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Islam - Page 215

  • La grande mosquée de Marseille

    L’association pilotant le projet de grande mosquée de Marseille a retenu le cabinet Bureau Architecture Méditerranée (BAM) pour construire le complexe sur les 8.600 m2 des anciens ateliers de l’Opéra situé dans le quartier Saint-Louis (sic). Il y aura notamment une salle de prière de 3.300 m2 sur deux étages, une école coranique de 6 classes, un minaret de 25 mètres, avec un signal lumineux pour remplacer le  muezzin.

    (Plus de précisions sur l'Observatoire de l'islamisation)

  • Le mariage musulman reconnu par la loi en Allemagne

    Les Allemands pourront, à partir de l'an prochain, se marier religieusement sans s'être auparavant mariés à la mairie… mais ce mariage ne sera pas reconnu par l'Etat.

    Cette réforme, votée l'an dernier par les députés allemands dans le cadre d'une loi sur l'état-civil, était passée totalement inaperçue depuis lors, mais a été révélée hier par le Süddeutsche Zeitung.

    Depuis 1875, les prêtres et pasteurs allemands n'avaient pas le droit, sous peine de sanctions pénales, d'unir par le mariage religieux un couple qui ne se serait pas marié civilement au préalable (Bismarck avait précédé les anticléricaux français).
    En supprimant ce point de la loi, le législateur allemand avait argué début 2007 que le contexte actuel n'avait plus rien à voir avec celui de la fin du XIXe siècle, et qu'il n'était désormais plus nécessaire d'imposer par la loi la prééminence du civil sur le religieux.

    « Il est difficile de prévoir si cette réforme va avoir des conséquences importantes », dit à l'AFP Dieter Schwab, professeur de droit de la famille à l'Université de Ratisbonne. « On peut supposer que peu de couples en feront usage, car s'ils ne se marient pas à la mairie, ils n'auront aucun des avantages du mariage en terme de patrimoine, d'héritage, de fiscalité ».

    Comme les Eglises chrétiennes n’avaient rien demandé, il est probable qu’il s’agisse en fait d’une mesure destinée à satisfaire les islamistes.

    En France, les maires constatent que les couples musulmans qui se marient ne demandent presque jamais le certificat attestant qu’ils sont passés à la mairie. Cela veut dire qu’ils sont déjà mariés devant l’imam, en contravention avec la loi. Les Allemands abolissent cette loi, qui permettra aux musulmans qui rejettent le mariage civil laïque des « mécréants » de se marier seulement devant l’imam. Ceci implique naturellement que les affaires de divorce et autres affaires matrimoniales ne passeront plus par les juridictions civiles (puisque ces couples ne seront pas civilement mariés) mais par des tribunaux islamiques.

  • Gag

    Le Conseil français du culte musulman exprime son "plaisir" et sa "satisfaction" après la libération des otages, dont Ingrid Betancourt, et "espère que cette bonne nouvelle marquera le début d'un processus qui devrait bénéficier à tous les otages à travers le monde et afin que les guerres et les injustices soient bannies".

  • Geert Wilders poursuivi en Jordanie

    Comme on pouvait s’y attendre, suite à la plainte du groupe « Campagne pour le Prophète » constitué en Jordanie par une trentaine de médias, le procureur général d'Amman a retenu mardi cinq chefs d'accusations à l'encontre de Geert Wilders pour son film Fitna et émis un ordre à comparaître à son encontre.

    Il est notamment accusé d'"insultes au prophète, de publications de documents et dessins qui blessent les sentiments religieux et de violations de lois sur l'internet".

    Selon la procédure, le ministère jordanien des Affaires étrangères informera l'ambassade de Jordanie à Amsterdam de l'ordre à comparaître. Celle-ci l'adressera à son tour au député qui a 15 jours pour se présenter devant un tribunal en Jordanie. Le cas échéant un ordre d'amener sera issu via Interpol. Le député est passible de trois ans de prison en Jordanie. Pays qui s'applique à montrer l'image d'un islam modéré et tolérant...

    La veille de cette décision de la justice jordanienne, le parquet national des Pays-Bas avait estimé lundi que ce film, comme les déclarations du député à la presse en marge de sa diffusion, n’étaient pas de nature à justifier des poursuites.

    (7 sur 7, via Bivouac ID)

  • La dhimmitude britannique sans limites

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    La police de Tayside, en Ecosse, a imprimé cette carte postale pour diffuser son nouveau numéro de téléphone et l’a notamment distribuée aux commerçants pour qu’ils l’affichent.

    Le joli petit chien que l’on y voit s’appelle Rebelle. Il est en quelque sorte devenu la mascotte de la police de Tayside. Né début décembre, il a suivi le premier entraînement de chiens de la province, et il est devenu très populaire, au point que les visites sur le site de la police ont explosé.

