Carla Del Ponte a annoncé le 6 août qu'elle allait quitter la Commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie.
« Au début il y avait le bien et le mal. L'opposition du côté du bien et le gouvernement dans le rôle du mal. », dit-elle au journal suisse Blick. Mais, si elle continue d’accuser le gouvernement syrien d'avoir « perpétré de terribles crimes contre l'humanité », elle estime aujourd'hui que « tous en Syrie sont du côté du mal » :
« L'opposition n'est désormais composée que d'extrémistes et de terroristes. »
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Et Carla des Ponte avec tous les sbires de l'ONU est du côté de l'hyper-mal, c'est à dire de ceux qui auraient les moyens de faire le bien et qui font le mal en toute connaissance de cause. Qu'elle s'occupe d'enquêter sur le soutien aux terroristes de la part des gouvernements occidentaux et de la part d'Israël. Là elle deviendrait utile.