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Islam - Page 212

  • Le traumatisme de la radiologue musulmane

    Une radiologue musulmane a été licenciée du Service National de Santé du Royal Berkshire Hospital de Reading (à l’ouest de Londres) parce qu’elle refuse de se conformer aux règles d’hygiène élémentaires en milieu hospitalier qui consistent à se laver les mains et les avant-bras jusqu’aux coudes.

    Elle crie à la « discrimination religieuse » : l’islam interdit aux femmes de dévoiler tout ou partie de leur corps en public. Elle a déclaré au Daily Telegraph qu’elle voulait faire supprimer cette obligation de se laver les mains jusqu’aux coudes « afin que les autres femmes musulmanes ne connaissent pas le même traumatisme »…

  • La Ligue du Nord et les mosquées

    Roberto Cota, député de la Ligue du nord, est l’auteur principal et le rapporteur d’une proposition de loi sur les conditions de construction et d’ouverture de nouvelles mosquées en Italie.

    Il prévoit notamment que la compétence pour délivrer les autorisations d’ouverture pour les nouvelles mosquées reviendra aux régions, que la commune concernée aura l’obligation d’organiser un référendum, qu’une mosquée ne pourra pas être construite à moins d’1 km d’une église, que l’imam doit prêcher en italien, que toute activité non liée au culte (écoles, centre de formation…) soit interdite dans les mosquées…

    Voir l’interview de Roberto Cota sur Novopress.

    Si le député se garde bien de le dire, bien sûr, on le dira pour lui : ces mesures prises ensemble aboutissent de facto à l’impossibilité de construire une mosquée…

  • Suicide

    Lu dans les Dernières Nouvelles d’Alsace du 29 août :

    Ce sera la plus grande mosquée de Mulhouse et le choix de son emplacement n'est pas anodin. Gérée par l'Association des Musulmans d'Alsace, rue Neppert, An-Nour sera construite rue d'Illzach, derrière le Kinepolis. La future grande mosquée de Mulhouse sera identifiable depuis l'entrée de ville, et cette visibilité nouvelle, peut être interprétée comme un acte politique fort de la part de la municipalité : celui d'une reconnaissance sociale offerte à une religion désormais inscrite de longue date et pour durer dans la ville.

    « Il y aura une école avec dix salles de classe pour l'enseignement de l'arabe et de l'islam et le soutien scolaire. Nous aurons aussi une salle de conférence polyvalente qui servira à faire connaître la religion. Nous recevons déjà des classes alsaciennes dans le cadre des cours de connaissance des religions. Il y aura également une bibliothèque, un espace multimédia, ainsi que trois commerces, dont une boucherie hallal et une supérette, gérés par l'association. »
    La Ville s'apprête, lors du prochain conseil municipal le 15 septembre, à allouer une subvention de 235 000 €, correspondant à la mise à disposition du terrain.

    « Ce qui est possible aujourd'hui, ne l'était sans doute pas il y a 20 ans », reconnaît le centriste Bernard Stoessel, adjoint au maire de Mulhouse, qui compte les cultes et les édifices cultuels parmi ses délégations. « L'évolution s'est faite dans le sens d'une meilleure connaissance de l'islam de la part des Mulhousiens "de souche". Ils aperçoivent le caractère pacifique et non-intégriste de la majorité d'entre eux. Les responsables des autres religions ont aussi joué un rôle important en créant le Groupe d'amitié islamo-chrétiens. »

  • Les enfants du ramadan

    Dans Le Parisien d’hier, cette réflexion de Rachid Djouadi, professeur de gestion à Aubervilliers : « Le ramadan a forcément des effets sur la condition physique des gamins. Cela se traduit par des retards en cours et, en fin d’après-midi, par un manque d’attention et une envie de dormir ! L’avantage, c’est que pendant ce temps, on a la paix ! Durant le mois de jeûne, il y a moins d’indiscipline ».