    Mais les musulmans protestent : le chien est un animal impur. Et ils protestent de façon assez énergique pour que certains commerçants de Dundee aient jugé plus prudent de ne pas afficher la carte postale.

    La police de Tayside a un « conseiller en diversité » (sic), mais on n’avait pas jugé utile de le consulter pour élaborer cette publicité.

    Ce que regrette le conseiller municipal de Dundee Mohammed Asif, qui est également membre du conseil de la police. Il a donc convoqué un conseil sur le sujet, avec le chef de la police. A la suite de quoi le chef de la police a battu sa coulpe. Il a dit qu’il n’avait pas pris conscience que la carte postale pouvait poser un problème, qu’il n’avait voulu offenser personne et que bien sûr s’il avait su il n’aurait pas permis de publier cette carte, que c’était une erreur que de ne pas avoir saisi le conseiller en diversité, et que la police présentait ses excuses à quiconque se sentait offensé…

    (Daily Mail, via Bivouac ID)

  • Wilders ne sera pas poursuivi

    Le ministère public néerlandais indique dans un communiqué qu’il ne poursuivra pas Geert Wilders pour incitation à la haine au sujet de son film “Fitna” : "Le parquet national considère que les déclaration de Monsieur Wilders dans un certain nombre de journaux ainsi que son film Fitna ne sont pas délictueuses. Il ne sera donc pas poursuivi", car ses déclarations "s'inscrivent dans le cadre du débat public". "Le parquet a également décidé qu'il n'y avait rien de condamnable pour incitation à la haine ou à la discrimination". "Dans un débat public, des déclarations peuvent être choquantes, violentes ou blessantes, mais elle ne sont pas pour autant délictueuses", précise le parquet.

    Geert Wilders avait souligné qu’il avait veillé à rester strictement dans les limites de la loi. Néerlandaise.

  • L’islamisation de l’entreprise

    L’Observatoire de l’islamisation relève que le quotidien économique Les Echos du 24 juin consacrait une pleine page à l’islam dans les entreprises (françaises).

    Quelques aperçus :

    Selon une étude, 26% des DRH (37% en Ile-de-France) perçoivent une augmentation des revendications liées à la « pratique religieuse ».

    Mais « on ne compte plus les entreprises, qui, contactées par les Echos, ont refusé de s’exprimer » affirme le quotidien. Un beau témoignage de dhimmitude.

    La justice française donne raison aux femmes voilées au travail. Les Echos cite des cas faisant  d’ores déjà jurisprudence, dont l’affaire d’une salariée de Téléperformance. Le conseil des prud’hommes de Paris avait donné raison à l’islamiste contre l’entreprise l’ayant licenciée car le licenciement « présentait un caractère discriminatoire », conformément à l’article L.122-45 du code du travail et à l’article 9 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme.

    Hélène Louçano-Jeugnet ex-DRH dans le BTP explique qu’elle avait dû revoir complètement les horaires de travail à cause d’« un fort taux d’absentéisme et à des accidents de travail plus nombreux que d’habitude, les ouvriers étant, durant cette période (ndlr : le ramadan), physiquement affaiblis ».

    Une DRH de la grande distribution affirme octroyer automatiquement le jour de l’Aid el Kebir férié car « beaucoup ne viendraient pas de toute façon ». L’Association nationale des DRH (ANDRH) affirme carrément qu’au nom de la diversité, il convient de banaliser  « deux ou trois jours fériés liés à des fêtes catholiques » pour les troquer contre des jours fériés islamiques.

    Chez L’Oréal, un poste convoité vient d’être occupé par une femme voilée, ce qui a  suscité des « réticences en interne ». Jean-Claude Le Grand, « Directeur de la diversité » du géant des cosmétiques, défend la salariée en expliquant que « le voile ne doit pas être traité comme un signe distinctif » (sic).
    Benjamin Blavier, un des responsables de IMS-Entreprendre pour la cité, dirigée par Claude Bébéar : « C’est exactement comme pour les autres formes de discrimination : il faut informer et échanger pour casser les fantasmes et les préjugés »…

  • Dernières nouvelles de la coexistence en Egypte

    adel_imam.jpgCélèbre acteur égyptien, Adel Imam est accusé d’avoir apostasié l’islam pour se convertir au christianisme à cause d’un film, Hassan et Marcos, qui doit sortir début juillet) dans lequel il joue le rôle d’un prêtre copte.

