Le vendredi saint, Le Figaro, faisant écho à une étude de La Libre Belgique , publiait un article intitulé : « L’islam, première religion à Bruxelles dans vingt ans. » Et même peut-être dans quinze ans, lit-on ensuite.
Mohammad est chaque année, depuis 2001, et de loin, le premier prénom donné aux garçons. 75% des musulmans se disent pratiquants. Certains quartiers sont totalement arabo-musulmans. Jean-François Bastin, devenu Abdullah Abu Abdulaziz, fondateur du parti des jeunes musulmans, déclare : « Moi je dis aux musulmans : perdez cet esprit de colonisé ! Les colons se sont fait bouter hors d’Algérie, c’est peut-être ce qui se passera ici. » Il ajoute que les immigrés en ont déjà trop fait pour s’intégrer, et que « c’est maintenant à la Belgique de s’adapter ».
Commentant cet article, et faisant allusion au dernier éditorial de La Nef , Bernard Antony écrit : « L’islam n’est peut-être pas un ennemi n°1, pas plus que l’eau de la rivière, mais quand ça monte trop, cela s’appelle inondation. Et lorsque les flaques islamiques majoritaires et débordantes de Bruxelles, de Roubaix et autres lieux finiront par se rejoindre cela s’appellera un Kosovo. »
L’Observatoire de l’islamisation note qu’en terme de pratique les musulmans sont déjà majoritaires à Bruxelles, et donne le lien (musulman) qui dresse la liste des 47 mosquées (bien : mosquées et centres islamiques, pas des salles de prière) déjà présentes dans la capitale belge.
Commentaires
Lapinos a raison, c'est nous les méchants, il faut s'entendre avec les musulmans, leur payer la jizya, leur donner nos filles, et nos fils pendant qu'on y est, et avec un peu de chance ils nous laisseront vivre une belle vie de dhimmis heureux.