    Autre citation, de Kawther, 11 ans et demi, qui entre en sixième dans un collège marseillais : « L’année dernière, quand j’étais en CM2, il y en avait 15 ou 16 élèves de ma classe, sur 23, qui le faisaient. Moi, c’était juste le week-end à la maison. Mais cette fois-ci, ce sera tous les jours. »

  • La vie Auchan, elle change la vie

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    Novopress Aquitaine, constatant que l’hypermarché Auchan du centre ville de Bordeaux s’est mis ostensiblement sous le signe du ramadan (comme tant d’autres) et que le rayon livres fait la promotion de l’islam, s’en est inquiété auprès du responsable de ce rayon. Lequel a répondu que l’islam étant la deuxième religion de France on ne pouvait pas l’ignorer.

    A la question de savoir ce que l’enseigne fait pour les pratiquants des autres religions, il répond : « Nous agissons aussi pour les chrétiens, par exemple notre enseigne vend du foie gras à Noël. »

    Sic.

    Et en outre sans dire que c’est Noël. Car dans les hypermarchés, vers la mi-décembre, il n’y a aucune allusion à Noël, et les banderoles disent « Bonnes fêtes ».

  • L’Ecosse terre d’islam ?

    Les musulmans d’Ecosse (Scottish Islamic Foundation) préparent une campagne « radicale » (sic) afin de jouer un plus grand rôle dans la vie du pays, changer la perception de leur religion, et promouvoir l’Ecosse comme un pays idéal comme lieu de vie et d’investissement pour les musulmans.

    Hamza Yousaf, directeur des affaires publiques de la SIF, explique : « Nous croyons que la nature même de l’islam s’adapte au cours des siècles (sic), mais ce que nous sommes en train de faire est de nous moderniser nous-mêmes et de nous rappeler à nous-mêmes ce que l’islam dit réellement, à la rencontre du peuple d’Ecosse. »

    Il ajoute :

    « Notre but est de faire changer les gens dans leur façon de penser, et d’avoir à l’esprit ce qu’est notre devoir dans ce pays. La mosquée doit être l’interface pour cela, et les séminaires d’enseignement islamique des madrasas sont la clé. »
    C’est clair.

    Eh bien le gouvernement écossais soutient à fond le travail de la SIF, et lui a accordé une subvention de 200.000 livres (265.000 €) pour sa campagne. « Nous croyons qu’il est juste de célébrer la diversité qui existe en Ecosse à travers des événements comme celui-là », déclare son porte-parole. En soutenant cette initiative, nous pourrons aussi établir des liens entre les communautés et détruire les mythes qui sapent la cohésion de la communauté. »

    Fermez le ban.

    (merci à François Desouche. source)

  • Allemagne terre d’islam

    “Nouvelles de l’ambassade d’Allemagne”, 28 août. Sans commentaire.

    Richement illustré et facile à lire, le premier manuel scolaire d'enseignement de l'islam en Allemagne a fait hier son apparition dans les classes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Bavière, Basse-Saxe et Brême. Intitulé "Saphir", il est destiné aux élèves des premières classes de collège.

    Le nouveau manuel devrait aider les enseignants à préparer leurs cours, puisqu'ils ne disposaient jusqu'à présent que du programme et de leur créativité pédagogique. Sa publication intervient à un moment charnière : l'enseignement de l'islam, dispensé depuis 1986 de manière éparse et très inégale, doit devenir une discipline normale d'enseignement. Tel est, en tout cas, ce dont ont convenu en mars dernier les représentants de l'Etat, des Länder et des organisations musulmanes lors de la troisième Conférence allemande sur l'islam. Tous les Länder ne sont toutefois pas encore prêts à introduire cet enseignement à l'école. D'autres, en revanche, y voient un très bon soutien à l'intégration des élèves musulmans.