    La campagne a été lancée sur Facebook par deux groupes. L’un par ce slogan« Appel à tous les musulmans, boycottez le chrétien Adel Imam », précise : « Cet hommes promeut la conversion au christianisme et je vous invite à le boycotter. »  L’autre groupe, créé comme le premier dans le seul but de dénoncer « l’apostasie » de l’acteur, a pour slogan « Boycottez le nouveau film d’Imam. »

    Rappelons que l’accusation d’apostasie n’implique pas seulement l’appel au boycott mais constitue en soi (la précision est inutile chez les musulmans) une incitation au meurtre.

    Or ce film à gros budget vise à… promouvoir la coexistence entre musulmans et coptes. C’est une histoire d’amitié entre un prêtre copte, Marcos, joué par Adel Imam, et un imam, Hassan, joué par Omar Sharif.

    Comme on le voit, c’est pas gagné… 

    (photo : Adel Imam entouré de deux vrais prêtres coptes)

    (Babylon Beyond, via Bivouac-ID)

  • Et on enlève le crucifix…

    Lundi en fin d'après midi, à la clinique Saint-Vincent de Paul de Bourgoin-Jallieu, le père musulman d'une petite fille, qui venait de subir une intervention chirurgicale programmée, a fait enlever le crucifix de la chambre de sa fille. « Pendant près d'un quart d'heure, le père en présence de son épouse s'est emporté verbalement, exigeant que le crucifix soit décroché », a raconté un témoin, cité par le Dauphiné libéré. Et le personnel de la clinique catholique… a retiré le crucifix.

    La directrice de la clinique a manifesté sa « surprise »… et a donné raison au personnel : « L'aide-soignante a su ce qu'il fallait faire » afin que la situation ne s’envenime pas… Elle a expliqué :

    « Quand les gens choisissent d'être soignés dans notre établissement, ils le font en toute connaissance de cause. Ils savent qu'ils sont dans une maternité catholique. Ceci n'est nullement caché : c'est d'ailleurs parfaitement inscrit à l'entrée de l'établissement, tout comme dans le livret d'accueil. Les petites sœurs des maternités catholiques évoluent en vêtement religieux dans les services, la cloche visible depuis les chambres sonne trois coups à chaque naissance. Chaque chambre est pourvue d'un crucifix. De petite taille, celui-ci n'est nullement ostentatoire, très sobre. Cette demande est surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement. »

    Librement, bien sûr. Exprès, plutôt. Il s’agit de tester la résistance des catholiques. Et l’on choisit précisément une clinique visiblement catholique, avec des religieuses en habit... Le test est concluant. Face à l’islam, les chrétiens s’écrasent, et renient l’image de leur Sauveur.

    Affreuse parabole de la dhimmitude en marche.

    « Nous sommes ponctuellement confrontés à ce type de situation dans chacune de nos institutions », avoue sœur Marie-Mathieu, présidente du conseil d'administration de l'établissement. Le dernier « incident » en date, c’était dans un établissement d’Aix-en-Provence, quand un père a brisé un crucifix en le jetant au sol puis l'a jeté à la poubelle...

  • Les coptes

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    (Séthi Ier, père de Ramsès II) 

    Il y avait plus d’un millier de coptes, hier, à la manifestation parisienne organisée pour réclamer la fin des persécutions et l’égalité des droits.

    A ma connaissance, personne n’en a parlé. Aucune dépêche, aucune photo, rien. Il n’y avait d’ailleurs à cette manifestation (entre la Nation et la Bastille, avec de nombreuses banderoles, des gens de toutes sortes, de nombreuses familles avec de petits enfants) aucun journaliste en dehors d’un photographe ami et de moi-même, qui n’y étais pas en tant que journaliste, mais pour manifester ma solidarité.

    Les coptes n’intéressent personne. Les chrétiens en pays d’islam sont des gêneurs. Ils sont les témoins, les preuves vivantes que l’islam n’est pas une religion de paix ni une doctrine de tolérance. Alors on ne veut pas les voir. Ils n’existent pas.

    Ils réclament l’aide de la France. Mais la France les ignore. Ils ne sont pas dans le sens de l’histoire. L’histoire de la conquête islamique, qui est aussi désormais celle de la France.

    C’était la première fois que je voyais un important groupe de coptes. J’ai été extrêmement impressionné par leurs visages. Par leur type ethnique très homogène. Le type ethnique qui est celui-là même de nombreux bas-reliefs et peintures de l’Egypte pharaonique. Comme s’ils sortaient des temples égyptiens. Avec leur nez assez long et leurs yeux en amande allongée. De profil, c’est spectaculaire, surtout chez les jeunes filles. On voit là de façon évidente à quel point les coptes sont réellement (comme leur nom l’indique, puisque copte veut dire égyptien) les descendants des anciens Egyptiens, restés tels quels malgré l’invasion arabe.

    Et devant ce prodigieux spectacle, je me suis dit que décidément je n’étais pas pour le métissage...