjà formulée plusieurs fois par tel ou tel responsable chrétien depuis la prise de la plaine par l’Etat islamique.

    Dès le lendemain, l’Eglise chaldéenne a publié un communiqué pour souligner que cette prise de position ne reflète pas la position du patriarcat de Babylone des Chaldéens. Le communiqué renvoie à une déclaration récente du patriarche, S.B. Louis Raphaël I Sako, indiquant que la priorité est que les chrétiens puissent rentrer chez eux, et que l’urgence est donc de reconstruire les infrastructures. C’est seulement après la réinstallation des chrétiens qu’on pourra éventuellement envisager de demander la création de nouvelles unités administratives autonomes.

    En fait le patriarche chaldéen est depuis toujours opposé à un tel projet, qu’il appelait déjà le « piège » d’un « ghetto chrétien » quand il était archevêque de Kirkouk. L’Eglise chaldéenne considère qu’elle est l’Eglise d’Irak, de tout l’Irak, et de fait elle a des fidèles un peu partout dans le pays, même si ces dernières années la majorité a fui au Kurdistan ou à l’étranger (alors que les Eglises syro-catholique et syro-orthodoxe sont, en Irak, essentiellement présentes dans la plaine de Ninive).