  • La mosquée de Woippy

    La mosquée de Woippy, qui peut accueillir jusqu’à 1.800 personnes, a été inaugurée samedi dernier « en présence de centaines de fidèles ». Il y avait là l’imam qui a récité des versets du Coran, les sous-préfet représentant la République soumise, et le député-maire François Grosdidier, très fier de sa réalisation au service de la paix, de la tolérance, de l’ouverture, du dialogue, etc.

    Car la mosquée de Woippy a été entièrement financée par la municipalité.

    Le sous-préfet a fustigé ceux qui ont osé parler d’illégalité dans ce financement, et il a précisé : « En Alsace-Moselle, la loi autorise les collectivités publiques à participer au financement des édifices religieux. »

    Ah bon. Mais le nom officiel de la mosquée est « centre interculturel ». Ce n’est donc pas officiellement un « édifice religieux ».

    Et quand on demande à François Grosdidier pourquoi il appelle ainsi le bâtiment, et non pas simplement « mosquée », il répond :

    — Pour une raison juridique. Une mosquée ne peut être qu’un équipement de droit privé. Il s’agit ici d’un équipement public. Concernant l’architecture ou la configuration, la salle de prière de cet équipement est identique à celle d’une mosquée.

    Mosquee.jpg

    L’évêque de Metz et la mosquée de Farébersviller

    A l’occasion de cette inauguration, Le Républicain lorrain du 30 août faisait le point sur les mosquées en Lorraine, mettant l’accent sur la première grande mosquée de la région, celle de Farébersviller (photo).

    Le chantier, lit-on dans l’article, « n’a été financé que par des dons privés, dont 50.000 F (7.600 €) puisés dans la cassette personnelle de l’évêque de Metz, Mgr Paul Joseph Schmitt » (mort en 1987).

    Car non seulement les évêques font la promotion de l’islam au nom de la tolérance et du dialogue, mais celui de Metz, il y a plus de vingt ans déjà, a financé la mosquée. Où l’on apprend aux enfants que le jihad contre les infidèles est une obligation (car le Coran le souligne expressément), et qu’on ne laissera la vie sauve aux chrétiens que s’ils s’acquittent d’un tribut. Ce que l’évêque de Metz avait donc fait…

  • L’imam de Créteil

    Les RG avaient produit des rapports montrant que Ilyes Hacene, imam à Créteil, et pressenti pour devenir l’imam de la grande mosquée de la ville (qui est en voie d’achèvement), était un salafiste aux prêches particulièrement virulents. La préfecture espérait qu’il soit expulsé. La commission départementale d'expulsion du Val-de-Marne (Comex) avait été saisie.

    En mars, la Comex a donné un avis défavorable à son expulsion. Le ministère de l’Intérieur a suivi la Comex. On apprend aujourd’hui par la préfecture cette décision qui date d’il y a « une quinzaine de jours ».

    Ilyes Hacene sera donc l’imam de la grande mosquée de Créteil.

    Bon ramadan.

  • La dhimmitude britannique sans fin

    Les conseillers municipaux de Tower Hamlets,un quartier de Londres qui a rang de municipalité autonome, sont instamment invités à respecter le jeûne du Ramadan à la mairie pendant tout le mois de septembre.

    Les réunions sont limitées à sept ce mois de ramadan, et elles incluent une pause de 45 minutes au coucher du soleil pour la prière et le repas de rupture du jeûne (repas halal fourni par la municipalité). Les non-musulmans devront attendre que les musulmans aient terminé leur repas pour prendre leur habituelle collation. Sic : sinon ils seraient capables de piller le buffet halal. Non, ce n’est pas une blague.

    Précédemment, le traditionnel « repas de Noël » avait été renommé « repas de fête ».

    Le président du conseil municipal s’appelle Lutfur Rahman. Son principal adjoint s’appelle Siraju Islam. 36% des habitants de Tower Hamlets sont musulmans. Ce quartier de Londres est d'ores et déjà terre d'islam.